Fake news

La fausse information a suscité les réactions les plus vives sur les réseaux sociaux.

Des ministres en exercice ou au placard ont effectué des déclarations fausses ou alarmistes pour manipuler l’opinion.

Que tous ceux qui ont accusé l’extrême droite s’excusent !

Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.

On le sait depuis le 29 septembre : à quelque mois de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a donc décidé de créer une commission composée de
À Senlis, un Youtubeur, suivi par plus de 130.000 personnes sur Internet, a filmé une fausse bavure policière pour faire le buzz.

Cet article a été publié le 9 juillet. Nous sommes le 11 juillet et la photographie est toujours en ligne. A-t-il ému du côté du ministère des Armées ?

Pour « Quotidien », certains responsables qui ont pris la parole dimanche, à l’occasion de la manifestation des opposants à la PMA, disent n’importe quoi

Il y a, par exemple, ce que l’on nomme, en jargon anglo-globish, les deepfakes, (mal) traduit par « hypertrucages ».
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Se poser modestement la question de l’accident ou du crime serait-il une faute ontologique ? Préférer le doute au dogme, une hérésie intellectuelle ?
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
On pourrait croire que le combat contre les « fake news » est, de tous, le plus louable. Mais il doit faire, lui aussi, l’objet d’un décodage car il a ses limites et ses partis pris.

Il est le premier chasseur de « fake news », et ce, depuis dix ans. À l’époque, on parlait le franchouillard et non le globish. On appelait ça, bêtement, des bobards.

Une leçon de militantisme journalistique.

On lance un brûlot mondial, repris par les médias. Suivent les rétractations, qui sont naturellement sans impact. Imparable !

Le thème de l’immigration devra désormais être présenté de manière positive sous le regard bienveillant de l’ONU, nouveau Big Brother de l’info.

Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.

Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».
France 24 se vante, dans son slogan publicitaire, de donner « tous les avis » !

A cause du Brexit… C’est, en tout cas, ce que l’on tente de nous faire croire…

Dans la société orwellienne, le bouc émissaire reste essentiel. Ce sera donc Matteo Salvini.

Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
La nouvelle était trop belle : la famille du colonel Beltrame refuserait que son nom soit donné à des rues de villes tenues par le Front national.
Emmanuel Macron a émis le souhait de donner à l’AFP la mission de certifier les informations… une nouvelle qui n’a pas manqué de faire rire Jean-Yves Le Gallou.
Le « délit de fausse nouvelle » existe déjà, et l’article 27 de la Loi sur la Liberté de la presse prévoit une amende de 45.000 euros pour les coupables.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.

La fausse information a suscité les réactions les plus vives sur les réseaux sociaux.

Des ministres en exercice ou au placard ont effectué des déclarations fausses ou alarmistes pour manipuler l’opinion.

Que tous ceux qui ont accusé l’extrême droite s’excusent !

Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.

On le sait depuis le 29 septembre : à quelque mois de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a donc décidé de créer une commission composée de
À Senlis, un Youtubeur, suivi par plus de 130.000 personnes sur Internet, a filmé une fausse bavure policière pour faire le buzz.

Cet article a été publié le 9 juillet. Nous sommes le 11 juillet et la photographie est toujours en ligne. A-t-il ému du côté du ministère des Armées ?

Pour « Quotidien », certains responsables qui ont pris la parole dimanche, à l’occasion de la manifestation des opposants à la PMA, disent n’importe quoi

Il y a, par exemple, ce que l’on nomme, en jargon anglo-globish, les deepfakes, (mal) traduit par « hypertrucages ».
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Se poser modestement la question de l’accident ou du crime serait-il une faute ontologique ? Préférer le doute au dogme, une hérésie intellectuelle ?
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
On pourrait croire que le combat contre les « fake news » est, de tous, le plus louable. Mais il doit faire, lui aussi, l’objet d’un décodage car il a ses limites et ses partis pris.

Il est le premier chasseur de « fake news », et ce, depuis dix ans. À l’époque, on parlait le franchouillard et non le globish. On appelait ça, bêtement, des bobards.

Une leçon de militantisme journalistique.

On lance un brûlot mondial, repris par les médias. Suivent les rétractations, qui sont naturellement sans impact. Imparable !

Le thème de l’immigration devra désormais être présenté de manière positive sous le regard bienveillant de l’ONU, nouveau Big Brother de l’info.

Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.

Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».
France 24 se vante, dans son slogan publicitaire, de donner « tous les avis » !

A cause du Brexit… C’est, en tout cas, ce que l’on tente de nous faire croire…

Dans la société orwellienne, le bouc émissaire reste essentiel. Ce sera donc Matteo Salvini.

Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
La nouvelle était trop belle : la famille du colonel Beltrame refuserait que son nom soit donné à des rues de villes tenues par le Front national.
Emmanuel Macron a émis le souhait de donner à l’AFP la mission de certifier les informations… une nouvelle qui n’a pas manqué de faire rire Jean-Yves Le Gallou.
Le « délit de fausse nouvelle » existe déjà, et l’article 27 de la Loi sur la Liberté de la presse prévoit une amende de 45.000 euros pour les coupables.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.
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