Génocide arménien
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Aujourd’hui, plus d’un siècle après le génocide, trente après le début de sa lente reconnaissance internationale, l’Occident continue à ménager la Turquie sur ce point. Jusqu’à quand ?
La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.
Bien entendu, Ankara fulmine, et il est déjà question dans les médias néerlandais de menaces à l’encontre des parlementaires ayant des racines turques, qualifiés de traîtres.
La France a officiellement reconnu le génocide arménien de 1915 par la loi n° 2001-70 du 29 janvier 2001. Sans en spécifier les auteurs, toutefois : il ne fallait pas froisser la Turquie !
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Aujourd’hui, plus d’un siècle après le génocide, trente après le début de sa lente reconnaissance internationale, l’Occident continue à ménager la Turquie sur ce point. Jusqu’à quand ?
La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.
Bien entendu, Ankara fulmine, et il est déjà question dans les médias néerlandais de menaces à l’encontre des parlementaires ayant des racines turques, qualifiés de traîtres.
La France a officiellement reconnu le génocide arménien de 1915 par la loi n° 2001-70 du 29 janvier 2001. Sans en spécifier les auteurs, toutefois : il ne fallait pas froisser la Turquie !
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