François Ruffin
Ce n’est pas que Ruffin tracte au faciès, qui gêne ses camarades, c’est qu’il le dise.
Mélenchon, lui, n’obtiendrait que 18 % des voix au premier tour, contre 32 % pour Marine Le Pen.
Le cas de François Ruffin finit par devenir aussi consternant que ses collègues.
François Ruffin n’hésite pas à refuser de se soumettre à La France insoumise.
Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
Fabien Roussel, lui, ne va pas sur ce terrain sociétal, si cher aux écolos, mais reste sur celui du social, dans la tradition du PCF…
Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
François Ruffin a lancé une pique en direction d’Emmanuel Macron à l’Assemblée nationale alors que le député LFI s’était vu intimer l’ordre de remettre son
François Ruffin à parfaite équidistance entre Pierre Poujade et Marine Le Pen, en d’autres termes.
Alors, populisme façon nouvelle vague ?
« Cette crise est aussi une fenêtre pour nous […] Dans de tels moments, les esprits sont comme une pâte un peu molle, où l’on peut faire passer des idées neuves. »
Ce machiavélisme leur a plutôt bien réussi puisqu’ils ont été élus respectivement député et président de la République…
Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.
Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…
On a envie de recommander aux deux belligérants de cesser leurs enfantillages…
Le procédé, efficace tout en étant classique, consiste à mettre en lumière le fossé existant entre la réalité anthropologique des manifestants et le commentaire médiatique dont ils font l’objet.
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.
Ce livre, ou plutôt cette grande lettre ouverte, est, vous l’aurez compris, un long réquisitoire contre un Président éloigné de son peuple…
Quel vitriol, quelle charge, quel massacre !
Rendu de plus en plus inhomogène, le peuple se fragmente en communautés égotistes multiples.
Cette gauche pro-migrants reprend les arguments de Christophe Castaner et Benjamin Griveaux pour discréditer cette colère des gilets jaunes.
Aurélien Pradié est l’auteur d’un projet de loi visant à réformer le statut des AVS (auxiliaires de vie scolaire pour les enfants en situation de
Ce n’est pas que Ruffin tracte au faciès, qui gêne ses camarades, c’est qu’il le dise.
Mélenchon, lui, n’obtiendrait que 18 % des voix au premier tour, contre 32 % pour Marine Le Pen.
Le cas de François Ruffin finit par devenir aussi consternant que ses collègues.
François Ruffin n’hésite pas à refuser de se soumettre à La France insoumise.
Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
Fabien Roussel, lui, ne va pas sur ce terrain sociétal, si cher aux écolos, mais reste sur celui du social, dans la tradition du PCF…
Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
François Ruffin a lancé une pique en direction d’Emmanuel Macron à l’Assemblée nationale alors que le député LFI s’était vu intimer l’ordre de remettre son
François Ruffin à parfaite équidistance entre Pierre Poujade et Marine Le Pen, en d’autres termes.
Alors, populisme façon nouvelle vague ?
« Cette crise est aussi une fenêtre pour nous […] Dans de tels moments, les esprits sont comme une pâte un peu molle, où l’on peut faire passer des idées neuves. »
Ce machiavélisme leur a plutôt bien réussi puisqu’ils ont été élus respectivement député et président de la République…
Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.
Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…
On a envie de recommander aux deux belligérants de cesser leurs enfantillages…
Le procédé, efficace tout en étant classique, consiste à mettre en lumière le fossé existant entre la réalité anthropologique des manifestants et le commentaire médiatique dont ils font l’objet.
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.
Ce livre, ou plutôt cette grande lettre ouverte, est, vous l’aurez compris, un long réquisitoire contre un Président éloigné de son peuple…
Quel vitriol, quelle charge, quel massacre !
Rendu de plus en plus inhomogène, le peuple se fragmente en communautés égotistes multiples.
Cette gauche pro-migrants reprend les arguments de Christophe Castaner et Benjamin Griveaux pour discréditer cette colère des gilets jaunes.
Aurélien Pradié est l’auteur d’un projet de loi visant à réformer le statut des AVS (auxiliaires de vie scolaire pour les enfants en situation de
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