Emmanuel Macron

Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.

Faut-il qu’il aime le foot, notre Président !

Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.

Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

La visite du réseau RATP sur le toit d’une rame de métro suivie d’un saut à l’élastique depuis le perchoir de l’Assemblée nationale clôturera une année 2022 riche en fanfaronnades diverses.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.

Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.

En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.

Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.

C’est un tournant majeur : les retraités et les catégories aisées désormais majoritairement mécontents d’Emmanuel Macron.

On avait deviné que Macron était narcissique : en voilà une confirmation.

Il était devenu une institution, avec tout ce que cela comporte d’ambiguïté.

En fin de compte, le président de la République apparaît plus comme une sorte de haut technocrate que comme un homme d’Etat.

Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.

Un échange amical avec la Maison-Blanche, une bonne leçon de morale chrétienne à Poutine et l’affaire est pliée.

Clarinette et pipeau en même temps. La performance mérite d’être soulignée.

Si l’on résume, les Français ne connaissent pas leur bonheur.

Voici maintenant que l’Allemagne se prépare à faire interdire la vente d’armes, au sein de l’Union européenne, à d’autres pays que ceux de l’Union ou de l’OTAN.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?

À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.

La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)

Le Président a fait le job, à sa manière, c’est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants.

Boulevard voltaire inaugure son nouveau rendez-vous hebdomadaire du dimanche soir 18 h avec Philippe de Villiers pour un grand entretien sans tabous avec Gabrielle Cluzel.

« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»

La Macronie n’est pas une mafia, chacun le sait : c’est un groupe social honnête, transparent, amoureux de la France et dévoué au bien public.

Au réveil de ce cauchemar, l’électeur transi allume sa bougie de chevet et consulte son calendrier.

Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.

Faut-il qu’il aime le foot, notre Président !

Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.

Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

La visite du réseau RATP sur le toit d’une rame de métro suivie d’un saut à l’élastique depuis le perchoir de l’Assemblée nationale clôturera une année 2022 riche en fanfaronnades diverses.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.

Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.

En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.

Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.

C’est un tournant majeur : les retraités et les catégories aisées désormais majoritairement mécontents d’Emmanuel Macron.

On avait deviné que Macron était narcissique : en voilà une confirmation.

Il était devenu une institution, avec tout ce que cela comporte d’ambiguïté.

En fin de compte, le président de la République apparaît plus comme une sorte de haut technocrate que comme un homme d’Etat.

Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.

Un échange amical avec la Maison-Blanche, une bonne leçon de morale chrétienne à Poutine et l’affaire est pliée.

Clarinette et pipeau en même temps. La performance mérite d’être soulignée.

Si l’on résume, les Français ne connaissent pas leur bonheur.

Voici maintenant que l’Allemagne se prépare à faire interdire la vente d’armes, au sein de l’Union européenne, à d’autres pays que ceux de l’Union ou de l’OTAN.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?

À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.

La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)

Le Président a fait le job, à sa manière, c’est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants.

Boulevard voltaire inaugure son nouveau rendez-vous hebdomadaire du dimanche soir 18 h avec Philippe de Villiers pour un grand entretien sans tabous avec Gabrielle Cluzel.

« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»

La Macronie n’est pas une mafia, chacun le sait : c’est un groupe social honnête, transparent, amoureux de la France et dévoué au bien public.

Au réveil de ce cauchemar, l’électeur transi allume sa bougie de chevet et consulte son calendrier.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
