Françoise Bourdin

La littérature prétentieuse, officielle, n’aime pas les histoires qui finissent bien, ni les familles, d’ailleurs. C’est dommage. Françoise Bourdin, elle, n’en avait cure.

La littérature prétentieuse, officielle, n’aime pas les histoires qui finissent bien, ni les familles, d’ailleurs. C’est dommage. Françoise Bourdin, elle, n’en avait cure.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
La diaspora algérienne est devenue un outil d’ingérence

Lire la vidéo