Féminicide
En situation irrégulière sur le sol français, ces individus tuent, violent, agressent malgré une, voire plusieurs, OQTF
Le 1er avril dernier, les corps d’une femme de 47 ans et d’un homme de 36 ans sont découverts dans un appartement à Bois-Guillaume. L’enquête
La suspecte et la victime étaient en couple depuis deux mois.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Violaine de Filippis l’a affirmé : « C’est notre culture judéo-chrétienne qui engendre [ces féminicides] » !
Annie Ernaux, réputée pour la crudité triste de ses descriptions intimes, est emblématique de sa génération, celle qui a appelé la libération des mœurs, blanc-seing sexuel qui a été interprété par DSK et ses épigones comme une pancarte « open bar », accrochée sur le front – restons polis – de toutes les femmes.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
Cette fois, c’est le terrible comptage des « féminicides » qui est à l’origine d’une violente bagarre entre associations féministes.
L’agresseur a ciblé les femmes.
Dans la nuit de dimanche à lundi, à Hayange, un ressortissant kosovar multirécidiviste et condamné à la prison ferme a poursuivi et poignardé à mort
Dans cette toile géographique, peut-on discerner des profils types de passage à l’acte ?
Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.
Les 50.000 manifestants contre les violences sexistes et sexuelles de samedi feraient bien d’en rechercher la cause, et pour une fois, il sera difficile d’impliquer le changement climatique.
Havrin Khalaf, violée, lapidée avant d’être achevée, mérite beaucoup plus que quelques articles ici et là.
Dans quelle France vivons-nous ? Et dire qu’elle s’illustra longtemps par la courtoisie des relations entre les hommes et les femmes.
La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.
En situation irrégulière sur le sol français, ces individus tuent, violent, agressent malgré une, voire plusieurs, OQTF
Le 1er avril dernier, les corps d’une femme de 47 ans et d’un homme de 36 ans sont découverts dans un appartement à Bois-Guillaume. L’enquête
La suspecte et la victime étaient en couple depuis deux mois.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Violaine de Filippis l’a affirmé : « C’est notre culture judéo-chrétienne qui engendre [ces féminicides] » !
Annie Ernaux, réputée pour la crudité triste de ses descriptions intimes, est emblématique de sa génération, celle qui a appelé la libération des mœurs, blanc-seing sexuel qui a été interprété par DSK et ses épigones comme une pancarte « open bar », accrochée sur le front – restons polis – de toutes les femmes.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
Cette fois, c’est le terrible comptage des « féminicides » qui est à l’origine d’une violente bagarre entre associations féministes.
L’agresseur a ciblé les femmes.
Dans la nuit de dimanche à lundi, à Hayange, un ressortissant kosovar multirécidiviste et condamné à la prison ferme a poursuivi et poignardé à mort
Dans cette toile géographique, peut-on discerner des profils types de passage à l’acte ?
Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.
Les 50.000 manifestants contre les violences sexistes et sexuelles de samedi feraient bien d’en rechercher la cause, et pour une fois, il sera difficile d’impliquer le changement climatique.
Havrin Khalaf, violée, lapidée avant d’être achevée, mérite beaucoup plus que quelques articles ici et là.
Dans quelle France vivons-nous ? Et dire qu’elle s’illustra longtemps par la courtoisie des relations entre les hommes et les femmes.
La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.
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