Etats-Unis
Il est l’homme qui a fait tomber la présidente de Harvard et se bat contre la discrimination positive.
Le suspect a été arrêté le 4 septembre au Canada.
20, 7 milliards de dollars d’aide américaine ont été apportés à l’Afghanistan alors qu’y sévit « l’apartheid de genre ».
L’union sacrée scellée autour de Trump, le Parti républicain converge vers un seul but : « Make America Great Again »
Dès les premières heures, l’establishment médiatique nie la tentative d’assasinat intentée à l’encontre de Donald Trump
Le plus grand service que Biden puisse rendre aux démocrates est d’annoncer son abandon aux élections.
Plongée dans les coulisses d’un conflit stratégique majeur, silencieux mais impitoyable.
Trump s’est mis en retrait et a adopté une position ambigüe sur la crise ukrainienne.
La révolution culturelle woke, qui s’est imposée dans les universités, est le véritable incubateur de la haine.
Cette fois-ci, l’accord bipartisan conclu in extremis la semaine dernière au Congrès pour éviter la paralysie de l’État fédéral (le shutdown) n’aura pas coûté son
C’est à l’Iran que profite le crime.
Succès fulgurant pour une chanson dénonçant « ces hommes riches au nord de Richmond » qui « veulent tout contrôler ».
Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Pendant que ces évolutions majeures se dessinent, Emmanuel Macron, lui, ne s’intéresse guère aux Français mais à lui…
Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.
Kevin McCarthy, le potentiel président républicain de la chambre, a été clair : « il n’y aura plus de chèques en blanc pour l’Ukraine. »
Une opposition du Sénat est toutefois à craindre si celui-ci reste sous le contrôle des démocrates. Bras de fer en perspective.
Si Biden n’a plus de majorité à la Chambre des représentants, son mandat est terminé. Il n’est pas en très grande forme physique et ne représente pas un avenir certain pour incarner autre chose…
Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.
Obama, lui, a bien compris que comme en France, le clivage « USA d’en haut/USA d’en bas » commence à supplanter le classique gauche/droite.
Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.
Cet arrêté est tout simplement, pour le peuple souverain, avoir de nouveau la capacité de choisir.
Au total, la Cour suprême va permettre à 25 États, soit la moitié des États-Unis, d’interdire partiellement ou totalement cette pratique.
Il est l’homme qui a fait tomber la présidente de Harvard et se bat contre la discrimination positive.
Le suspect a été arrêté le 4 septembre au Canada.
20, 7 milliards de dollars d’aide américaine ont été apportés à l’Afghanistan alors qu’y sévit « l’apartheid de genre ».
L’union sacrée scellée autour de Trump, le Parti républicain converge vers un seul but : « Make America Great Again »
Dès les premières heures, l’establishment médiatique nie la tentative d’assasinat intentée à l’encontre de Donald Trump
Le plus grand service que Biden puisse rendre aux démocrates est d’annoncer son abandon aux élections.
Plongée dans les coulisses d’un conflit stratégique majeur, silencieux mais impitoyable.
Trump s’est mis en retrait et a adopté une position ambigüe sur la crise ukrainienne.
La révolution culturelle woke, qui s’est imposée dans les universités, est le véritable incubateur de la haine.
Cette fois-ci, l’accord bipartisan conclu in extremis la semaine dernière au Congrès pour éviter la paralysie de l’État fédéral (le shutdown) n’aura pas coûté son
C’est à l’Iran que profite le crime.
Succès fulgurant pour une chanson dénonçant « ces hommes riches au nord de Richmond » qui « veulent tout contrôler ».
Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Pendant que ces évolutions majeures se dessinent, Emmanuel Macron, lui, ne s’intéresse guère aux Français mais à lui…
Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.
Kevin McCarthy, le potentiel président républicain de la chambre, a été clair : « il n’y aura plus de chèques en blanc pour l’Ukraine. »
Une opposition du Sénat est toutefois à craindre si celui-ci reste sous le contrôle des démocrates. Bras de fer en perspective.
Si Biden n’a plus de majorité à la Chambre des représentants, son mandat est terminé. Il n’est pas en très grande forme physique et ne représente pas un avenir certain pour incarner autre chose…
Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.
Obama, lui, a bien compris que comme en France, le clivage « USA d’en haut/USA d’en bas » commence à supplanter le classique gauche/droite.
Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.
Cet arrêté est tout simplement, pour le peuple souverain, avoir de nouveau la capacité de choisir.
Au total, la Cour suprême va permettre à 25 États, soit la moitié des États-Unis, d’interdire partiellement ou totalement cette pratique.