Éric Ciotti
En baptisant son mouvement « UDR », Éric Ciotti renoue avec la tradition gaulliste.
Peut-on vraiment gagner en faisant fi des aspirations populaires ?
Charles Millon analyse ce tournant majeur à la lumière de son expérience…
« Par leur vote, les Français ouvrent un nouveau chemin d’espérance… »
La Justice a donné raison à Eric Ciotti le 27 juin : il reste président du parti Les Républicains.
La Justice a donné raison à Eric Ciotti le 27 juin, qui reste président du Parti Les Républicains.
L’exclusion d’Éric Ciotti des LR, après son annonce d’accord électoral avec le RN, a été invalidée par le tribunal judiciaire de Paris. Cette exclusion avait
Ceux qui ont trahi LR pour rejoindre la Macronie feraient bien de rester discrets.
Ce soir, il est libre, Ciotti. C’est peut-être sa seule folie !
Éric Ciotti veut renouer avec une pratique gaullienne de l’exercice politique : tour de passe-passe ou réelle volonté ?
Deux escadrons de gendarmes mobiles sont arrivés en renfort pour contenir cette vague migratoire.
Éric Ciotti a reçu le soutien de ses collègues LR, mais aussi d’élus Renaissance ou RN comme la députée Alexandra Masson.
Si l’on résume, l’actuel patron des Républicains est en pleine confusion, à la fois mentale et politique.
Le défi lancé à Wauquiez semble chaque jour un peu plus élevé que la veille.
Une décision qui intervient après l’ultimatum lancé par le chef des Républicains au Sénat Bruno Retailleau.
Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.
Eric Ciotti défend une ligne « de droite assumée », « refusant le politiquement correct » et un discours ferme sur la sécurité et l’immigration.
En réaction, le député LR, candidat à la présidence de son parti, estime être « bassement attaqué ».
Les téléspectateurs assistent aux luttes d’influence et à l’exposition des clivages au sein de LR.
Il y a dix ans, l’élection du président des Républicains aurait passionné l’opinion et créé ces remous dont il a le secret.
Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.
On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.
Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?
Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.
Dans le Tarn, le député des Alpes-Maritimes s’est engagé à rompre avec la politique menée par la droite depuis dix ans et à retrouver l’essence du parti, une vraie droite gaulliste.
Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.
En baptisant son mouvement « UDR », Éric Ciotti renoue avec la tradition gaulliste.
Peut-on vraiment gagner en faisant fi des aspirations populaires ?
Charles Millon analyse ce tournant majeur à la lumière de son expérience…
« Par leur vote, les Français ouvrent un nouveau chemin d’espérance… »
La Justice a donné raison à Eric Ciotti le 27 juin : il reste président du parti Les Républicains.
La Justice a donné raison à Eric Ciotti le 27 juin, qui reste président du Parti Les Républicains.
L’exclusion d’Éric Ciotti des LR, après son annonce d’accord électoral avec le RN, a été invalidée par le tribunal judiciaire de Paris. Cette exclusion avait
Ceux qui ont trahi LR pour rejoindre la Macronie feraient bien de rester discrets.
Ce soir, il est libre, Ciotti. C’est peut-être sa seule folie !
Éric Ciotti veut renouer avec une pratique gaullienne de l’exercice politique : tour de passe-passe ou réelle volonté ?
Deux escadrons de gendarmes mobiles sont arrivés en renfort pour contenir cette vague migratoire.
Éric Ciotti a reçu le soutien de ses collègues LR, mais aussi d’élus Renaissance ou RN comme la députée Alexandra Masson.
Si l’on résume, l’actuel patron des Républicains est en pleine confusion, à la fois mentale et politique.
Le défi lancé à Wauquiez semble chaque jour un peu plus élevé que la veille.
Une décision qui intervient après l’ultimatum lancé par le chef des Républicains au Sénat Bruno Retailleau.
Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.
Eric Ciotti défend une ligne « de droite assumée », « refusant le politiquement correct » et un discours ferme sur la sécurité et l’immigration.
En réaction, le député LR, candidat à la présidence de son parti, estime être « bassement attaqué ».
Les téléspectateurs assistent aux luttes d’influence et à l’exposition des clivages au sein de LR.
Il y a dix ans, l’élection du président des Républicains aurait passionné l’opinion et créé ces remous dont il a le secret.
Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.
On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.
Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?
Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.
Dans le Tarn, le député des Alpes-Maritimes s’est engagé à rompre avec la politique menée par la droite depuis dix ans et à retrouver l’essence du parti, une vraie droite gaulliste.
Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.