Féminisme

La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.

Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…

Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…

On peut saluer la prestation pour le moins originale de Manon Aubry au Parlement européen. Et lui donner la place qu’elle mérite : beaux moyens, bel investissement, mais décalé, hors de propos.

En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.

Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.

Ces « réformes progressistes » seraient-elles de la poudre aux yeux pour berner les Occidentaux ?

Robert de Sorbon, réveille-toi, elles sont devenues folles !

Et la neige, à ce moment-là ? Ne devrait-elle pas tomber un peu plus sur les hommes, histoire de venger les femmes en attendant le « déneigement pro-égalité » ?

Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen)

Aujourd’hui, seules cinq stations portent des noms de femmes, sur les 110 que compte le réseau parisien. À l’heure de la parité, il est temps de remédier à ce déséquilibre…

Est-ce qu’on devient dingue ou cinglé ?

Un certain militantisme féministe ressemble plutôt à une société protectrice de bourges des beaux quartiers…

Loin de nous l’idée de nier les violences faites aux femmes.

Samedi, à Paris, avait lieu la marche #NousToutes contre les violences faites aux femmes. Un collectif féministe, baptisé Némésis, s’est introduit dans le cortège. Qui

La prochaine manif anti-islamophobie s’annonce des plus complexes pour la plupart des participants. Des banderoles double face sont à l’étude.

Traiter quelqu’un de « con », n’est-ce pas humilier d’abord toutes les femmes dont le sexe est ainsi exposé au mépris ?

Après Carmen, les femmes revisitent le tango, qu’elles jugent machiste et féminicide. Au concours du Mondial du tango, à Buenos Aires, du 8 au 21

On pensait naïvement qu’il existait des chorales de garçons, des chorales de filles et des chorales mixtes, et que cela n’empêchait pas le monde de tourner.

Dit autrement, mais de façon moins racoleuse, Marlène Schiappa est attirée par les hommes intelligents. Rien de torride ni de follement indécent.

Les féministes islamiques devraient manifester devant l’ambassade d’Irak pour dénoncer les chiites qui nuisent à la liberté vestimentaire de Mme Saade…

Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Depuis quand les féministes s’encombrent-elles de l’avis des femmes ?

Que pourrait être son portrait-robot ?

La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.

C’est un flagrant délit de sexiiiisme !

Bien entendu, l’absence de parité n’est présentée comme choquante que là où elle s’exerce au bénéfice des hommes…

Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.

La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.

Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…

Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…

On peut saluer la prestation pour le moins originale de Manon Aubry au Parlement européen. Et lui donner la place qu’elle mérite : beaux moyens, bel investissement, mais décalé, hors de propos.

En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.

Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.

Ces « réformes progressistes » seraient-elles de la poudre aux yeux pour berner les Occidentaux ?

Robert de Sorbon, réveille-toi, elles sont devenues folles !

Et la neige, à ce moment-là ? Ne devrait-elle pas tomber un peu plus sur les hommes, histoire de venger les femmes en attendant le « déneigement pro-égalité » ?

Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen)

Aujourd’hui, seules cinq stations portent des noms de femmes, sur les 110 que compte le réseau parisien. À l’heure de la parité, il est temps de remédier à ce déséquilibre…

Est-ce qu’on devient dingue ou cinglé ?

Un certain militantisme féministe ressemble plutôt à une société protectrice de bourges des beaux quartiers…

Loin de nous l’idée de nier les violences faites aux femmes.

Samedi, à Paris, avait lieu la marche #NousToutes contre les violences faites aux femmes. Un collectif féministe, baptisé Némésis, s’est introduit dans le cortège. Qui

La prochaine manif anti-islamophobie s’annonce des plus complexes pour la plupart des participants. Des banderoles double face sont à l’étude.

Traiter quelqu’un de « con », n’est-ce pas humilier d’abord toutes les femmes dont le sexe est ainsi exposé au mépris ?

Après Carmen, les femmes revisitent le tango, qu’elles jugent machiste et féminicide. Au concours du Mondial du tango, à Buenos Aires, du 8 au 21

On pensait naïvement qu’il existait des chorales de garçons, des chorales de filles et des chorales mixtes, et que cela n’empêchait pas le monde de tourner.

Dit autrement, mais de façon moins racoleuse, Marlène Schiappa est attirée par les hommes intelligents. Rien de torride ni de follement indécent.

Les féministes islamiques devraient manifester devant l’ambassade d’Irak pour dénoncer les chiites qui nuisent à la liberté vestimentaire de Mme Saade…

Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Depuis quand les féministes s’encombrent-elles de l’avis des femmes ?

Que pourrait être son portrait-robot ?

La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.

C’est un flagrant délit de sexiiiisme !

Bien entendu, l’absence de parité n’est présentée comme choquante que là où elle s’exerce au bénéfice des hommes…

Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.
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