Euthanasie

Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou

Je ne viens pas juger ici sur les choix personnels. Que chacun s’y débrouille. Mais « donner la mort ne saurait être considéré comme un soin », nous dit l’archevêque de Lyon dans son rôle de mainteneur justifié d’interdits.

Aujourd’hui, seuls nos 3 partis, Reconquête, le Mouvement conservateur et VIA, la voie du peuple, s’engagent clairement pour la défense d’une conception humaine de la fin de vie avec une ligne claire « Ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie ».

La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.

La fondation Jérôme-Lejeune souhaite alerter sur l’importance civilisationnelle de cet enjeu « qui nous concerne tous »
Les souffrances psychologiques consécutives au viol dont elle a été victime ont été jugées insupportables par un collège composé de deux médecins et un psychiatre.

Gabrielle Cluzel reçoit, cette semaine, « Dans votre salon », Tugdual Derville, président d’Alliance VITA qui vient de publier un nouveau livre, Docteur, ai-je le

Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin

Réduction des temps de transport, cheminement jusqu’au cimetière en trottinette électrique et autres propositions climato-responsables méritaient d’être soumises à l’ADMD.

Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.

Viviane Lambert avait compris que son chemin de croix n’était pas qu’affaire personnelle ou familiale. Lorsque les juges condamnent Vincent à mort, elle jette à la face des médias : « C’est un crime, c’est tout, c’est pour faire passer l’euthanasie, ça les arrange. »

Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.

Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.

Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Cette prétendue neutralité n’est que simulacre et sa nomination un signal envoyé qui n’augure rien de bon.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.

Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.

Le petit soldat CCNE a bien travaillé, il a ouvert la porte, les progressistes vont s’y engouffrer.

Le Comité d’éthique donne son feu vert pour quiconque voudrait légaliser l’euthanasie.

Elle est dans les tuyaux : il y aura bien une Convention citoyenne sur la fin de vie. Le Président se serait juste un peu

En première ligne, Line Renaud, 94 ans, comédienne populaire et marraine de l’ADMD, mène la bataille. Chacune de ses interventions est l’occasion, pour l’ancienne vedette du music-hall, d’aborder la question de la fin de vie.

Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !

« La culture qui s’offre à nous est une culture de toute-puissance qui laisse à croire qu’une personne n’est digne de vivre que lorsqu’elle est en bonne santé. »

Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
Le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a confirmé, le 11 avril dernier, que la prochaine grande réforme sociétale du nouveau quinquennat sera le « droit à mourir dans la dignité ».

Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou

Je ne viens pas juger ici sur les choix personnels. Que chacun s’y débrouille. Mais « donner la mort ne saurait être considéré comme un soin », nous dit l’archevêque de Lyon dans son rôle de mainteneur justifié d’interdits.

Aujourd’hui, seuls nos 3 partis, Reconquête, le Mouvement conservateur et VIA, la voie du peuple, s’engagent clairement pour la défense d’une conception humaine de la fin de vie avec une ligne claire « Ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie ».

La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.

La fondation Jérôme-Lejeune souhaite alerter sur l’importance civilisationnelle de cet enjeu « qui nous concerne tous »
Les souffrances psychologiques consécutives au viol dont elle a été victime ont été jugées insupportables par un collège composé de deux médecins et un psychiatre.

Gabrielle Cluzel reçoit, cette semaine, « Dans votre salon », Tugdual Derville, président d’Alliance VITA qui vient de publier un nouveau livre, Docteur, ai-je le

Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin

Réduction des temps de transport, cheminement jusqu’au cimetière en trottinette électrique et autres propositions climato-responsables méritaient d’être soumises à l’ADMD.

Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.

Viviane Lambert avait compris que son chemin de croix n’était pas qu’affaire personnelle ou familiale. Lorsque les juges condamnent Vincent à mort, elle jette à la face des médias : « C’est un crime, c’est tout, c’est pour faire passer l’euthanasie, ça les arrange. »

Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.

Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.

Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Cette prétendue neutralité n’est que simulacre et sa nomination un signal envoyé qui n’augure rien de bon.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.

Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.

Le petit soldat CCNE a bien travaillé, il a ouvert la porte, les progressistes vont s’y engouffrer.

Le Comité d’éthique donne son feu vert pour quiconque voudrait légaliser l’euthanasie.

Elle est dans les tuyaux : il y aura bien une Convention citoyenne sur la fin de vie. Le Président se serait juste un peu

En première ligne, Line Renaud, 94 ans, comédienne populaire et marraine de l’ADMD, mène la bataille. Chacune de ses interventions est l’occasion, pour l’ancienne vedette du music-hall, d’aborder la question de la fin de vie.

Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !

« La culture qui s’offre à nous est une culture de toute-puissance qui laisse à croire qu’une personne n’est digne de vivre que lorsqu’elle est en bonne santé. »

Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
Le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a confirmé, le 11 avril dernier, que la prochaine grande réforme sociétale du nouveau quinquennat sera le « droit à mourir dans la dignité ».
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
