Emmanuel Macron

Maintenant, on peut être mis en examen et demeurer au pouvoir, de telle manière que le garde des Sceaux peut affirmer que sa démission n’est pas à l’ordre du jour car il tient sa légitimité du Président et du Premier ministre.

Le prince vient pour embrasser le courtisan du baiser de paix sur la bouche. Il se fera plaisir.

Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.

Après examen des temps de transport, des chronométrages et de l’anticyclone des Açores, la conclusion tombe.

Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.

C’est une information du Figaro tombée vendredi soir et passée inaperçue, alors que vous hésitez toujours entre les options journée du pull, changement de chaudière,

Georges Michel nous a prévenus : le Macron 2022 est revenu à ses fondamentaux de 2017. Emmanuel Macron ne se trompe jamais. Quant à ceux

On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.

Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.

Du vent. Ce qui reste quand on n’a plus ni électricité ni gaz ni boussole.

Autant dire que ce n’est pas la montagne qui accouche d’une souris mais plutôt la taupinière qui enfante un lombric.

Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !

L’étude révèle que les Français n’adhèrent pas au discours déroulé par Emmanuel Macron et son gouvernement.

L’insouciance ? Celle du quotidien, bien sûr ! Vous savez, cette légèreté du coeur que l’on ressent, dans notre pays où la liberté est une valeur cardinale…

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.

Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.

La France de Macron, servilement atlantiste, est caricaturale dans sa soumission. L’Ukraine n’est qu’un énième exemple.

Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.

Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.

Emmanuel Macron nous avait déjà fait le coup en Algérie ; là, c’est à toute l’Afrique qu’il s’est adressé.

À la cadence d’une perle tous les six mois, la prochaine devrait sortir pour les fêtes.

La Bretagne l’attend pour un solo de cornemuse, l’Auvergne le réclame pour une bourrée endiablée : l’agenda folklorique déborde de rendez-vous.

Maintenant, on peut être mis en examen et demeurer au pouvoir, de telle manière que le garde des Sceaux peut affirmer que sa démission n’est pas à l’ordre du jour car il tient sa légitimité du Président et du Premier ministre.

Le prince vient pour embrasser le courtisan du baiser de paix sur la bouche. Il se fera plaisir.

Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.

Après examen des temps de transport, des chronométrages et de l’anticyclone des Açores, la conclusion tombe.

Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.

C’est une information du Figaro tombée vendredi soir et passée inaperçue, alors que vous hésitez toujours entre les options journée du pull, changement de chaudière,

Georges Michel nous a prévenus : le Macron 2022 est revenu à ses fondamentaux de 2017. Emmanuel Macron ne se trompe jamais. Quant à ceux

On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.

Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.

Du vent. Ce qui reste quand on n’a plus ni électricité ni gaz ni boussole.

Autant dire que ce n’est pas la montagne qui accouche d’une souris mais plutôt la taupinière qui enfante un lombric.

Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !

L’étude révèle que les Français n’adhèrent pas au discours déroulé par Emmanuel Macron et son gouvernement.

L’insouciance ? Celle du quotidien, bien sûr ! Vous savez, cette légèreté du coeur que l’on ressent, dans notre pays où la liberté est une valeur cardinale…

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.

Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.

La France de Macron, servilement atlantiste, est caricaturale dans sa soumission. L’Ukraine n’est qu’un énième exemple.

Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.

Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.

Emmanuel Macron nous avait déjà fait le coup en Algérie ; là, c’est à toute l’Afrique qu’il s’est adressé.

À la cadence d’une perle tous les six mois, la prochaine devrait sortir pour les fêtes.

La Bretagne l’attend pour un solo de cornemuse, l’Auvergne le réclame pour une bourrée endiablée : l’agenda folklorique déborde de rendez-vous.
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