francophonie

La francophonie mise au service d’une gouvernance mondiale, au détriment de la pluralité d’opinion.

Emmanuel Macron n’a toujours rien compris à la mentalité africaine.

Cheffe de cabinet, ministresse ou docteure, et pourquoi pas aussi plombière ou médecine, pompière ou clampine ?

On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.

Emmanuel Macron ne peut pas ne pas mesurer la portée symbolique de cette nomination.

L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.

Ce projet est d’autant plus dommageable que Montréal voit, chaque année, le français reculer un peu plus au profit de l’anglais.

On aimerait que le ministre de la Culture se sente également concerné et mette en œuvre un processus de relocalisation de la langue française en France !

C’est une occasion déjà manquée, et les parieurs ne s’y trompent pas, qui déjà promettent à la France une place en queue de peloton à l’écoute du titre de la France en compétition.

Un endroit stratégique d’où la France s’exprime aussi, au-delà de la francophonie acadienne, en direction d’un monde anglophone omniprésent, omni-pressant…

Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…

Eux qui se battent tous les jours pour que vive cette belle langue française au milieu d’un univers anglophile sont choqués par la présence envahissante de l’anglais sur le sol français.

L’Ontario, avec 13,5 millions d’habitants, est la province la plus peuplée du Canada. 600.000 francophones habitent cette province, soit la deuxième communauté francophone (après le

Considérer que le français est devenu un simple langage universel dont l’incarnation géographique pourrait tout aussi bien se situer dans le bassin du Congo apparaît mortifère pour notre civilisation.

Notre vénéré Président est allé prendre un bain de foule dans l’ancienne halle Freyssinet reconvertie en Station (prononcer stéïcheune) F.

Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.

Le Rwanda à la tête de la Francophonie ? Cela paraît surréaliste, compte tenu du fait que ce pays a choisi de ne plus faire du français sa langue officielle.

Certains prendraient-ils un malin plaisir à le salir ?
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.

Cette femme est, sur la scène internationale, le bras droit de Paul Kagame, qui ne cesse depuis son arrivée au pouvoir il y a 24 ans de cracher sur la France,

Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.

Suite au Brexit, il importe de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales.

Depuis que le Royaume-Uni à décidé de divorcer de l’Europe, on n’a jamais autant multi-dialogué en anglais du côté de Bruxelles.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Le président de la République a présenté mardi, sous la Coupole, une trentaine de mesures pour renforcer la place de la langue française dans le monde.
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.

La francophonie mise au service d’une gouvernance mondiale, au détriment de la pluralité d’opinion.

Emmanuel Macron n’a toujours rien compris à la mentalité africaine.

Cheffe de cabinet, ministresse ou docteure, et pourquoi pas aussi plombière ou médecine, pompière ou clampine ?

On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.

Emmanuel Macron ne peut pas ne pas mesurer la portée symbolique de cette nomination.

L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.

Ce projet est d’autant plus dommageable que Montréal voit, chaque année, le français reculer un peu plus au profit de l’anglais.

On aimerait que le ministre de la Culture se sente également concerné et mette en œuvre un processus de relocalisation de la langue française en France !

C’est une occasion déjà manquée, et les parieurs ne s’y trompent pas, qui déjà promettent à la France une place en queue de peloton à l’écoute du titre de la France en compétition.

Un endroit stratégique d’où la France s’exprime aussi, au-delà de la francophonie acadienne, en direction d’un monde anglophone omniprésent, omni-pressant…

Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…

Eux qui se battent tous les jours pour que vive cette belle langue française au milieu d’un univers anglophile sont choqués par la présence envahissante de l’anglais sur le sol français.

L’Ontario, avec 13,5 millions d’habitants, est la province la plus peuplée du Canada. 600.000 francophones habitent cette province, soit la deuxième communauté francophone (après le

Considérer que le français est devenu un simple langage universel dont l’incarnation géographique pourrait tout aussi bien se situer dans le bassin du Congo apparaît mortifère pour notre civilisation.

Notre vénéré Président est allé prendre un bain de foule dans l’ancienne halle Freyssinet reconvertie en Station (prononcer stéïcheune) F.

Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.

Le Rwanda à la tête de la Francophonie ? Cela paraît surréaliste, compte tenu du fait que ce pays a choisi de ne plus faire du français sa langue officielle.

Certains prendraient-ils un malin plaisir à le salir ?
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.

Cette femme est, sur la scène internationale, le bras droit de Paul Kagame, qui ne cesse depuis son arrivée au pouvoir il y a 24 ans de cracher sur la France,

Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.

Suite au Brexit, il importe de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales.

Depuis que le Royaume-Uni à décidé de divorcer de l’Europe, on n’a jamais autant multi-dialogué en anglais du côté de Bruxelles.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Le président de la République a présenté mardi, sous la Coupole, une trentaine de mesures pour renforcer la place de la langue française dans le monde.
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.
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