Emmanuel Macron
Après le costume d’ennemi des pauvres, M. Macron endosse, « en même temps », celui d’ennemi des familles.
Trop mou, trop vague et trop technocratique.
On vit vraiment au pays des Tartuffe.
Comment se fait-ce que l’enfant chéri de la méritocratie républicaine connaisse un désamour que peu de présidents de la Ve ont connu en si peu de temps ?
En France, la pauvreté de masse devient un phénomène structurel.
Il est bien loin le temps où François Hollande, paternel, passait la main sur l’encolure de son poulain.
61 % des téléspectateurs n’étaient « pas convaincus » par son interview.
Ohlala, terrain miné, danger, allons-y sur la pointe des pieds. son embarras est… croquignolesque.
Les intentions sont bonnes. Une première depuis 2007. Chapeau l’artiste !
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
On comprend que le Président Macron fasse des jaloux, surtout à droite. Il a entrepris la rénovation d’un système usé jusqu’à l’os, en dehors des partis.
Ce n’est pas la première fois qu’on s’attaque à l’universalité des allocations familiales.
On peut tracer en pointillé une ligne droite entre les prétendues maladresses…
Qui, de bonne foi, pourrait ne pas approuver cette vulgarité dans la forme mais cette justesse dans le fond ?
« Macron est avant tout un contre-populiste »
La répétition de propos méprisants pour le peuple, depuis qu’il a fait son entrée en politique, ne plaide pas en sa faveur.
Emmanuel Macron vient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien ».
Faire croire qu’on est un véritable Président et semblant d’exercer un pouvoir qu’on n’a pas est, décidément, un art en soi et un travail à plein temps.
on peut craindre que loin de susciter la confiance, cette politique ne soulève la révolte.
M. Macron a perdu la bataille de l’opinion ; il est désormais considéré comme le Président des riches.
M. Macron joue aux dés. Si aucune crise n’a lieu pendant les cinq ans de son mandat, il aura gagné son pari.
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
Le travailleur français se trouve pris en tenaille entre un grand patronat antinational et le dumping social des pays est-européens de l’Union européenne
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Il n’est pratiquement plus rien resté du produit de la vente à General Electric dans les caisses d’Alstom.
Lui qui se faisait fort d’être un chef de l’État pédagogue, capable d’expliciter ses réformes, s’enferme comme ses prédécesseurs dans une opacité coupable.
Mercredi, sommet franco-italien avec le président du Conseil Paolo Gentiloni et jeudi visite sur le thème de la sécurité.
Après le costume d’ennemi des pauvres, M. Macron endosse, « en même temps », celui d’ennemi des familles.
Trop mou, trop vague et trop technocratique.
On vit vraiment au pays des Tartuffe.
Comment se fait-ce que l’enfant chéri de la méritocratie républicaine connaisse un désamour que peu de présidents de la Ve ont connu en si peu de temps ?
En France, la pauvreté de masse devient un phénomène structurel.
Il est bien loin le temps où François Hollande, paternel, passait la main sur l’encolure de son poulain.
61 % des téléspectateurs n’étaient « pas convaincus » par son interview.
Ohlala, terrain miné, danger, allons-y sur la pointe des pieds. son embarras est… croquignolesque.
Les intentions sont bonnes. Une première depuis 2007. Chapeau l’artiste !
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
On comprend que le Président Macron fasse des jaloux, surtout à droite. Il a entrepris la rénovation d’un système usé jusqu’à l’os, en dehors des partis.
Ce n’est pas la première fois qu’on s’attaque à l’universalité des allocations familiales.
On peut tracer en pointillé une ligne droite entre les prétendues maladresses…
Qui, de bonne foi, pourrait ne pas approuver cette vulgarité dans la forme mais cette justesse dans le fond ?
« Macron est avant tout un contre-populiste »
La répétition de propos méprisants pour le peuple, depuis qu’il a fait son entrée en politique, ne plaide pas en sa faveur.
Emmanuel Macron vient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien ».
Faire croire qu’on est un véritable Président et semblant d’exercer un pouvoir qu’on n’a pas est, décidément, un art en soi et un travail à plein temps.
on peut craindre que loin de susciter la confiance, cette politique ne soulève la révolte.
M. Macron a perdu la bataille de l’opinion ; il est désormais considéré comme le Président des riches.
M. Macron joue aux dés. Si aucune crise n’a lieu pendant les cinq ans de son mandat, il aura gagné son pari.
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
Le travailleur français se trouve pris en tenaille entre un grand patronat antinational et le dumping social des pays est-européens de l’Union européenne
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Il n’est pratiquement plus rien resté du produit de la vente à General Electric dans les caisses d’Alstom.
Lui qui se faisait fort d’être un chef de l’État pédagogue, capable d’expliciter ses réformes, s’enferme comme ses prédécesseurs dans une opacité coupable.
Mercredi, sommet franco-italien avec le président du Conseil Paolo Gentiloni et jeudi visite sur le thème de la sécurité.
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