Féminisme
Pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas instaurer une circulation séparée : les hommes sur un trottoir, les femmes sur l’autre…
L’association Osez le féminisme ! vient de lancer une énième campagne visant à donner des noms de fille aux stations de métro…
Dommage que Christine Angot ne soit pas américaine. On l’aurait inscrite.
Balancer publiquement – et souvent anonymement – répond effectivement plus volontiers à une pulsion vengeresse.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.
Apparemment, Mme Schiappa devait vivre sur une autre planète lorsque furent commis les viols du Nouvel An 2016 à Cologne.
Marlène Schiappa est venue au micro de Jean-Jacques Bourdin se livrer à quelques improvisations sur le thème du féminisme « intransigeant mais pas trop enfin ça dépend ».
Christiane Taubira, le retour. Et sur les questions féministes, bien sûr, qui occupent toute l’actualité, car Madame est experte. Paraît-il.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Qu’a donc proféré BB de si intolérable par rapport aux pensées correctes et bienséantes concernant le féminisme, de quelle abstention quasiment criminelle s’est-elle rendue coupable ?
Quel regard portons-nous sur la femme, pilier central de la société ?
J’estime profondément misandre la représentation de la gent masculine comme un ramassis d’agités pulsionnels, frustes et égotistes, dont il ne faudrait espérer ni autocontrôle ni dévouement.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
Revenons aux sources, même si cela doit indisposer ou choquer les enfants de Mai 68…
Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin.
Tout là-haut, des têtes bien pensantes trouvent dans vos gâteaux l’once d’une menace insistante.
Pourquoi les femmes sont-elles en moyenne, plus petites que les hommes ?
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Nous sommes tellement habitués à l’absurde depuis quelques années, avec de petits maîtres se prenant pour de grands génies.
« Cette agitation féministe et ces cris d’orfraie me laissent assez sceptique. »
Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une considération sexuée des rapports entre hommes et femmes devient progressiste-ment insupportable.
Détruire la galanterie, c’est revenir à la loi du plus fort.
Tex voué aux gémonies par les Furies de la traque misogyne. Mis en quarantaine. Dénoncé. Lâché.
Si l’on cessait d’offrir le spectacle d’un condensé de la caricature féminine telle qu’elle est véhiculée dans la littérature depuis le XIXe ?
Sur Boulevard Voltaire, nous dénonçons suffisamment les médias « mainstream », pour leur rendre justice lorsqu’ils défendent la liberté d’expression.
L’hystérie féministe ne connaît pas la crise.
Pauvres petites actrices si malheureuses d’être désirées, c’est la bouillie dans leur tête.
Pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas instaurer une circulation séparée : les hommes sur un trottoir, les femmes sur l’autre…
L’association Osez le féminisme ! vient de lancer une énième campagne visant à donner des noms de fille aux stations de métro…
Dommage que Christine Angot ne soit pas américaine. On l’aurait inscrite.
Balancer publiquement – et souvent anonymement – répond effectivement plus volontiers à une pulsion vengeresse.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.
Apparemment, Mme Schiappa devait vivre sur une autre planète lorsque furent commis les viols du Nouvel An 2016 à Cologne.
Marlène Schiappa est venue au micro de Jean-Jacques Bourdin se livrer à quelques improvisations sur le thème du féminisme « intransigeant mais pas trop enfin ça dépend ».
Christiane Taubira, le retour. Et sur les questions féministes, bien sûr, qui occupent toute l’actualité, car Madame est experte. Paraît-il.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Qu’a donc proféré BB de si intolérable par rapport aux pensées correctes et bienséantes concernant le féminisme, de quelle abstention quasiment criminelle s’est-elle rendue coupable ?
Quel regard portons-nous sur la femme, pilier central de la société ?
J’estime profondément misandre la représentation de la gent masculine comme un ramassis d’agités pulsionnels, frustes et égotistes, dont il ne faudrait espérer ni autocontrôle ni dévouement.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
Revenons aux sources, même si cela doit indisposer ou choquer les enfants de Mai 68…
Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin.
Tout là-haut, des têtes bien pensantes trouvent dans vos gâteaux l’once d’une menace insistante.
Pourquoi les femmes sont-elles en moyenne, plus petites que les hommes ?
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Nous sommes tellement habitués à l’absurde depuis quelques années, avec de petits maîtres se prenant pour de grands génies.
« Cette agitation féministe et ces cris d’orfraie me laissent assez sceptique. »
Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une considération sexuée des rapports entre hommes et femmes devient progressiste-ment insupportable.
Détruire la galanterie, c’est revenir à la loi du plus fort.
Tex voué aux gémonies par les Furies de la traque misogyne. Mis en quarantaine. Dénoncé. Lâché.
Si l’on cessait d’offrir le spectacle d’un condensé de la caricature féminine telle qu’elle est véhiculée dans la littérature depuis le XIXe ?
Sur Boulevard Voltaire, nous dénonçons suffisamment les médias « mainstream », pour leur rendre justice lorsqu’ils défendent la liberté d’expression.
L’hystérie féministe ne connaît pas la crise.
Pauvres petites actrices si malheureuses d’être désirées, c’est la bouillie dans leur tête.
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