Emmanuel Macron
Le Président Macron croit-il que l’oligarchie financière va entendre son appel à l’harmonie, à la responsabilité, à la générosité envers l’humanité ?
Au-delà de la forme que nous aimons, où est le fond ?
Finalement, lorsqu’on les étudie dans le détail, les résultats de cette réunion sont modestes malgré les efforts de l’Élysée.
La rupture avec « l’ancien monde » promise par M. Macron est en fait cosmétique. Ainsi, son gouvernement a instauré huit nouvelles taxes en huit mois.
Le tout à des années-lumière de l’angoisse et de la colère des Français.
Macron est, en réalité, le Gorbatchev de la pensée unique, la dernière carte à jouer du Système qui cherche à faire illusion.
Cette recomposition n’en est, aujourd’hui, qu’à ses débuts.
En attisant sans cesse ce sentiment malsain, la gauche qui condamne les écarts de richesses lutte avant tout contre les libertés individuelles et la libre entreprise.
La principale clé pour comprendre Emmanuel Macron réside dans cette formule qui invite au dépassement des contraires.
L’Histoire nous apprend que la qualité d’une politique étrangère ne se mesure pas à l’aune d’une émotion mais à la patine des ans.
Emmanuel Macron a de la chance. Beaucoup de chance. Celle de passer derrière Nicolas Sarkozy et François Hollande, surtout. Quoi qu’il fasse, la comparaison ne peut être que flatteuse.
Emmanuel Macron, à l’évidence, sait ce qu’est une politique étrangère.
Cette tradition des vœux aux autorités religieuses remonte à l’après-guerre : une tradition instituée par le président Vincent Auriol.
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
Mais qui démêlera le vrai du faux ?
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Il ne suffit pas d’avoir à l’Élysée un beau gosse intelligent, cultivé, sachant se tenir, pour diriger notre pays dans la bonne direction.
Il va peut-être falloir y réfléchir un jour. À quoi ? À émigrer à l’Est, pardi !
Nous avons eu de la chance, il ne s’est cependant pas adressé en anglais aux Européens pour réclamer leur aide…
Le Président du « en même temps » a bien senti qu’on attendait autre chose de lui : du plus percutant, du plus neuf. Et on l’a eu.
L’imposture apparaît de plus en plus manifestement.
Et si Macron avait compris la Ve République, telle que l’imaginait le général de Gaulle ?
Quel sera le destin du « grand peuple en marche » durant la nouvelle année ?
S’il a perçu les frustrations du peuple français en manque de chef et de symboles, il a aussi saisi ce que la présidence de Trump apportait de neuf.
C’est LA phrase du réveillon de Noël : « Tu as vu, Macron, quand même, qu’est-ce qu’il nous bluffe ! »
Pour la crèche, les Français devront encore attendre…
Macron annonce et fait. Son précepte est bien : Les chiens aboient, la caravane passe.
La locomotive Macron est en marche, et pour lui permettre d’aller plus vite, les wagons de deuxième classe ont été décrochés.
Le Président Macron croit-il que l’oligarchie financière va entendre son appel à l’harmonie, à la responsabilité, à la générosité envers l’humanité ?
Au-delà de la forme que nous aimons, où est le fond ?
Finalement, lorsqu’on les étudie dans le détail, les résultats de cette réunion sont modestes malgré les efforts de l’Élysée.
La rupture avec « l’ancien monde » promise par M. Macron est en fait cosmétique. Ainsi, son gouvernement a instauré huit nouvelles taxes en huit mois.
Le tout à des années-lumière de l’angoisse et de la colère des Français.
Macron est, en réalité, le Gorbatchev de la pensée unique, la dernière carte à jouer du Système qui cherche à faire illusion.
Cette recomposition n’en est, aujourd’hui, qu’à ses débuts.
En attisant sans cesse ce sentiment malsain, la gauche qui condamne les écarts de richesses lutte avant tout contre les libertés individuelles et la libre entreprise.
La principale clé pour comprendre Emmanuel Macron réside dans cette formule qui invite au dépassement des contraires.
L’Histoire nous apprend que la qualité d’une politique étrangère ne se mesure pas à l’aune d’une émotion mais à la patine des ans.
Emmanuel Macron a de la chance. Beaucoup de chance. Celle de passer derrière Nicolas Sarkozy et François Hollande, surtout. Quoi qu’il fasse, la comparaison ne peut être que flatteuse.
Emmanuel Macron, à l’évidence, sait ce qu’est une politique étrangère.
Cette tradition des vœux aux autorités religieuses remonte à l’après-guerre : une tradition instituée par le président Vincent Auriol.
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
Mais qui démêlera le vrai du faux ?
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Il ne suffit pas d’avoir à l’Élysée un beau gosse intelligent, cultivé, sachant se tenir, pour diriger notre pays dans la bonne direction.
Il va peut-être falloir y réfléchir un jour. À quoi ? À émigrer à l’Est, pardi !
Nous avons eu de la chance, il ne s’est cependant pas adressé en anglais aux Européens pour réclamer leur aide…
Le Président du « en même temps » a bien senti qu’on attendait autre chose de lui : du plus percutant, du plus neuf. Et on l’a eu.
L’imposture apparaît de plus en plus manifestement.
Et si Macron avait compris la Ve République, telle que l’imaginait le général de Gaulle ?
Quel sera le destin du « grand peuple en marche » durant la nouvelle année ?
S’il a perçu les frustrations du peuple français en manque de chef et de symboles, il a aussi saisi ce que la présidence de Trump apportait de neuf.
C’est LA phrase du réveillon de Noël : « Tu as vu, Macron, quand même, qu’est-ce qu’il nous bluffe ! »
Pour la crèche, les Français devront encore attendre…
Macron annonce et fait. Son précepte est bien : Les chiens aboient, la caravane passe.
La locomotive Macron est en marche, et pour lui permettre d’aller plus vite, les wagons de deuxième classe ont été décrochés.
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