Féminisme
La sauce a pris aux États-Unis et en Angleterre ; par la magie du mimétisme militant, la voilà aussi en France !
Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?
Nous vivons une époque formidable où l’évidence est proscrite, une époque où la cantatrice d’Ionesco est non seulement chauve, mais également barbue, poilue et bigrement musclée pour une diva.
Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?
C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…
Il n’est pas question d’oublier les victimes de violences conjugales ; il s’agit de rappeler la finalité de ce mouvement qui se dit féministe mais qui demeure aux antipodes de la vraie féminité.
Des femmes, des universitaires solidement titrées, ont entrepris de rebaptiser les différentes parties du sexe féminin.
Après la Suède, qui recommandait aux hommes de faire pipi assis, la station debout pour les femmes, venue du Danemark, confirme l’adhésion des pays scandinaves aux délires mondialistes.
Courage, Mesdames, montrez que vous en avez, vous aussi… question d’égalité !
Ces dames ont-elles, d’ailleurs, conscience de leur filiation idéologique directe avec un mâle blanc cisgenre barbu ?
On ne peut dire ni écrire : grenadière, carabinière, cuirassière ni hussarde (sauf dans l’expression : « à la hussarde »). Pourquoi ? L’usage.
Mais bon, allons-y pour un dernier femmage à Agnès Varda…
L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.
Le lavage des cerveaux fait toujours du mal…
Le scénario peut pourtant prévoir qu’il commence le film en homme, puis se fasse opérer à Bangkok par le méchant Docteur No…
Plus les années passent, plus cette Journée internationale des droits des femmes devient grotesque ! Cette année, on a découvert que même l’intelligence artificielle est
En 1974, les femmes se promenaient en mini-jupe et cheveux au vent, dans les rues de Téhéran et de Kaboul. Preuve que rien n’est jamais acquis…
Un terrorisme intellectuel règne en milieu artistique, littéraire, à l’Université.
La marque de rasoirs Gilette a sorti une publicité inspirée du mouvement féministe #MeToo, évoquant l’oppression masculine. Julien Rochedy réagit à cette stratégie commerciale inattendue
La question aujourd’hui au cœur du débat est celle des outrances d’un féminisme qui a remplacé la lutte des classes par la lutte des sexes.
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Mais, entre nous, si la parole culte du Quai des brumes sévissait aujourd’hui dans les salles effarées du cinéma de la bien-pensance, Gabin serait déjà devenu le Weinstein de la réplique…
Quel rapport y a-t-il entre les antiracistes, les antispécistes, les antifascistes, les féministes et, plus généralement, les militants du « genre », les écolos ?
À son université d’été du féminisme, Marlène Schiappa avait osé inviter… Élisabeth Lévy.
Marlène Schiappa, la féministe type de notre époque, maniant avec aplomb des contradictions qu’aucune lueur de lucidité ne vient jamais ébranler.
Le féminisme du XXIe siècle a quatre ans d’âge mental.
Une cour d’Égypte a condamné Mona Al-Mazbouh à huit ans de réclusion pour « atteinte au peuple égyptien ».
La sauce a pris aux États-Unis et en Angleterre ; par la magie du mimétisme militant, la voilà aussi en France !
Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?
Nous vivons une époque formidable où l’évidence est proscrite, une époque où la cantatrice d’Ionesco est non seulement chauve, mais également barbue, poilue et bigrement musclée pour une diva.
Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?
C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…
Il n’est pas question d’oublier les victimes de violences conjugales ; il s’agit de rappeler la finalité de ce mouvement qui se dit féministe mais qui demeure aux antipodes de la vraie féminité.
Des femmes, des universitaires solidement titrées, ont entrepris de rebaptiser les différentes parties du sexe féminin.
Après la Suède, qui recommandait aux hommes de faire pipi assis, la station debout pour les femmes, venue du Danemark, confirme l’adhésion des pays scandinaves aux délires mondialistes.
Courage, Mesdames, montrez que vous en avez, vous aussi… question d’égalité !
Ces dames ont-elles, d’ailleurs, conscience de leur filiation idéologique directe avec un mâle blanc cisgenre barbu ?
On ne peut dire ni écrire : grenadière, carabinière, cuirassière ni hussarde (sauf dans l’expression : « à la hussarde »). Pourquoi ? L’usage.
Mais bon, allons-y pour un dernier femmage à Agnès Varda…
L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.
Le lavage des cerveaux fait toujours du mal…
Le scénario peut pourtant prévoir qu’il commence le film en homme, puis se fasse opérer à Bangkok par le méchant Docteur No…
Plus les années passent, plus cette Journée internationale des droits des femmes devient grotesque ! Cette année, on a découvert que même l’intelligence artificielle est
En 1974, les femmes se promenaient en mini-jupe et cheveux au vent, dans les rues de Téhéran et de Kaboul. Preuve que rien n’est jamais acquis…
Un terrorisme intellectuel règne en milieu artistique, littéraire, à l’Université.
La marque de rasoirs Gilette a sorti une publicité inspirée du mouvement féministe #MeToo, évoquant l’oppression masculine. Julien Rochedy réagit à cette stratégie commerciale inattendue
La question aujourd’hui au cœur du débat est celle des outrances d’un féminisme qui a remplacé la lutte des classes par la lutte des sexes.
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Mais, entre nous, si la parole culte du Quai des brumes sévissait aujourd’hui dans les salles effarées du cinéma de la bien-pensance, Gabin serait déjà devenu le Weinstein de la réplique…
Quel rapport y a-t-il entre les antiracistes, les antispécistes, les antifascistes, les féministes et, plus généralement, les militants du « genre », les écolos ?
À son université d’été du féminisme, Marlène Schiappa avait osé inviter… Élisabeth Lévy.
Marlène Schiappa, la féministe type de notre époque, maniant avec aplomb des contradictions qu’aucune lueur de lucidité ne vient jamais ébranler.
Le féminisme du XXIe siècle a quatre ans d’âge mental.
Une cour d’Égypte a condamné Mona Al-Mazbouh à huit ans de réclusion pour « atteinte au peuple égyptien ».
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