Espagne
Naïf, je m’imaginais que l’honneur élémentaire, pour lui, était de rester, d’assumer.
Un phénomène global ? Sans nul doute. Lequel commence d’ailleurs à prendre de l’ampleur en Italie.
« Attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne… »
Il s’est enfin jeté, et avec quelle force, dans la rue. Un million de personnes le 8 octobre à Barcelone, un million cent mille hier.
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
Que se passera-t-il lors des élections qui doivent être convoquées au plus tard dans six mois ?
Après le vote de la motion d’indépendance de la Catalogne, le Sénat espagnol vient de voter l’application, pour la première fois, de l’article 155 de la Constitution.
Puigdemont est un petit récipient qui ne manque pas d’air pour combler le vide.
Soros et son Open Society Foundation sont en train de jouer dans les coulisses de l’indépendantisme catalan…
Quelle bouffonnade, quelle farce, quel ridicule ! La République indépendante de Catalogne, proclamée ce mardi 10 octobre, n’aura duré que… 8 secondes.
Tel le Phénix, l’Espagne est en train de renaître de ses cendres.
La tentative de coup d’État de Puigdemont est infiniment plus grave que les prétendues violences policières.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Une vingtaine de camions de l’armée de terre sont partis hier soir d’une base militaire près de Saragosse pour Barcelone, où ils sont arrivés ce matin.
Si les indépendantistes sont plus adroits, ils sauront exploiter la faille.
Pourquoi Rajoy s’est-il laissé prendre à un piège aussi grossier ?
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Finalement, la plus raisonnable – une fois n’est pas coutume –, c’est Anne Hidalgo.
Il y a quelque chose de fascinant, je vous assure, à suivre sur le terrain, à chaud – je me trouve ces jours-ci à Barcelone -, les prolégomènes d’une révolution.
Toute l’équipe chargée de l’infrastructure pour le référendum du 1er octobre se trouve désormais sous les verrous.
Si ces gens-là aiment la patrie, ils aiment encore plus l’individualisme grégaire de nos jours.
Ce qui se passe, c’est un coup d’État dont l’enjeu est la sécession unilatérale et la révolution.
Dhimmitude : nom arabe qui désigne la condition des infidèles vivant soumis en terre d’islam et lui payant une rançon sous forme de tribut.
Al-Andalus n’a été ni plus ni moins tolérant que les États chrétiens qui lui ont succédé.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
Naïf, je m’imaginais que l’honneur élémentaire, pour lui, était de rester, d’assumer.
Un phénomène global ? Sans nul doute. Lequel commence d’ailleurs à prendre de l’ampleur en Italie.
« Attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne… »
Il s’est enfin jeté, et avec quelle force, dans la rue. Un million de personnes le 8 octobre à Barcelone, un million cent mille hier.
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
Que se passera-t-il lors des élections qui doivent être convoquées au plus tard dans six mois ?
Après le vote de la motion d’indépendance de la Catalogne, le Sénat espagnol vient de voter l’application, pour la première fois, de l’article 155 de la Constitution.
Puigdemont est un petit récipient qui ne manque pas d’air pour combler le vide.
Soros et son Open Society Foundation sont en train de jouer dans les coulisses de l’indépendantisme catalan…
Quelle bouffonnade, quelle farce, quel ridicule ! La République indépendante de Catalogne, proclamée ce mardi 10 octobre, n’aura duré que… 8 secondes.
Tel le Phénix, l’Espagne est en train de renaître de ses cendres.
La tentative de coup d’État de Puigdemont est infiniment plus grave que les prétendues violences policières.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Une vingtaine de camions de l’armée de terre sont partis hier soir d’une base militaire près de Saragosse pour Barcelone, où ils sont arrivés ce matin.
Si les indépendantistes sont plus adroits, ils sauront exploiter la faille.
Pourquoi Rajoy s’est-il laissé prendre à un piège aussi grossier ?
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Finalement, la plus raisonnable – une fois n’est pas coutume –, c’est Anne Hidalgo.
Il y a quelque chose de fascinant, je vous assure, à suivre sur le terrain, à chaud – je me trouve ces jours-ci à Barcelone -, les prolégomènes d’une révolution.
Toute l’équipe chargée de l’infrastructure pour le référendum du 1er octobre se trouve désormais sous les verrous.
Si ces gens-là aiment la patrie, ils aiment encore plus l’individualisme grégaire de nos jours.
Ce qui se passe, c’est un coup d’État dont l’enjeu est la sécession unilatérale et la révolution.
Dhimmitude : nom arabe qui désigne la condition des infidèles vivant soumis en terre d’islam et lui payant une rançon sous forme de tribut.
Al-Andalus n’a été ni plus ni moins tolérant que les États chrétiens qui lui ont succédé.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
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