Europe
Zeus soit loué, la Grèce n’en est pas arrivée à cette extrémité !
Ces élections sont donc un avertissement pour le PiS, mais Bruxelles aurait tort de miser gros sur une défaite des conservateurs polonais aux prochaines élections législatives en 2019.
Cela, alors que le fait qu’un homme de plus de cinquante ans ait une relation sexuelle avec un enfant tombe clairement sous la définition de la pédophilie.
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».
Plus de 80 ans après la fin de la guerre civile, les revanchards du peuple de gauche ne baissent pas les bras…
Ce qui est vraiment à l’œuvre, n’est-ce pas la volonté de briser tous les socles qui charpentent le monde : depuis la famille jusqu’à l’État et la nation…
Le gouvernement allemand et sa chancelière Angela Merkel luttent désormais pour leur survie.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Et quand le peuple vote mal, on le fait voter jusqu’à ce qu’il plie…
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
Le rejet de l’immigration, né de l’ouverture des frontières par la chancelière CDU Angela Merkel, a conduit à la percée du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui obtient 10,2 % et entre au sein du Parlement de Bavière.
C’est en réalité l’ensemble de la vision « politiquement correcte du monde » qui a été mise sur la sellette.
Matteo Salvini en Italie et Marine Le Pen en France ne marchent pas dans la combine.
On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
On lâche Orbán et on déroule le tapis rouge à Erdoğan ?
Les grands experts en démocratie feraient bien de balayer devant leur porte avant de donner des leçons.
Après cent jours au pouvoir, le gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez est secoué par des scandales politiques qui touchent plusieurs ministres, certains étant amenés
Manuel Valls a officialisé sa candidature à la mairie de Barcelone, sa ville natale. José Maria Ballester évoque l’accueil contrasté qui est réservé à l’homme
…Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Pour l’opinion serbe, cela ne fait aucun doute, il s’agit clairement d’un acte d’hostilité envers les Serbes du Kosovo.
Zeus soit loué, la Grèce n’en est pas arrivée à cette extrémité !
Ces élections sont donc un avertissement pour le PiS, mais Bruxelles aurait tort de miser gros sur une défaite des conservateurs polonais aux prochaines élections législatives en 2019.
Cela, alors que le fait qu’un homme de plus de cinquante ans ait une relation sexuelle avec un enfant tombe clairement sous la définition de la pédophilie.
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».
Plus de 80 ans après la fin de la guerre civile, les revanchards du peuple de gauche ne baissent pas les bras…
Ce qui est vraiment à l’œuvre, n’est-ce pas la volonté de briser tous les socles qui charpentent le monde : depuis la famille jusqu’à l’État et la nation…
Le gouvernement allemand et sa chancelière Angela Merkel luttent désormais pour leur survie.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Et quand le peuple vote mal, on le fait voter jusqu’à ce qu’il plie…
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
Le rejet de l’immigration, né de l’ouverture des frontières par la chancelière CDU Angela Merkel, a conduit à la percée du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui obtient 10,2 % et entre au sein du Parlement de Bavière.
C’est en réalité l’ensemble de la vision « politiquement correcte du monde » qui a été mise sur la sellette.
Matteo Salvini en Italie et Marine Le Pen en France ne marchent pas dans la combine.
On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
On lâche Orbán et on déroule le tapis rouge à Erdoğan ?
Les grands experts en démocratie feraient bien de balayer devant leur porte avant de donner des leçons.
Après cent jours au pouvoir, le gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez est secoué par des scandales politiques qui touchent plusieurs ministres, certains étant amenés
Manuel Valls a officialisé sa candidature à la mairie de Barcelone, sa ville natale. José Maria Ballester évoque l’accueil contrasté qui est réservé à l’homme
…Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
Pour l’opinion serbe, cela ne fait aucun doute, il s’agit clairement d’un acte d’hostilité envers les Serbes du Kosovo.
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