Énergies
La cour d’appel de Nîmes ordonne le démantèlement de sept éoliennes installées sur la commune de Lunas (Hérault).
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Pour Philippe Charlez, donc, on ne peut rien faire. Or, la France doit sortir d’urgence de ce système de tarification européen insensé pour elle.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
Pour comprendre la situation et identifier les responsabilités, notamment politiques, BV reçoit aujourd’hui Philippe Charlez, expert en questions énergétiques, auteur de L’Utopie de la croissance verte, paru en 2021 chez JM. Laffont, et chroniqueur à BV.
En France, on se flatte de ne pas avoir de pétrole, on découvre qu’on n’a pas non plus de gaz. Pour autant, on n’a toujours pas d’idées.
« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
Avec la flambée des prix énergétiques, la viabilité de certaines PME s’annonce en jeu. Comment vont-elles passer l’hiver, entre coupures de courant et hausse des prix ?
Bruxelles a reconnu l’« exception ibérique » et a autorisé l’Espagne et le Portugal à reprendre leur autonomie électrique en sortant temporairement du système tarifaire européen.
Député RN de la 4e circonscription du Gard, Pierre Meurin dénonce la tenue du Conseil de défense énergétique vendredi alors même que la rentrée parlementaire n’a lieu que le 4 octobre.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.
« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une
Du 1er au 12 novembre aura lieu, à Glasgow, la COP26 ou Conférence des parties, réunissant les représentants d’organisations écologistes et des États signataires de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques et de l’accord de Paris
Il ne faut pas seulement distribuer des « chèques énergie » aux plus démunis mais aussi leur permettre d’exploiter à leur profit le plein potentiel des champs énergétiques offerts par le pays.
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
Dur été pour la Californie : nouveau record de chaleur dans la vallée de la Mort…
71 éoliennes seront installées au large de Fécamp, dans un rayon de 13 à 22 kilomètres des côtes.
Moore a finalement admis que le roi de l’énergie renouvelable était nu.
Ainsi, au moment où l’on saborde Fessenheim et où le PPE (Programme pluriannuel de l’énergie) signe l’arrêt de mort d’une douzaine de réacteurs, la production nucléaire d’EDF se révèle-t-elle l’intangible noyau dur de la capacité de production électrique nationale…
Après les nombreux dysfonctionnements et arrêts de travail dans la construction de l’EPR de Flamanville, nos experts vont-ils oser prétendre que l’électricité nucléaire est la plus sûre ?
Les décisions prises en matière de production électrique sont purement idéologiques, elles sont économiquement fort coûteuses et industriellement catastrophiques.
Pour lutter efficacement contre l’indéniable réchauffement climatique, il va falloir disposer de beaucoup d’énergie.
69 % des Français estiment que le nucléaire est le principal responsable des rejets de CO2 et que le fioul, le charbon, le gaz naturel seraient bien plus écologiques.
Emmanuel Macron livre donc au bon vouloir d’intérêts privés la gestion d’un secteur hautement stratégique puisque énergétique.
Il faut développer toutes les solutions possibles : éoliennes terrestres et offshore, panneaux solaires, hydroliennes, sans oublier les énergies du végétal.
La cour d’appel de Nîmes ordonne le démantèlement de sept éoliennes installées sur la commune de Lunas (Hérault).
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Pour Philippe Charlez, donc, on ne peut rien faire. Or, la France doit sortir d’urgence de ce système de tarification européen insensé pour elle.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
Pour comprendre la situation et identifier les responsabilités, notamment politiques, BV reçoit aujourd’hui Philippe Charlez, expert en questions énergétiques, auteur de L’Utopie de la croissance verte, paru en 2021 chez JM. Laffont, et chroniqueur à BV.
En France, on se flatte de ne pas avoir de pétrole, on découvre qu’on n’a pas non plus de gaz. Pour autant, on n’a toujours pas d’idées.
« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
Avec la flambée des prix énergétiques, la viabilité de certaines PME s’annonce en jeu. Comment vont-elles passer l’hiver, entre coupures de courant et hausse des prix ?
Bruxelles a reconnu l’« exception ibérique » et a autorisé l’Espagne et le Portugal à reprendre leur autonomie électrique en sortant temporairement du système tarifaire européen.
Député RN de la 4e circonscription du Gard, Pierre Meurin dénonce la tenue du Conseil de défense énergétique vendredi alors même que la rentrée parlementaire n’a lieu que le 4 octobre.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.
« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une
Du 1er au 12 novembre aura lieu, à Glasgow, la COP26 ou Conférence des parties, réunissant les représentants d’organisations écologistes et des États signataires de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques et de l’accord de Paris
Il ne faut pas seulement distribuer des « chèques énergie » aux plus démunis mais aussi leur permettre d’exploiter à leur profit le plein potentiel des champs énergétiques offerts par le pays.
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
Dur été pour la Californie : nouveau record de chaleur dans la vallée de la Mort…
71 éoliennes seront installées au large de Fécamp, dans un rayon de 13 à 22 kilomètres des côtes.
Moore a finalement admis que le roi de l’énergie renouvelable était nu.
Ainsi, au moment où l’on saborde Fessenheim et où le PPE (Programme pluriannuel de l’énergie) signe l’arrêt de mort d’une douzaine de réacteurs, la production nucléaire d’EDF se révèle-t-elle l’intangible noyau dur de la capacité de production électrique nationale…
Après les nombreux dysfonctionnements et arrêts de travail dans la construction de l’EPR de Flamanville, nos experts vont-ils oser prétendre que l’électricité nucléaire est la plus sûre ?
Les décisions prises en matière de production électrique sont purement idéologiques, elles sont économiquement fort coûteuses et industriellement catastrophiques.
Pour lutter efficacement contre l’indéniable réchauffement climatique, il va falloir disposer de beaucoup d’énergie.
69 % des Français estiment que le nucléaire est le principal responsable des rejets de CO2 et que le fioul, le charbon, le gaz naturel seraient bien plus écologiques.
Emmanuel Macron livre donc au bon vouloir d’intérêts privés la gestion d’un secteur hautement stratégique puisque énergétique.
Il faut développer toutes les solutions possibles : éoliennes terrestres et offshore, panneaux solaires, hydroliennes, sans oublier les énergies du végétal.