François de Rugy
Mais il faut bien vivre et il n’y a pas de sots métiers.
Il est un peu tard, cependant, pour s’apercevoir, après coup, que le gouvernement Potemkine de Macron, système du coup d’éclat permanent, n’a su ou voulu que brasser du vent.
Éric Dupond-Moretti a été placé sous escorte pâtissière. Pour un homme déjà pétri d’humanisme, le coup serait rude.
« Ce n’est pas nouveau que les religions veuillent prendre la main sur la vie des gens à travers l’école, les clubs sportifs », explique donc avec assurance François de Rugy en commission à l’Assemblée, « cela a existé massivement avec la religion catholique ».
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
« Allez en paix ! » semble lui dire la République.
Tout ça pour ça ? Aurait-il trop tôt démissionné ?
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !
Coup de tonnerre, aujourd’hui : François de Rugy a démissionné, suite aux révélations concernant son train de vie par Mediapart. Il ne sera donc pas
Vite, attendons la nouvelle nomination ! Au rythme de ce jeu de massacre gouvernemental, ce sont six têtes qui pourraient tomber dans les trois ans qui nous séparent de la fin du mandat de Macron.
Le « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » fait l’objet d’une allergie de la part des Français, pire que l’allergie de M. de Rugy aux fruits de mer…
Jean-Jacques Bourdin, qui a une solide formation de journaliste-allergologue, note les incompatibilités digestives de son patient.
Telle la série américaine des années 80, Dallas, le marigot médiatico-politique français est un « univers impitoyable ».
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
Rarement critique fut aussi forte contre un Président français.
En attendant, François de Rugy compte ses soutiens, ce qui ne devrait pas surcharger son emploi du temps.
La polémique autour des somptueux dîners, donnés par François de Rugy et son épouse aux frais de l’Assemblée nationale, ne cesse d’enfler. Réaction d’Eudes Baufreton,
Voilà une nouvelle petite taxe qui sort en douce pour confirmer que le gouvernement se moque ouvertement des Français
Léger retard à l’assumage dans le couple de Rugy.
On a envie de recommander aux deux belligérants de cesser leurs enfantillages…
C’est parti, dixit François de Rugy…
Reste que le retour de la taxe carbone dans le débat pourrait bien faire figure de chiffon rouge sous le nez du taureau…
François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, doit désormais se dépêtrer d’une pétition visant à condamner « l’inaction climatique »…
Ce n’est pas demain qu’elles déposeront leur bilan, avec le pactole auquel l’État leur a imprudemment donné accès !
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Le mouvement des gilets jaunes traduit une crise de notre système politique, une crise de la démocratie.
Ces gueux que notre ministre ne goûte guère ont pour nom « Français », il s’en trouve encore ici et là sur le territoire national, et ces Français annoncent le retour de la fronde.
Ne faudra-t-il pas, un jour, procéder à la régulation et la réinsertion des bipèdes dans leur milieu naturel pour satisfaire au bon équilibre séculaire ?
Mais il faut bien vivre et il n’y a pas de sots métiers.
Il est un peu tard, cependant, pour s’apercevoir, après coup, que le gouvernement Potemkine de Macron, système du coup d’éclat permanent, n’a su ou voulu que brasser du vent.
Éric Dupond-Moretti a été placé sous escorte pâtissière. Pour un homme déjà pétri d’humanisme, le coup serait rude.
« Ce n’est pas nouveau que les religions veuillent prendre la main sur la vie des gens à travers l’école, les clubs sportifs », explique donc avec assurance François de Rugy en commission à l’Assemblée, « cela a existé massivement avec la religion catholique ».
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
« Allez en paix ! » semble lui dire la République.
Tout ça pour ça ? Aurait-il trop tôt démissionné ?
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !
Coup de tonnerre, aujourd’hui : François de Rugy a démissionné, suite aux révélations concernant son train de vie par Mediapart. Il ne sera donc pas
Vite, attendons la nouvelle nomination ! Au rythme de ce jeu de massacre gouvernemental, ce sont six têtes qui pourraient tomber dans les trois ans qui nous séparent de la fin du mandat de Macron.
Le « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » fait l’objet d’une allergie de la part des Français, pire que l’allergie de M. de Rugy aux fruits de mer…
Jean-Jacques Bourdin, qui a une solide formation de journaliste-allergologue, note les incompatibilités digestives de son patient.
Telle la série américaine des années 80, Dallas, le marigot médiatico-politique français est un « univers impitoyable ».
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
Rarement critique fut aussi forte contre un Président français.
En attendant, François de Rugy compte ses soutiens, ce qui ne devrait pas surcharger son emploi du temps.
La polémique autour des somptueux dîners, donnés par François de Rugy et son épouse aux frais de l’Assemblée nationale, ne cesse d’enfler. Réaction d’Eudes Baufreton,
Voilà une nouvelle petite taxe qui sort en douce pour confirmer que le gouvernement se moque ouvertement des Français
Léger retard à l’assumage dans le couple de Rugy.
On a envie de recommander aux deux belligérants de cesser leurs enfantillages…
C’est parti, dixit François de Rugy…
Reste que le retour de la taxe carbone dans le débat pourrait bien faire figure de chiffon rouge sous le nez du taureau…
François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, doit désormais se dépêtrer d’une pétition visant à condamner « l’inaction climatique »…
Ce n’est pas demain qu’elles déposeront leur bilan, avec le pactole auquel l’État leur a imprudemment donné accès !
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Le mouvement des gilets jaunes traduit une crise de notre système politique, une crise de la démocratie.
Ces gueux que notre ministre ne goûte guère ont pour nom « Français », il s’en trouve encore ici et là sur le territoire national, et ces Français annoncent le retour de la fronde.
Ne faudra-t-il pas, un jour, procéder à la régulation et la réinsertion des bipèdes dans leur milieu naturel pour satisfaire au bon équilibre séculaire ?
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