Gabriel Attal
L’islamisme ne serait pas une idéologie : ah bon, c’est nouveau, ça !
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Voilà qui équivaut donc à prêter au RN des pouvoirs occultes qu’il n’a certainement pas.
À quelques jours du Salon de l’agriculture, il y avait urgence.
Les gouvernants se sont souvent, sinon toujours, affichés avec leurs animaux.
Le Premier ministre a mis en avant sa vie privée pour souligner le caractère symbolique de son parcours.
Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.
Comment Gabriel Attal se sortira-t-il des ronces de ces « injonctions contradictoires » ?
Quand le malaise est tellement profond, même les mesures de bon sens de Gabriel Attal ne suffisent plus.
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15
Malheureusement, la jeunesse ne fait ni le talent ni la réussite.
Si ce Parisien pur jus a souhaité se rendre dans un village, c’est qu’il y a plus que de l’inquiétude.
Un Premier ministre, on le lèche, on le lâche, on le lynche.
Sur le marché, Gabriel Attal parle avec une militante de la cause des sans-papiers. Des propos révélateurs.
Cette déconnexion n’est pas anecdotique, bien au contraire…
En l’an de grâce 2024, la prophétie se réalise.
Et ce, alors même que Gabriel Attal n’a jamais revendiqué politiquement son homosexualité.
Le RN joue l’apaisement, si l’on en croit les déclarations de Jean-Philippe Tanguy.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
Emmanuel Macron, du haut de ses 46 ans, nous offre Gabriel Attal, 34 ans. C’est cadeau.
Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?
Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.
Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.
Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.
L’islamisme ne serait pas une idéologie : ah bon, c’est nouveau, ça !
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Voilà qui équivaut donc à prêter au RN des pouvoirs occultes qu’il n’a certainement pas.
À quelques jours du Salon de l’agriculture, il y avait urgence.
Les gouvernants se sont souvent, sinon toujours, affichés avec leurs animaux.
Le Premier ministre a mis en avant sa vie privée pour souligner le caractère symbolique de son parcours.
Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.
Comment Gabriel Attal se sortira-t-il des ronces de ces « injonctions contradictoires » ?
Quand le malaise est tellement profond, même les mesures de bon sens de Gabriel Attal ne suffisent plus.
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15
Malheureusement, la jeunesse ne fait ni le talent ni la réussite.
Si ce Parisien pur jus a souhaité se rendre dans un village, c’est qu’il y a plus que de l’inquiétude.
Un Premier ministre, on le lèche, on le lâche, on le lynche.
Sur le marché, Gabriel Attal parle avec une militante de la cause des sans-papiers. Des propos révélateurs.
Cette déconnexion n’est pas anecdotique, bien au contraire…
En l’an de grâce 2024, la prophétie se réalise.
Et ce, alors même que Gabriel Attal n’a jamais revendiqué politiquement son homosexualité.
Le RN joue l’apaisement, si l’on en croit les déclarations de Jean-Philippe Tanguy.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
Emmanuel Macron, du haut de ses 46 ans, nous offre Gabriel Attal, 34 ans. C’est cadeau.
Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?
Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.
Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.
Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.
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