Gabriel Matzneff

Nous barbotons, dans tout ceci, dans le marigot où se débattent les héritiers du système gidien et les parvenus boboïsés de la capitale.

Le sentiment de l’injustice est le pire qui soit quand il est fondé.

Pas de chance, les temps ont changé. À l’hédonisme de naguère a succédé le puritanisme ambiant…

Mais que cette vérité soit révélée sans lyncheurs ni lynché au temps des réseaux sociaux est sans doute trop demander.

Il ne suffit pas d’avoir cessé d’être aveugle, encore faut-il ne pas rester borgne…

Sans Matzneff, qui connaîtrait encore lord Byron ?

Notre époque a inventé un nouveau crime imprescriptible : l’immoralité rétroactive.

En pleine polémique autour du passé de l’écrivain Gabriel Matzneff, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de l’ancien conseiller d’État valaisan (Suisse), Oskar Freysinger, qui

L’interrogation qui me paraît centrale questionne, durant toutes ces années, l’absolue complaisance dont a bénéficié Gabriel Matzneff…

Nous barbotons, dans tout ceci, dans le marigot où se débattent les héritiers du système gidien et les parvenus boboïsés de la capitale.

Le sentiment de l’injustice est le pire qui soit quand il est fondé.

Pas de chance, les temps ont changé. À l’hédonisme de naguère a succédé le puritanisme ambiant…

Mais que cette vérité soit révélée sans lyncheurs ni lynché au temps des réseaux sociaux est sans doute trop demander.

Il ne suffit pas d’avoir cessé d’être aveugle, encore faut-il ne pas rester borgne…

Sans Matzneff, qui connaîtrait encore lord Byron ?

Notre époque a inventé un nouveau crime imprescriptible : l’immoralité rétroactive.

En pleine polémique autour du passé de l’écrivain Gabriel Matzneff, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de l’ancien conseiller d’État valaisan (Suisse), Oskar Freysinger, qui

L’interrogation qui me paraît centrale questionne, durant toutes ces années, l’absolue complaisance dont a bénéficié Gabriel Matzneff…
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