Euthanasie
Les partisans d’une légalisation de l’euthanasie sont vent debout.
Euthanasier les animaux pour renouveler l’espèce : la très sérieuse revue PNAS publie une tribune… disruptive.
L’ADMD voudrait contrarier les catholiques qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Mal nommer les choses est devenu une habitude, dans les cercles du pouvoir.
À quelques jours du vote de la loi, des parents s’inquiètent du rejet d’un amendement qui protégeait leurs enfants…
Et des soins palliatifs pour seulement 30 % des patients, c’est ça la « grande cause nationale » ?
Au Boomeristan, on veut mourir comme on a vécu : si je veux, quand je veux. Leur viatique est idéologique.
Euthanasie : un mot trop difficile à assumer au regard de l’Histoire, remplacé par « aide à mourir ».
Emmanuel Macron prévoit à nouveau de tuer le débat avec l’examen, à l’Assemblée nationale, du projet de loi « fin de vie »
La République a tendance à l’oublier, mais notre pays est pétri de valeurs chrétiennes qu’elle a simplement laïcisées.
L’opposition des organisations soignantes contre la loi fin de vie est bruyante car extrêmement majoritaire.
À peine terminée la grand-messe solennelle de la Sainte-Ivégée, voici une nouvelle fête votive : l’euthanasie !
Il faut dire que, sous cet angle précis, le décès de Robert Badinter tombe assez mal pour la Macronie.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
La Marche pour la Vie donne rendez-vous ce 21 janvier à 14 heures place Saint-Sulpice à Paris.
Il témoigne des effets de la tentation d’euthanasie sur son épouse. Sa lettre à E. Macron est restée sans réponse.
« Laissons les Français décider mais ne leur cachons pas les dérives possibles. »
Macron préférera évoquer avec lui la migration, un thème sur lequel il ne risque pas trop le désaccord.
Il faut mesurer combien cette loi transgresse la loi actuelle et les fondements millénaires de la médecine
L’Académie de médecine a par ailleurs précisé les « conditions impératives » nécessaires à l’assistance au suicide.
L’organe de consultation de la République a donc ouvert ses portes au Grand Orient !
Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue.
Ce projet devait être « humaniste d’une société solidaire, inclusive et émancipatrice » pour les personnes vulnérables
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
À quel seuil ma vie va-t-elle devenir indigne ?
Le Président a également annoncé un « plan décennal » sur les soins palliatifs, jugés insuffisants par la Convention.
Je persiste à ne pas pouvoir considérer comme un progrès de faire entrer le droit de tuer dans le Code pénal français.
Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou
Les partisans d’une légalisation de l’euthanasie sont vent debout.
Euthanasier les animaux pour renouveler l’espèce : la très sérieuse revue PNAS publie une tribune… disruptive.
L’ADMD voudrait contrarier les catholiques qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Mal nommer les choses est devenu une habitude, dans les cercles du pouvoir.
À quelques jours du vote de la loi, des parents s’inquiètent du rejet d’un amendement qui protégeait leurs enfants…
Et des soins palliatifs pour seulement 30 % des patients, c’est ça la « grande cause nationale » ?
Au Boomeristan, on veut mourir comme on a vécu : si je veux, quand je veux. Leur viatique est idéologique.
Euthanasie : un mot trop difficile à assumer au regard de l’Histoire, remplacé par « aide à mourir ».
Emmanuel Macron prévoit à nouveau de tuer le débat avec l’examen, à l’Assemblée nationale, du projet de loi « fin de vie »
La République a tendance à l’oublier, mais notre pays est pétri de valeurs chrétiennes qu’elle a simplement laïcisées.
L’opposition des organisations soignantes contre la loi fin de vie est bruyante car extrêmement majoritaire.
À peine terminée la grand-messe solennelle de la Sainte-Ivégée, voici une nouvelle fête votive : l’euthanasie !
Il faut dire que, sous cet angle précis, le décès de Robert Badinter tombe assez mal pour la Macronie.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
La Marche pour la Vie donne rendez-vous ce 21 janvier à 14 heures place Saint-Sulpice à Paris.
Il témoigne des effets de la tentation d’euthanasie sur son épouse. Sa lettre à E. Macron est restée sans réponse.
« Laissons les Français décider mais ne leur cachons pas les dérives possibles. »
Macron préférera évoquer avec lui la migration, un thème sur lequel il ne risque pas trop le désaccord.
Il faut mesurer combien cette loi transgresse la loi actuelle et les fondements millénaires de la médecine
L’Académie de médecine a par ailleurs précisé les « conditions impératives » nécessaires à l’assistance au suicide.
L’organe de consultation de la République a donc ouvert ses portes au Grand Orient !
Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue.
Ce projet devait être « humaniste d’une société solidaire, inclusive et émancipatrice » pour les personnes vulnérables
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
À quel seuil ma vie va-t-elle devenir indigne ?
Le Président a également annoncé un « plan décennal » sur les soins palliatifs, jugés insuffisants par la Convention.
Je persiste à ne pas pouvoir considérer comme un progrès de faire entrer le droit de tuer dans le Code pénal français.
Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou
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