Emmanuel Macron
Il est dommage que le président de la République se soit senti tenu, lors du Conseil des ministres, de renouveler sa confiance à Richard Ferrand.
La Russie a le monopole des transferts – et retours – d’équipages en classe spatiale, avec son vaisseau Soyouz (Союз).
Je crois que Macron réussit depuis de nombreuses années…
Un journaliste de la presse alternative dans ce genre de rassemblement, c’est un peu Proust chez la duchesse de Guermantes.
Aurions-nous là un Président plus ou moins « normal », au motif que ses prédécesseurs immédiats adoptaient des « postures » ridicules ou grotesques ?
Emmanuel Macron nous offre aujourd’hui une illustration de sa pensée d’hier.
La nouvelle idole républicaine française a de la poigne.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Ce n’est certainement pas la fin des soucis ni des lapsus pour notre Président.
Il est normalement une tradition, au conseil municipal d’Orléans, que chaque groupe puisse commenter le résultat d’une élection ; sauf pour la dernière.
Depuis son élection, Emmanuel Macron multiplie les signes et les symboles positifs envers la communauté militaire.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
La seule opposition, idéologique, organisée, à laquelle il va devoir faire face dans les mois à venir sera l’opposition de la gauche extrême.
Vraiment, chers amis patriotes, il est temps de revenir à la raison !
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Au plus près du réel, il y a une France fracturée et fissurée.
Son mariage avec un technocrate de la droite contribuera à donner d’Emmanuel Macron l’image d’un homme neuf, détaché des vieux clivages partisans.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.
Aujourd’hui, un boulevard s’offre à notre Président.
Après avoir serré des dizaines de louches médaillées, l’Élu s’offre un petit bain de foule. On entend alors longuement le youyou d’une femme arabe.
« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
Les organisations islamiques ne se sont pas trompées en apportant leur soutien à Macron.
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Il est dommage que le président de la République se soit senti tenu, lors du Conseil des ministres, de renouveler sa confiance à Richard Ferrand.
La Russie a le monopole des transferts – et retours – d’équipages en classe spatiale, avec son vaisseau Soyouz (Союз).
Je crois que Macron réussit depuis de nombreuses années…
Un journaliste de la presse alternative dans ce genre de rassemblement, c’est un peu Proust chez la duchesse de Guermantes.
Aurions-nous là un Président plus ou moins « normal », au motif que ses prédécesseurs immédiats adoptaient des « postures » ridicules ou grotesques ?
Emmanuel Macron nous offre aujourd’hui une illustration de sa pensée d’hier.
La nouvelle idole républicaine française a de la poigne.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Ce n’est certainement pas la fin des soucis ni des lapsus pour notre Président.
Il est normalement une tradition, au conseil municipal d’Orléans, que chaque groupe puisse commenter le résultat d’une élection ; sauf pour la dernière.
Depuis son élection, Emmanuel Macron multiplie les signes et les symboles positifs envers la communauté militaire.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
La seule opposition, idéologique, organisée, à laquelle il va devoir faire face dans les mois à venir sera l’opposition de la gauche extrême.
Vraiment, chers amis patriotes, il est temps de revenir à la raison !
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Au plus près du réel, il y a une France fracturée et fissurée.
Son mariage avec un technocrate de la droite contribuera à donner d’Emmanuel Macron l’image d’un homme neuf, détaché des vieux clivages partisans.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.
Aujourd’hui, un boulevard s’offre à notre Président.
Après avoir serré des dizaines de louches médaillées, l’Élu s’offre un petit bain de foule. On entend alors longuement le youyou d’une femme arabe.
« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
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À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
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