Eric Zemmour
On accuse toujours celui qui annonce la guerre de la provoquer.
À Bordeaux, Éric Zemmour est venu s’adresser aux orphelins du libéralisme, systématiquement trahis par la droite LR une fois au pouvoir.
Dès le mardi 9, le candidat NPA Philippe Poutou, conseiller municipal d’opposition à Bordeaux, a interpellé le maire en lui reprochant de ne rien faire.
Il y a la France de Johnny et celle de François-Xavier Bellamy, infortuné candidat LR aux élections européennes de 2019.
Le 11 novembre permet une magnifique récupération de l’inhumation du dernier compagnon de la Libération. Discours, regards lointains et pénétrants, « Marseillaises ». Et cela marche auprès de Français.
Ici, Radio Élysée. Le Président hors-sol vous parle.
Si l’on voulait prouver l’existence de relents totalitaires dans la politique française, il n’y aurait qu’à citer les mauvaises dénominations d’une pensée ou d’un homme, au point qu’elles deviennent les formulations les plus courantes.
Après le Zemmour inhumain de Sarko, voilà le profanateur de sépultures !
Les candidats seront obligés de se positionner par rapport à ce problème prioritaire du pouvoir d’achat. Celui qui gagnera la présidentielle sera celui qui apportera la réponse la plus convaincante.
Le phénomène Éric Zemmour permet aujourd’hui de valider l’hypocrisie de certains chez LR.
Pragmatique, le polémiste dénonce le contexte de lutte intersectionnelle ambiant qui désigne le mâle blanc comme l’homme à abattre.
Bravant sa répulsion, la commerçante accepte toutefois de commander le brûlot pour l’éventuel détraqué qui viendrait à le lui demander.
Il est des atavismes idéologiques incurables.
Le mérite de Zemmour est de crever les abcès. Aucun mot n’est plus tabou.
Comme Marine Le Pen , vous n’avez qu’un seul adversaire : Emmanuel Macron.
Si l’on décide de mettre dans le même sac l’assaillant et l’assiégé, n’aurait-on pas dû rendre compte de la violente agression de Coralie Dubost il y a quelques jours, par un sommaire « heurts entre passants à Paris » ?
Interrogé sur les violences lors d’une manifestation contre la venue à Nantes d’Éric Zemmour, Fabien Roussel a certes condamné les violences, mais il en a profité pour s’attaquer à la candidature du polémiste.
Zemmour est radicalement français, et en cela, il retrouve le gaullisme, l’idée que l’intérêt supérieur de la nation prime tout en politique…
Éric Zemmour est aujourd’hui à Nantes dans le cadre de la tournée promotionnelle de son nouveau livre La France n’a pas dit son dernier mot.
Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.
Pour comble de souplesse intellectuelle, rappelons que ceux-là mêmes qui appellent à viser la tête d’Éric Zemmour avec une arme s’étaient offusqués de le voir, lors du salon Milipol, viser des journalistes avec une arme de démonstration.
L’extrême gauche n’est pas avare des paradoxes qui font le charme de ces idiots utiles du système. Il leur suffit de croire à leurs oukases pour justifier la terreur.
Avant de s’interroger sur un « sombre printemps », ces experts s’érigeant en Cassandre nous auront prévenus : « À cette aune, le danger n’a donc rien de virtuel. »
Kamel Madani, c’est une sorte de conte de fées républicain.
La séquence avec Rachida Boukris, une musulmane qui revendique de porter le voile islamique « par choix » depuis quelques mois, a été très critiquée
Si l’on résume, ce qui ne devait être que banale formalité électorale risque d’être un peu plus hasardeux que prévu.
On accuse toujours celui qui annonce la guerre de la provoquer.
À Bordeaux, Éric Zemmour est venu s’adresser aux orphelins du libéralisme, systématiquement trahis par la droite LR une fois au pouvoir.
Dès le mardi 9, le candidat NPA Philippe Poutou, conseiller municipal d’opposition à Bordeaux, a interpellé le maire en lui reprochant de ne rien faire.
Il y a la France de Johnny et celle de François-Xavier Bellamy, infortuné candidat LR aux élections européennes de 2019.
Le 11 novembre permet une magnifique récupération de l’inhumation du dernier compagnon de la Libération. Discours, regards lointains et pénétrants, « Marseillaises ». Et cela marche auprès de Français.
Ici, Radio Élysée. Le Président hors-sol vous parle.
Si l’on voulait prouver l’existence de relents totalitaires dans la politique française, il n’y aurait qu’à citer les mauvaises dénominations d’une pensée ou d’un homme, au point qu’elles deviennent les formulations les plus courantes.
Après le Zemmour inhumain de Sarko, voilà le profanateur de sépultures !
Les candidats seront obligés de se positionner par rapport à ce problème prioritaire du pouvoir d’achat. Celui qui gagnera la présidentielle sera celui qui apportera la réponse la plus convaincante.
Le phénomène Éric Zemmour permet aujourd’hui de valider l’hypocrisie de certains chez LR.
Pragmatique, le polémiste dénonce le contexte de lutte intersectionnelle ambiant qui désigne le mâle blanc comme l’homme à abattre.
Bravant sa répulsion, la commerçante accepte toutefois de commander le brûlot pour l’éventuel détraqué qui viendrait à le lui demander.
Il est des atavismes idéologiques incurables.
Le mérite de Zemmour est de crever les abcès. Aucun mot n’est plus tabou.
Comme Marine Le Pen , vous n’avez qu’un seul adversaire : Emmanuel Macron.
Si l’on décide de mettre dans le même sac l’assaillant et l’assiégé, n’aurait-on pas dû rendre compte de la violente agression de Coralie Dubost il y a quelques jours, par un sommaire « heurts entre passants à Paris » ?
Interrogé sur les violences lors d’une manifestation contre la venue à Nantes d’Éric Zemmour, Fabien Roussel a certes condamné les violences, mais il en a profité pour s’attaquer à la candidature du polémiste.
Zemmour est radicalement français, et en cela, il retrouve le gaullisme, l’idée que l’intérêt supérieur de la nation prime tout en politique…
Éric Zemmour est aujourd’hui à Nantes dans le cadre de la tournée promotionnelle de son nouveau livre La France n’a pas dit son dernier mot.
Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.
Pour comble de souplesse intellectuelle, rappelons que ceux-là mêmes qui appellent à viser la tête d’Éric Zemmour avec une arme s’étaient offusqués de le voir, lors du salon Milipol, viser des journalistes avec une arme de démonstration.
L’extrême gauche n’est pas avare des paradoxes qui font le charme de ces idiots utiles du système. Il leur suffit de croire à leurs oukases pour justifier la terreur.
Avant de s’interroger sur un « sombre printemps », ces experts s’érigeant en Cassandre nous auront prévenus : « À cette aune, le danger n’a donc rien de virtuel. »
Kamel Madani, c’est une sorte de conte de fées républicain.
La séquence avec Rachida Boukris, une musulmane qui revendique de porter le voile islamique « par choix » depuis quelques mois, a été très critiquée
Si l’on résume, ce qui ne devait être que banale formalité électorale risque d’être un peu plus hasardeux que prévu.
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