esclavage
Gabriel Attal veut organiser en 2026 une « grande exposition nationale sur la mémoire de l’esclavage ».
Le risque d’une comparaison entre deux esclavagismes est que l’un apparaisse plus cruel que l’autre…
De petits non-dits à la troncature de pans complets, tout est fait pour accréditer la culpabilité de l’homme blanc.
Qui dit responsabilité de l’État dit réparations financières.
Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.
À mettre en exergue la mémoire sélective, on en vient à oublier l’Histoire objective.
Ce nouvel hommage pose donc une interrogation : comment un personnage de pure fiction gagne le statut de personnage historique ?
La reconstruction d’une marine de guerre puissante, décidée et organisée par Colbert permit donc de sauver de la mise en esclavage plusieurs centaines de milliers d’Européens.
Il faut que les Nantais d’aujourd’hui soient conscients de leur héritage esclavagiste, de cette faute qu’ils n’ont pas commise. Derrière Nantes, la France est pointée du doigt.
S’il est un sujet aride, peu susceptible aujourd’hui d’être relayé par la fanfare médiatique, c’est bien celui-là.
Côté colonisation, les Arabo-musulmans ne sont pas en reste !
Un proverbe, qui serait africain, dit : « Si tu veux monter au cocotier, tu dois avoir les fesses propres ! »
Bien avant qu’un seul Blanc n’ait mis le pied sur le sol africain, l’esclavage était, depuis de longs siècles, comme un mode de vie, une tradition, en Afrique.
Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !
Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.
Il suffit de demander à tout écolier des banlieues ce qu’est l’esclavage pour entendre le même refrain : c’est un méchant Blanc qui est allé prendre un gentil Noir en Afrique…
Donc, s’indigner, certes, mais à la marge et pas trop…
L’État de la diaspora africaine émet déjà des passeports. Pour en recevoir un, il faut avoir pour ancêtre un esclave africain déporté en Amérique ou être migrant ou descendant de migrant.
Gabriel Attal veut organiser en 2026 une « grande exposition nationale sur la mémoire de l’esclavage ».
Le risque d’une comparaison entre deux esclavagismes est que l’un apparaisse plus cruel que l’autre…
De petits non-dits à la troncature de pans complets, tout est fait pour accréditer la culpabilité de l’homme blanc.
Qui dit responsabilité de l’État dit réparations financières.
Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.
À mettre en exergue la mémoire sélective, on en vient à oublier l’Histoire objective.
Ce nouvel hommage pose donc une interrogation : comment un personnage de pure fiction gagne le statut de personnage historique ?
La reconstruction d’une marine de guerre puissante, décidée et organisée par Colbert permit donc de sauver de la mise en esclavage plusieurs centaines de milliers d’Européens.
Il faut que les Nantais d’aujourd’hui soient conscients de leur héritage esclavagiste, de cette faute qu’ils n’ont pas commise. Derrière Nantes, la France est pointée du doigt.
S’il est un sujet aride, peu susceptible aujourd’hui d’être relayé par la fanfare médiatique, c’est bien celui-là.
Côté colonisation, les Arabo-musulmans ne sont pas en reste !
Un proverbe, qui serait africain, dit : « Si tu veux monter au cocotier, tu dois avoir les fesses propres ! »
Bien avant qu’un seul Blanc n’ait mis le pied sur le sol africain, l’esclavage était, depuis de longs siècles, comme un mode de vie, une tradition, en Afrique.
Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !
Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.
Il suffit de demander à tout écolier des banlieues ce qu’est l’esclavage pour entendre le même refrain : c’est un méchant Blanc qui est allé prendre un gentil Noir en Afrique…
Donc, s’indigner, certes, mais à la marge et pas trop…
L’État de la diaspora africaine émet déjà des passeports. Pour en recevoir un, il faut avoir pour ancêtre un esclave africain déporté en Amérique ou être migrant ou descendant de migrant.