Emmanuel Macron
Emmanuel Macron aurait-il admis le principe de réalité au sujet des migrants qui affluent dangereusement sur notre territoire ?
Ce serait, ainsi, le moment ou jamais de rééquilibrer ce lien, que ce soit en matière économique ou en politique extérieure.
Après avoir réformé aux forceps le marché du travail, M. Macron va s’attaquer au système des retraites.
Quitte à admirer le général de Gaulle, pourquoi l’imiter de manière hémiplégique ?
Il y a tout juste un an, un certain Emmanuel Macron se déclarait à l’élection présidentielle, avant de faire son entrée à l’Élysée, six mois plus tard.
Voilà pourquoi les Français, un jour, descendront dans la rue.
On est en droit de s’inquiéter de la lucidité de notre président.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Il fixe un objectif élevé à la droite à venir : l’obligation de s’assumer enfin de droite.
Un « tigre » ? Non. Un tigrillon tout au plus !
Hausse des prélèvements et baisse des allocations. La politique familiale d’Hollande continue.
Jean-Yves Le Gallou dresse le bilan des six mois d’Emmanuel Macron au pouvoir.
Si je devais faire un bilan des six premiers mois du mandat d’Emmanuel Macron, je serais bien embarrassé.
Rêve de grandeur ou geste attentionné ?
Ira-t-il recevoir au cœur de la Rome éternelle les honneurs liturgiques que lui confère ce prestigieux canonicat ?
La décision d’Emmanuel Macron arrive à point nommé et ne manquera pas d’être approuvée par une majorité de Français.
Où se trouve donc la pertinence et la justesse d’expression de monsieur Macron ?
Le Président – c’est un constat, non une idolâtrie – ouvre la porte à une République des mots justes, la ferme à la démagogie des mots doux.
Ce matin, Thierry Solère expliquait qu’il était pour la suppression des allocations familiales à partir d’un certain niveau de revenus.
Rien de pire qu’un Président ne vivant pas dans la réalité.
L’accord passé lundi soir au sujet de la Directive « Travailleurs détachés » est présenté comme une victoire pour notre pays par le gouvernement et nombre de médias.
Emmanuel Macron ne chercherait-t-il tout simplement pas à assouvir ses propres fantasmes, soit devenir le premier président de l’Europe ?
Allons-nous vers la catastrophe, l’apocalypse, le déluge, la peste et la guerre civile ?
Emmanuel Macron qui traite François Hollande de « zigoto », voilà qui n’a rien de très jupitérien.
En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.
Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.
À lui seul quarante ans de catastrophes et de déclin français.
Emmanuel Macron aurait-il admis le principe de réalité au sujet des migrants qui affluent dangereusement sur notre territoire ?
Ce serait, ainsi, le moment ou jamais de rééquilibrer ce lien, que ce soit en matière économique ou en politique extérieure.
Après avoir réformé aux forceps le marché du travail, M. Macron va s’attaquer au système des retraites.
Quitte à admirer le général de Gaulle, pourquoi l’imiter de manière hémiplégique ?
Il y a tout juste un an, un certain Emmanuel Macron se déclarait à l’élection présidentielle, avant de faire son entrée à l’Élysée, six mois plus tard.
Voilà pourquoi les Français, un jour, descendront dans la rue.
On est en droit de s’inquiéter de la lucidité de notre président.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Il fixe un objectif élevé à la droite à venir : l’obligation de s’assumer enfin de droite.
Un « tigre » ? Non. Un tigrillon tout au plus !
Hausse des prélèvements et baisse des allocations. La politique familiale d’Hollande continue.
Jean-Yves Le Gallou dresse le bilan des six mois d’Emmanuel Macron au pouvoir.
Si je devais faire un bilan des six premiers mois du mandat d’Emmanuel Macron, je serais bien embarrassé.
Rêve de grandeur ou geste attentionné ?
Ira-t-il recevoir au cœur de la Rome éternelle les honneurs liturgiques que lui confère ce prestigieux canonicat ?
La décision d’Emmanuel Macron arrive à point nommé et ne manquera pas d’être approuvée par une majorité de Français.
Où se trouve donc la pertinence et la justesse d’expression de monsieur Macron ?
Le Président – c’est un constat, non une idolâtrie – ouvre la porte à une République des mots justes, la ferme à la démagogie des mots doux.
Ce matin, Thierry Solère expliquait qu’il était pour la suppression des allocations familiales à partir d’un certain niveau de revenus.
Rien de pire qu’un Président ne vivant pas dans la réalité.
L’accord passé lundi soir au sujet de la Directive « Travailleurs détachés » est présenté comme une victoire pour notre pays par le gouvernement et nombre de médias.
Emmanuel Macron ne chercherait-t-il tout simplement pas à assouvir ses propres fantasmes, soit devenir le premier président de l’Europe ?
Allons-nous vers la catastrophe, l’apocalypse, le déluge, la peste et la guerre civile ?
Emmanuel Macron qui traite François Hollande de « zigoto », voilà qui n’a rien de très jupitérien.
En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.
Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.
À lui seul quarante ans de catastrophes et de déclin français.
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