Féminisme
Je le sais, je le sens, la nouvelle République écologique et sociale sera le paradis sur Terre.
C’est marrant, plus le féminisme progresse, plus les femmes régressent…
Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?
Et voilà qui pose, une fois de plus, l’épineuse question du féminisme occidental vis-à-vis des violences faites aux femmes. Question d’autant plus épineuse que ces féministes sont prêtes à s’égorger à coups de sac à main sur la définition même de leur combat.
Comme le soulignait si justement l’écrivain algérien Wassyla Tamzali, toutes les guerres identitaires se font sur le corps des femmes…
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Que pense Gabrielle Cluzel, auteur de Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme et rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, du féminisme ? https://www.youtube.com/watch?v=fYmpUdjzrms&ab_channel=BoulevardVoltaire
Premier volet de notre série Place des femmes mettant à l’honneur des jeunes femmes engagées, à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes,
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Comment se fait-il que toutes ces femmes, parvenues ces dernières années aux sommets journalistiques, se transforment systématiquement en viragos ?
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Hélas, le progressisme féministe est fort avec les faibles, trouillard avec les forts.
À nous deux, monde sans hommes, à quoi ressemblerais-tu ?
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…
Lundi soir, alors que se tenait le premier conseil de rentrée dans la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, une trentaine de féministes issues de diverses associations sont venues vociférer…
Deux mouvements contradictoires cohabitent donc : le dévoilement et le voilement. C’est le paradoxe de notre société.
Intervenir en cas de harcèlement ? Il n’y a que des coups – physiques et médiatiques – à prendre et rien à gagner.
En un mot comme en mille, cette femme fut aussi, et ce, à sa façon, une grande dame. Après, on a toujours le droit de préférer Alice Coffin à Gisèle Halimi…
C’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes de Paris Match sans l’ombre d’une distance critique.
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Un exemple pour plein de jeunes filles… de l’humiliation à laquelle peut vous conduire une instrumentalisation de votre féminité et de votre appartenance à la diversité.
Je le sais, je le sens, la nouvelle République écologique et sociale sera le paradis sur Terre.
C’est marrant, plus le féminisme progresse, plus les femmes régressent…
Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?
Et voilà qui pose, une fois de plus, l’épineuse question du féminisme occidental vis-à-vis des violences faites aux femmes. Question d’autant plus épineuse que ces féministes sont prêtes à s’égorger à coups de sac à main sur la définition même de leur combat.
Comme le soulignait si justement l’écrivain algérien Wassyla Tamzali, toutes les guerres identitaires se font sur le corps des femmes…
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Que pense Gabrielle Cluzel, auteur de Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme et rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, du féminisme ? https://www.youtube.com/watch?v=fYmpUdjzrms&ab_channel=BoulevardVoltaire
Premier volet de notre série Place des femmes mettant à l’honneur des jeunes femmes engagées, à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes,
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Comment se fait-il que toutes ces femmes, parvenues ces dernières années aux sommets journalistiques, se transforment systématiquement en viragos ?
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Hélas, le progressisme féministe est fort avec les faibles, trouillard avec les forts.
À nous deux, monde sans hommes, à quoi ressemblerais-tu ?
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…
Lundi soir, alors que se tenait le premier conseil de rentrée dans la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, une trentaine de féministes issues de diverses associations sont venues vociférer…
Deux mouvements contradictoires cohabitent donc : le dévoilement et le voilement. C’est le paradoxe de notre société.
Intervenir en cas de harcèlement ? Il n’y a que des coups – physiques et médiatiques – à prendre et rien à gagner.
En un mot comme en mille, cette femme fut aussi, et ce, à sa façon, une grande dame. Après, on a toujours le droit de préférer Alice Coffin à Gisèle Halimi…
C’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes de Paris Match sans l’ombre d’une distance critique.
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Un exemple pour plein de jeunes filles… de l’humiliation à laquelle peut vous conduire une instrumentalisation de votre féminité et de votre appartenance à la diversité.
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