France Inter
Ca va peut-être vous surprendre, mais « C’est encore nous » est l’émission « rigolote » la plus écoutée de France.
Nombreux étaient ceux qui espéraient que Patrick Pesnot, pourtant bientôt octogénaire, ressusciterait un jour ces entretiens du samedi après-midi sur France Inter, « Rendez-vous avec X ».
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Bérénice Levet a pris directement la défense de Michel Houellbecq en publiant, dans Le Point, un long article citant les propos exacts de Jean-Paul Sartre.
France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.
La gauche est un poison mortel, mais elle crée.
La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.
Tristan Mendès France, bloggeur essayiste qui se dit « observateur de l’extrême », s’est découvert une vraie vocation : éduquer les masses aux médias.
Heureusement que pendant la semaine qui précède les élections, les médias doivent observer une stricte neutralité…
On aurait aimé que ses trois semaines d’absence mystérieuse en janvier, poussant ses auditeurs inquiets à l’idée de ne plus savoir quoi penser, jusqu’à écrire pour demander « Où est Charline », puissent permettre à la dame de se renouveler un peu. Mais non.
La nomination de cette nouvelle directrice façonnée à Radio France ne devrait donc pas rassurer ceux qui espéraient naïvement que la station bien-pensante tiendrait compte des nombreuses critiques dont elle fait l’objet.
Aujourd’hui, Thomas Legrand s’étouffe devant les sondages. La cote de Zemmour l’affole. Alors, ce mardi, l’aboyeur de la gauche morale décortique l’expression « Ben voyons ! »
Il fut un temps pas si lointain où la Maison de la radio était autrement plus ouverte d’esprit
La méfiance de l’auditeur ronronne doucement. Et pourtant, vous le voyez venir. Il va arriver à Zemmour, quelque chose vous le dit à l’oreille : ça va chauffer !
Le journaliste payé par l’État devrait trembler à l’idée de violer l’idéal de neutralité du service public. Il ne tremble pas. La gauche s’est installée sans complexe sur ce confortable fromage.
Les élucubrations d’Aymeric Lompret donnent la réconfortante impression que le système, en insultant carrément les « fachos » sur les ondes publiques, prépare sa mort collective.
« France Inter ne m’invite plus. C’est de la terreur. C’est le service public, on devrait inviter tout le monde. » »
Très déférent lorsqu’il s’adresse à un représentant de la gauche, culturelle, caviar ou bobo, l’humoriste France Inter devient agressif dès lors qu’il s’agit d’un homme ou d’une femme politique de droite.
Le 18 janvier, sur France Inter, la journaliste Sonia Devillers a reçu, avec une réelle complaisance, « Rachel », militante anonyme au collectif Sleeping Giants,
Et c’est aussi pourquoi on ne peut s’empêcher de ne pas tout à fait la détester, surtout à l’approche de ces fêtes de Noël où il convient d’être « bienveillant », pour reprendre la novlangue médiatique.
Le « comique » épinglé n’est pas un accident, c’est un symbole de l’orientation globale, à gauche toute, anti-catho, anti-flic, blottie dans un caniveau que des rires de potaches boutonneux éclaboussent par rafales.
C’est quoi, ce taf ? Il reste à France Inter encore des institutions à dénigrer, à part France Inter ?
La fin du monopole de la pensée sur les médias a de quoi les paniquer : elle sonne, pour eux, le début de la fin…
On me permettra de raconter cette petite histoire, qui date de 2015 : nous sommes en novembre, au lendemain du tragique attentat du Bataclan…
France Inter est engraissé par nos deniers, autant les rentabiliser en usant de toute la bonne volonté nécessaire pour rire des chroniques humoristiques proposées, comme
Allez, merci Florence, merci Patrick, merci nos impôts.
Ca va peut-être vous surprendre, mais « C’est encore nous » est l’émission « rigolote » la plus écoutée de France.
Nombreux étaient ceux qui espéraient que Patrick Pesnot, pourtant bientôt octogénaire, ressusciterait un jour ces entretiens du samedi après-midi sur France Inter, « Rendez-vous avec X ».
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Bérénice Levet a pris directement la défense de Michel Houellbecq en publiant, dans Le Point, un long article citant les propos exacts de Jean-Paul Sartre.
France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.
La gauche est un poison mortel, mais elle crée.
La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.
Tristan Mendès France, bloggeur essayiste qui se dit « observateur de l’extrême », s’est découvert une vraie vocation : éduquer les masses aux médias.
Heureusement que pendant la semaine qui précède les élections, les médias doivent observer une stricte neutralité…
On aurait aimé que ses trois semaines d’absence mystérieuse en janvier, poussant ses auditeurs inquiets à l’idée de ne plus savoir quoi penser, jusqu’à écrire pour demander « Où est Charline », puissent permettre à la dame de se renouveler un peu. Mais non.
La nomination de cette nouvelle directrice façonnée à Radio France ne devrait donc pas rassurer ceux qui espéraient naïvement que la station bien-pensante tiendrait compte des nombreuses critiques dont elle fait l’objet.
Aujourd’hui, Thomas Legrand s’étouffe devant les sondages. La cote de Zemmour l’affole. Alors, ce mardi, l’aboyeur de la gauche morale décortique l’expression « Ben voyons ! »
Il fut un temps pas si lointain où la Maison de la radio était autrement plus ouverte d’esprit
La méfiance de l’auditeur ronronne doucement. Et pourtant, vous le voyez venir. Il va arriver à Zemmour, quelque chose vous le dit à l’oreille : ça va chauffer !
Le journaliste payé par l’État devrait trembler à l’idée de violer l’idéal de neutralité du service public. Il ne tremble pas. La gauche s’est installée sans complexe sur ce confortable fromage.
Les élucubrations d’Aymeric Lompret donnent la réconfortante impression que le système, en insultant carrément les « fachos » sur les ondes publiques, prépare sa mort collective.
« France Inter ne m’invite plus. C’est de la terreur. C’est le service public, on devrait inviter tout le monde. » »
Très déférent lorsqu’il s’adresse à un représentant de la gauche, culturelle, caviar ou bobo, l’humoriste France Inter devient agressif dès lors qu’il s’agit d’un homme ou d’une femme politique de droite.
Le 18 janvier, sur France Inter, la journaliste Sonia Devillers a reçu, avec une réelle complaisance, « Rachel », militante anonyme au collectif Sleeping Giants,
Et c’est aussi pourquoi on ne peut s’empêcher de ne pas tout à fait la détester, surtout à l’approche de ces fêtes de Noël où il convient d’être « bienveillant », pour reprendre la novlangue médiatique.
Le « comique » épinglé n’est pas un accident, c’est un symbole de l’orientation globale, à gauche toute, anti-catho, anti-flic, blottie dans un caniveau que des rires de potaches boutonneux éclaboussent par rafales.
C’est quoi, ce taf ? Il reste à France Inter encore des institutions à dénigrer, à part France Inter ?
La fin du monopole de la pensée sur les médias a de quoi les paniquer : elle sonne, pour eux, le début de la fin…
On me permettra de raconter cette petite histoire, qui date de 2015 : nous sommes en novembre, au lendemain du tragique attentat du Bataclan…
France Inter est engraissé par nos deniers, autant les rentabiliser en usant de toute la bonne volonté nécessaire pour rire des chroniques humoristiques proposées, comme
Allez, merci Florence, merci Patrick, merci nos impôts.
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