Football
Dans un clip de douze secondes, six joueurs du PSG ont tenu à souhaiter un bon ramadan aux musulmans. En arabe.
Jeune, beau, talentueux, breton, il était « le futur Zidane »…
Les groupes ultras de Marseille, autrement plus violents et moins tolérants, jouissent d’une clémence qu’explique sans doute en partie leur positionnement politique.
Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».
Le football ne serait-il pas l’opium du peuple dans une société matérialiste ?
Le philosophe Robert Redeker, auteur de Peut-on encore aimer le football ?, analyse les dessous de l’engouement pour le foot : règne de la consommation,
Antoine Griezmann, c’est un peu le footballeur idéal : il ne fait parler de lui que sur le terrain, il aime son pays, respecte les règles.
L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Il aurait pu, mais à condition qu’une cellule psychologique arrive immédiatement sur la pelouse pour tenter d’effacer le traumatisme causé par ces paroles épouvantables.
Ce ne sont pas les supporters qu’il faut rééduquer. C’est la société toute entière à qui il faut donner une vision plus haute, plus noble. Et ce n’est pas le football qui y changera grand-chose.
On a transformé ce sport en un commerce mafieux, il ne faut alors pas s’étonner s’il en adopte les règles.
Michel Platini désirait un jour qu’on supprimât les tacles dans le foot. Ce ne sont pas les tacles qui sont à abolir mais leur exploitation choquante par des tricheurs.
Finalement, la dhimmitude volontaire s’applique aussi au football français.
On a le droit d’avoir des héros de tous âges dans son panthéon.
Sauf accident, ils ne risquent pas leur peau…
Alexis Corbière a raison : tout cela ne sent pas bon.
Voilà trois jours qu’on nous saoule avec l’arrivée du dieu Neymar. Et ce n’est pas fini.
Dans un clip de douze secondes, six joueurs du PSG ont tenu à souhaiter un bon ramadan aux musulmans. En arabe.
Jeune, beau, talentueux, breton, il était « le futur Zidane »…
Les groupes ultras de Marseille, autrement plus violents et moins tolérants, jouissent d’une clémence qu’explique sans doute en partie leur positionnement politique.
Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».
Le football ne serait-il pas l’opium du peuple dans une société matérialiste ?
Le philosophe Robert Redeker, auteur de Peut-on encore aimer le football ?, analyse les dessous de l’engouement pour le foot : règne de la consommation,
Antoine Griezmann, c’est un peu le footballeur idéal : il ne fait parler de lui que sur le terrain, il aime son pays, respecte les règles.
L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Il aurait pu, mais à condition qu’une cellule psychologique arrive immédiatement sur la pelouse pour tenter d’effacer le traumatisme causé par ces paroles épouvantables.
Ce ne sont pas les supporters qu’il faut rééduquer. C’est la société toute entière à qui il faut donner une vision plus haute, plus noble. Et ce n’est pas le football qui y changera grand-chose.
On a transformé ce sport en un commerce mafieux, il ne faut alors pas s’étonner s’il en adopte les règles.
Michel Platini désirait un jour qu’on supprimât les tacles dans le foot. Ce ne sont pas les tacles qui sont à abolir mais leur exploitation choquante par des tricheurs.
Finalement, la dhimmitude volontaire s’applique aussi au football français.
On a le droit d’avoir des héros de tous âges dans son panthéon.
Sauf accident, ils ne risquent pas leur peau…
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Voilà trois jours qu’on nous saoule avec l’arrivée du dieu Neymar. Et ce n’est pas fini.
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