Éric Dupond-Moretti

Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.

On l’aura compris, cette fois c’est du sérieux, Eric Dupond-Moretti siffle une bonne fois pour toute la fin de la récréation.

À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.

Quel est le plus gros scandale de ce lundi ? La petite phrase d’Éric Dupond-Moretti ? Ou le fait que cette petite phrase n’ait fait rigoureusement aucun bruit ?

Si la Justice punissait les délinquants de manière dissuasive, l’insécurité diminuerait drastiquement en France, c’est une certitude.

Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Après cet épuisant tour d’horizon des structures de réflexion mises en place par le ministère de la Justice, à chacun de s’imaginer que l’objectif est enfin atteint. Pas si vite, camarade !

Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.

Les relations du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti avec les magistrats étaient notoirement mauvaises. De là à ce que l’ancien « as » du barreau se retrouve devant des juges, il d avait un pas. Un pas franchi mardi.
L’histoire remonte à l’année 2013, lors de laquelle l’avocat aurait mystérieusement perçu la somme de 100.000 euros de la part d’une société.

Baroud d’honneur des partisans de la liberté, baroud du déshonneur pour les cabots serviles d’un alignement atlantiste insane.

Le ministre dont on pouvait louer le courage d’avocat ne peut que décevoir, tant la loi qu’il propose est loin des véritables préoccupations d’un public davantage en recherche d’équité que de justice.

Si cette loi est adoptée, elle consacrera l’irruption définitive du sentimentalisme, du subjectif, du relatif dans la loi, mais aussi et surtout, dans l’identité française.

Les généalogistes de demain vont avoir du pain sur la planche…

Éric Dupond-Moretti ne se rendra pas sur CNews : le garde des Sceaux craint la dénaturation de ses propos « sans aucune forme de contradiction

Tant de détermination à dénoncer les fraudes et les fraudeurs, tant de soin pour l’intérêt général deviennent intolérables à l’État macroniste.
Les avocats d’Éric Dupond-Moretti devraient déposer prochainement un pourvoi en cassation.

Incapable d’apporter la sécurité aux Français, l’État macroniste se réveille pour attaquer le porteur de mauvaises nouvelles et le défenseur de l’intérêt général.

De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y

Philippe Bilger réagit à la présence d’Éric Dupond-Moretti aux obsèques du père Maire pour représenter le gouvernement. Que pensez-vous de la présence

Quand Éric Dupond-Moretti a accepté le portefeuille de ministre de la Justice, on pouvait se demander « Que diable allait-il faire dans cette galère ».

Le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti a donc été mis en examen, vendredi 16 juillet, pour « prise illégale d’intérêts », un événement inédit pour
Sur les réseaux sociaux les réactions n’ont pas tardé, rappelant notamment les propos d’Emmanuel Macron en 2017 : « Un ministre doit quitter le gouvernement s’il est mis en examen ».

Après la perquisition du bureau d’Éric Dupond-Moretti, la semaine dernière, on apprend que le garde des Sceaux était convoqué, le 16 juillet, devant la Cour

Quelques pas de tango avec Marlène Schiappa viendraient étayer l’argumentation, une salsa avec Jean Castex finirait de convaincre les députés.
Par ailleurs, les syndicats reprochent à Éric Dupond-Moretti l’ouverture d’une autre enquête administrative à l’encontre du magistrat Édouard Levrault, aujourd’hui en poste à Nice.

Et après, vous vous demandez encore pourquoi les Français se sont abstenus et ont coulé le parti présidentiel ?

Éric Dupond-Moretti a été placé sous escorte pâtissière. Pour un homme déjà pétri d’humanisme, le coup serait rude.

Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.

On l’aura compris, cette fois c’est du sérieux, Eric Dupond-Moretti siffle une bonne fois pour toute la fin de la récréation.

À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.

Quel est le plus gros scandale de ce lundi ? La petite phrase d’Éric Dupond-Moretti ? Ou le fait que cette petite phrase n’ait fait rigoureusement aucun bruit ?

Si la Justice punissait les délinquants de manière dissuasive, l’insécurité diminuerait drastiquement en France, c’est une certitude.

Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Après cet épuisant tour d’horizon des structures de réflexion mises en place par le ministère de la Justice, à chacun de s’imaginer que l’objectif est enfin atteint. Pas si vite, camarade !

Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.

Les relations du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti avec les magistrats étaient notoirement mauvaises. De là à ce que l’ancien « as » du barreau se retrouve devant des juges, il d avait un pas. Un pas franchi mardi.
L’histoire remonte à l’année 2013, lors de laquelle l’avocat aurait mystérieusement perçu la somme de 100.000 euros de la part d’une société.

Baroud d’honneur des partisans de la liberté, baroud du déshonneur pour les cabots serviles d’un alignement atlantiste insane.

Le ministre dont on pouvait louer le courage d’avocat ne peut que décevoir, tant la loi qu’il propose est loin des véritables préoccupations d’un public davantage en recherche d’équité que de justice.

Si cette loi est adoptée, elle consacrera l’irruption définitive du sentimentalisme, du subjectif, du relatif dans la loi, mais aussi et surtout, dans l’identité française.

Les généalogistes de demain vont avoir du pain sur la planche…

Éric Dupond-Moretti ne se rendra pas sur CNews : le garde des Sceaux craint la dénaturation de ses propos « sans aucune forme de contradiction

Tant de détermination à dénoncer les fraudes et les fraudeurs, tant de soin pour l’intérêt général deviennent intolérables à l’État macroniste.
Les avocats d’Éric Dupond-Moretti devraient déposer prochainement un pourvoi en cassation.

Incapable d’apporter la sécurité aux Français, l’État macroniste se réveille pour attaquer le porteur de mauvaises nouvelles et le défenseur de l’intérêt général.

De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y

Philippe Bilger réagit à la présence d’Éric Dupond-Moretti aux obsèques du père Maire pour représenter le gouvernement. Que pensez-vous de la présence

Quand Éric Dupond-Moretti a accepté le portefeuille de ministre de la Justice, on pouvait se demander « Que diable allait-il faire dans cette galère ».

Le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti a donc été mis en examen, vendredi 16 juillet, pour « prise illégale d’intérêts », un événement inédit pour
Sur les réseaux sociaux les réactions n’ont pas tardé, rappelant notamment les propos d’Emmanuel Macron en 2017 : « Un ministre doit quitter le gouvernement s’il est mis en examen ».

Après la perquisition du bureau d’Éric Dupond-Moretti, la semaine dernière, on apprend que le garde des Sceaux était convoqué, le 16 juillet, devant la Cour

Quelques pas de tango avec Marlène Schiappa viendraient étayer l’argumentation, une salsa avec Jean Castex finirait de convaincre les députés.
Par ailleurs, les syndicats reprochent à Éric Dupond-Moretti l’ouverture d’une autre enquête administrative à l’encontre du magistrat Édouard Levrault, aujourd’hui en poste à Nice.

Et après, vous vous demandez encore pourquoi les Français se sont abstenus et ont coulé le parti présidentiel ?

Éric Dupond-Moretti a été placé sous escorte pâtissière. Pour un homme déjà pétri d’humanisme, le coup serait rude.
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