George Floyd
En dépit de sa réputation de chanteur rebelle, Renaud s’est toujours conformé aux diktats bien-pensants de son époque.
Malgré les éléments de langage diffusés par le mouvement, la situation est pour le moins inconfortable pour Black Lives Matter. Une vie noire de policier vaut-elle moins qu’une vie noire de délinquant ?
Le policier Derek Chauvin a été déclaré coupable du meurtre de George Floyd par le tribunal de Minneapolis, aux États-Unis. Au micro de Boulevard Voltaire,
C’est alors que la divine surprise du Covid-19 survint pour les démocrates : la frousse individualiste a terrassé le courage collectif…
Pour le dire plus crûment, la chasse aux Blancs est désormais ouverte.
Un B majuscule dans le New York Times, c’est comme, chez nous, la Légion d’honneur.
Qui dit mieux ? Les paris sont ouverts…
Ce que révèle l’affaire Floyd, c’est la récupération d’un acte individuel à des fins politiques. Ce que dévoile l’amalgame Traoré, c’est une volonté anarchique de déstabilisation de la société française par une espèce de déterminisme suprémaciste noir.
Du côté de nos politiques, en revanche, c’est le grand cinéma.
À force de jouer avec le feu…
« Cops Lives Matter! » Ce slogan contre la haine anti-flic a peu de chances d’émerger, et pourtant, de nombreux Américains aimeraient le scander.
Suite au décès de George Floyd, une majorité du conseil municipal de Minneapolis a fait savoir qu’elle allait voter la dissolution de sa police. Le maire est contre et se fait huer.
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Les gauches sociétales, américaine et française, ne cesseront de jouer les pompiers pyromanes…
Les émeutes qui secouent les États-Unis depuis le meurtre d’un voyou par un policier qui ne vaut pas mieux sont sans rapport avec le racisme.
Mais dans quel monde Vuitton ?
La censure déjà prédominante sur les campus américains doit-elle devenir la norme ici, en France ?
Le virus, qui s’étend très vite, s’appelle communautarisme, couve depuis de nombreuses années, et il ne suffira pas de quelques mois, saupoudrés d’un peu de Doliprane™ ou de chloroquine, pour s’en débarrasser.
Mais de quoi se mêle-t-il ?
Vous savez ce qu’on dit : ce qui se passe aux États-Unis arrive en France dix ans plus tard.
Maya Khadra, journaliste libanaise, livre à Boulevard Voltaire son analyse de la situation tendue aux États-Unis par les émeutes raciales provoquées après le décès de
Après la mort de George Floyd, manifestations et émeutes aux États-Unis. Ces manifestations s’importent aussi en France. Que cela révèle-t-il de notre société ? Réponse
Les médias portent une lourde responsabilité dans cet embrasement pour avoir transformé ce triste fait divers en opération mondiale de victimisation…
Au fond, on se demande ce que recherchent les médias.
Sachant que Tony Yoka est très écouté et pris pour modèle par beaucoup de jeunes dans les banlieues…
En dépit de sa réputation de chanteur rebelle, Renaud s’est toujours conformé aux diktats bien-pensants de son époque.
Malgré les éléments de langage diffusés par le mouvement, la situation est pour le moins inconfortable pour Black Lives Matter. Une vie noire de policier vaut-elle moins qu’une vie noire de délinquant ?
Le policier Derek Chauvin a été déclaré coupable du meurtre de George Floyd par le tribunal de Minneapolis, aux États-Unis. Au micro de Boulevard Voltaire,
C’est alors que la divine surprise du Covid-19 survint pour les démocrates : la frousse individualiste a terrassé le courage collectif…
Pour le dire plus crûment, la chasse aux Blancs est désormais ouverte.
Un B majuscule dans le New York Times, c’est comme, chez nous, la Légion d’honneur.
Qui dit mieux ? Les paris sont ouverts…
Ce que révèle l’affaire Floyd, c’est la récupération d’un acte individuel à des fins politiques. Ce que dévoile l’amalgame Traoré, c’est une volonté anarchique de déstabilisation de la société française par une espèce de déterminisme suprémaciste noir.
Du côté de nos politiques, en revanche, c’est le grand cinéma.
À force de jouer avec le feu…
« Cops Lives Matter! » Ce slogan contre la haine anti-flic a peu de chances d’émerger, et pourtant, de nombreux Américains aimeraient le scander.
Suite au décès de George Floyd, une majorité du conseil municipal de Minneapolis a fait savoir qu’elle allait voter la dissolution de sa police. Le maire est contre et se fait huer.
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Les gauches sociétales, américaine et française, ne cesseront de jouer les pompiers pyromanes…
Les émeutes qui secouent les États-Unis depuis le meurtre d’un voyou par un policier qui ne vaut pas mieux sont sans rapport avec le racisme.
Mais dans quel monde Vuitton ?
La censure déjà prédominante sur les campus américains doit-elle devenir la norme ici, en France ?
Le virus, qui s’étend très vite, s’appelle communautarisme, couve depuis de nombreuses années, et il ne suffira pas de quelques mois, saupoudrés d’un peu de Doliprane™ ou de chloroquine, pour s’en débarrasser.
Mais de quoi se mêle-t-il ?
Vous savez ce qu’on dit : ce qui se passe aux États-Unis arrive en France dix ans plus tard.
Maya Khadra, journaliste libanaise, livre à Boulevard Voltaire son analyse de la situation tendue aux États-Unis par les émeutes raciales provoquées après le décès de
Après la mort de George Floyd, manifestations et émeutes aux États-Unis. Ces manifestations s’importent aussi en France. Que cela révèle-t-il de notre société ? Réponse
Les médias portent une lourde responsabilité dans cet embrasement pour avoir transformé ce triste fait divers en opération mondiale de victimisation…
Au fond, on se demande ce que recherchent les médias.
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