Gérard Larcher
Alerté par les cris d’orfraie, Gérard Larcher se lève d’un bond de sa nouvelle demeure mobilière.
Le Sénat est, depuis Rome, le lieu de la pérennité et de la dignité. Ça ne fait pas de mal de s’en souvenir…
Gérard Larcher n’est finalement pas seulement le notable de province, vétérinaire et chasseur, qu’il se plaît à surjouer
Invité de Sonia Mabrouk, Gérard Larcher déclare que nous sommes tous collectivement responsables
L’interview de Gérard Larcher dans Le Parisien du 2 septembre témoigne d’une conversion subite… électorale.
Que l’actuel pouvoir en vienne à lui tendre la main en dit beaucoup quant à l’état de déliquescence du pays
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Choisir, il n’aime pas. Mais trancher, il sait faire.
L’un habite Rambouillet, l’autre aussi.
Gérard Larcher se démultiplie dans les médias…
Derrière ses airs de garde-champêtre, Jean Castex n’est jamais qu’un technocrate comme les autres.
Le président du Sénat avait déjà demandé au gouvernement, le 9 janvier, d’attendre l’issue de la conférence de financement avant de soumettre au Parlement le
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.
On n’appréhende pas la réalité d’un pays et les forces destructrices qui la travaillent en se contentant de serrer des mains.
Gérard Larcher est sensible aux problèmes posés par l’islam, notamment le salafisme, il est conscient du long chemin qui reste à parcourir…
Juste un petit détail : construire une maison sur une faille sismique, c’est pas un peu risqué ? Mais bon, c’est vous qui voyez…
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Le cachalot va chercher à s’échouer en douceur sur la plage.
Après la défaite électorale de dimanche, la tête de liste François-Xavier Bellamy, devant les siens, a demandé pardon.
LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Aujourd’hui, à quelques jours du scrutin, Bellamy semble faire l’unanimité chez les siens. Combien de temps ces gens resteront-ils les « siens » ?
Ce pouvoir manque singulièrement de fair-play démocratique.
…la droite LR, suicidaire, s’est enfoncée dans un conformisme craintif qu’elle croit être de la responsabilité.
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
Alerté par les cris d’orfraie, Gérard Larcher se lève d’un bond de sa nouvelle demeure mobilière.
Le Sénat est, depuis Rome, le lieu de la pérennité et de la dignité. Ça ne fait pas de mal de s’en souvenir…
Gérard Larcher n’est finalement pas seulement le notable de province, vétérinaire et chasseur, qu’il se plaît à surjouer
Invité de Sonia Mabrouk, Gérard Larcher déclare que nous sommes tous collectivement responsables
L’interview de Gérard Larcher dans Le Parisien du 2 septembre témoigne d’une conversion subite… électorale.
Que l’actuel pouvoir en vienne à lui tendre la main en dit beaucoup quant à l’état de déliquescence du pays
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Choisir, il n’aime pas. Mais trancher, il sait faire.
L’un habite Rambouillet, l’autre aussi.
Gérard Larcher se démultiplie dans les médias…
Derrière ses airs de garde-champêtre, Jean Castex n’est jamais qu’un technocrate comme les autres.
Le président du Sénat avait déjà demandé au gouvernement, le 9 janvier, d’attendre l’issue de la conférence de financement avant de soumettre au Parlement le
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.
On n’appréhende pas la réalité d’un pays et les forces destructrices qui la travaillent en se contentant de serrer des mains.
Gérard Larcher est sensible aux problèmes posés par l’islam, notamment le salafisme, il est conscient du long chemin qui reste à parcourir…
Juste un petit détail : construire une maison sur une faille sismique, c’est pas un peu risqué ? Mais bon, c’est vous qui voyez…
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Le cachalot va chercher à s’échouer en douceur sur la plage.
Après la défaite électorale de dimanche, la tête de liste François-Xavier Bellamy, devant les siens, a demandé pardon.
LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Aujourd’hui, à quelques jours du scrutin, Bellamy semble faire l’unanimité chez les siens. Combien de temps ces gens resteront-ils les « siens » ?
Ce pouvoir manque singulièrement de fair-play démocratique.
…la droite LR, suicidaire, s’est enfoncée dans un conformisme craintif qu’elle croit être de la responsabilité.
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
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