Éric Dupond-Moretti
Invité mercredi sur France Inter, l’ex-ministre de la Justice n’a pas pu s’empêcher d’attaquer ses cibles favorites.
Le nom du ministre de la Justice d’Emmanuel Macron, Éric Dupond-Moretti, est, depuis plusieurs mois, cité pour succéder à Laurent Fabius à la présidence du
Place nette ? Le slogan pourrait avoir un bel avenir : contre les dealers, mais aussi contre le pouvoir, dès le 9 juin !
Le ministre s’était déjà fait remarquer, il y a juste un an, pour avoir exécuté deux bras d’honneur dans l’Hémicycle.
Le ministère public avait requis un an d’emprisonnement avec sursis contre le garde des Sceaux en exercice.
À l’assemblée, il reproche au RN d’opposer « la France rurale et tranquille, catholique et blanche à la France des cités »
Gageons que, fidèle à sa légendaire clémence, cette institution d’exception saura faire preuve d’humanité
A-t-il vraiment tort de se comporter ainsi puisqu’il ne risque rien ?
Du 6 au 17 novembre prochains, Dupond-Moretti, aujourd’hui garde des Sceaux, va être amené à passer un « grand oral ».
Sans ces valeureux défenseurs de la femme aux seins nus, personne n’aurait décelé l’odieux machisme de Dupond-Moretti.
On l’a appris vendredi 28 juillet : Éric Dupond-Moretti sera jugé devant la Cour de justice de la République pour prise illégale d’intérêts. C’est une
C’est la première fois qu’un ministre français en exercice est renvoyé devant la CJR.
Cette semaine, Emmanuel Macron tente de communiquer avec nous, Éric Dupond-Moretti retourne dans les années 80….
L’État n’est-il donc pas responsable de l’exécution des OQTF ?
Cette semaine, Éric Dupond-Moretti en roue libre à l’Assemblée, la culture judéo-chrétienne tue les femmes, et Louis Boyard se prend pour un influenceur !
« Mon royaume pour un bras ! » et autres grandiloquences auraient été entendues par quelque journaliste à moustache.
La majorité est à l’épreuve et très sérieusement secouée. Et ce n’est pas l’éloignement momentané d’Emmanuel Macron ni sa gênante virée à Kinshasa qui ont rassuré les troupes.
La séance a été interrompue et les députés RN et LR ont quitté l’Hémicycle.
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Les structures du département étaient débordées et ne pouvaient plus les accueillir.
Un dispositif qui n’est pas sans poser de questions.
Dupond-Moretti s’octroie le droit de dire ce qui est bien, ce qui est mal. Mieux : ce qu’est le Bien, ce qu’est le Mal. C’est tellement confortable…
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
Par contraste avec ses adversaires, il est également en train d’apparaître, ces jours-ci, comme un homme modéré, intelligent, un défenseur de la liberté.
Maintenant, on peut être mis en examen et demeurer au pouvoir, de telle manière que le garde des Sceaux peut affirmer que sa démission n’est pas à l’ordre du jour car il tient sa légitimité du Président et du Premier ministre.
C’est la première fois qu’un ministre français en exercice est renvoyé devant la CJR, juridiction spécialement chargée de juger les ministres ou ex-ministres pour des crimes ou délits commis dans l’exercice de leurs fonctions.
Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.
Invité mercredi sur France Inter, l’ex-ministre de la Justice n’a pas pu s’empêcher d’attaquer ses cibles favorites.
Le nom du ministre de la Justice d’Emmanuel Macron, Éric Dupond-Moretti, est, depuis plusieurs mois, cité pour succéder à Laurent Fabius à la présidence du
Place nette ? Le slogan pourrait avoir un bel avenir : contre les dealers, mais aussi contre le pouvoir, dès le 9 juin !
Le ministre s’était déjà fait remarquer, il y a juste un an, pour avoir exécuté deux bras d’honneur dans l’Hémicycle.
Le ministère public avait requis un an d’emprisonnement avec sursis contre le garde des Sceaux en exercice.
À l’assemblée, il reproche au RN d’opposer « la France rurale et tranquille, catholique et blanche à la France des cités »
Gageons que, fidèle à sa légendaire clémence, cette institution d’exception saura faire preuve d’humanité
A-t-il vraiment tort de se comporter ainsi puisqu’il ne risque rien ?
Du 6 au 17 novembre prochains, Dupond-Moretti, aujourd’hui garde des Sceaux, va être amené à passer un « grand oral ».
Sans ces valeureux défenseurs de la femme aux seins nus, personne n’aurait décelé l’odieux machisme de Dupond-Moretti.
On l’a appris vendredi 28 juillet : Éric Dupond-Moretti sera jugé devant la Cour de justice de la République pour prise illégale d’intérêts. C’est une
C’est la première fois qu’un ministre français en exercice est renvoyé devant la CJR.
Cette semaine, Emmanuel Macron tente de communiquer avec nous, Éric Dupond-Moretti retourne dans les années 80….
L’État n’est-il donc pas responsable de l’exécution des OQTF ?
Cette semaine, Éric Dupond-Moretti en roue libre à l’Assemblée, la culture judéo-chrétienne tue les femmes, et Louis Boyard se prend pour un influenceur !
« Mon royaume pour un bras ! » et autres grandiloquences auraient été entendues par quelque journaliste à moustache.
La majorité est à l’épreuve et très sérieusement secouée. Et ce n’est pas l’éloignement momentané d’Emmanuel Macron ni sa gênante virée à Kinshasa qui ont rassuré les troupes.
La séance a été interrompue et les députés RN et LR ont quitté l’Hémicycle.
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Les structures du département étaient débordées et ne pouvaient plus les accueillir.
Un dispositif qui n’est pas sans poser de questions.
Dupond-Moretti s’octroie le droit de dire ce qui est bien, ce qui est mal. Mieux : ce qu’est le Bien, ce qu’est le Mal. C’est tellement confortable…
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
Par contraste avec ses adversaires, il est également en train d’apparaître, ces jours-ci, comme un homme modéré, intelligent, un défenseur de la liberté.
Maintenant, on peut être mis en examen et demeurer au pouvoir, de telle manière que le garde des Sceaux peut affirmer que sa démission n’est pas à l’ordre du jour car il tient sa légitimité du Président et du Premier ministre.
C’est la première fois qu’un ministre français en exercice est renvoyé devant la CJR, juridiction spécialement chargée de juger les ministres ou ex-ministres pour des crimes ou délits commis dans l’exercice de leurs fonctions.
Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.
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