Giorgia Meloni

Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

La lecture de Tolkien est pour Giorgia Meloni et ses compagnons militants d’alors une part importante de leur formation intellectuelle qu’ils entendaient partager et transmettre.

Depuis quinze jours, rumeurs et démentis vont bon train, à tel point que Giorgia Meloni, qui désirait pendant cette période s’astreindre au silence, a dû sortir de sa réserve et opposer de fermes démentis.

On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.

Outre la spectaculaire progression de Fratelli d’Italia, la véritable et plus surprenante information est que ce parti et surtout son leader ont su convaincre presque toutes les classes d’âge et classes sociales

Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.

Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.

Du bon sens, un programme de réformes indispensables, une droite classique mais qui s’assume… une véritable révolution !

Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.

Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.

Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.

Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.

On ne parle pas ici du viol d’une Ukrainienne de 55 ans par un Guinéen de 27 ans. Non, on parle de l’odieuse « instrumentalisation » qu’en a faite Giorgia Meloni…

Une droite décomplexée, une intelligence politique qui sait, au-delà des querelles d’ego, faire fonctionner les mécanismes de la coalition – du moins jusqu’à présent : un ticket gagnant pour 2023 ?

Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

La lecture de Tolkien est pour Giorgia Meloni et ses compagnons militants d’alors une part importante de leur formation intellectuelle qu’ils entendaient partager et transmettre.

Depuis quinze jours, rumeurs et démentis vont bon train, à tel point que Giorgia Meloni, qui désirait pendant cette période s’astreindre au silence, a dû sortir de sa réserve et opposer de fermes démentis.

On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.

Outre la spectaculaire progression de Fratelli d’Italia, la véritable et plus surprenante information est que ce parti et surtout son leader ont su convaincre presque toutes les classes d’âge et classes sociales

Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.

Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.

Du bon sens, un programme de réformes indispensables, une droite classique mais qui s’assume… une véritable révolution !

Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.

Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.

Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.

Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.

On ne parle pas ici du viol d’une Ukrainienne de 55 ans par un Guinéen de 27 ans. Non, on parle de l’odieuse « instrumentalisation » qu’en a faite Giorgia Meloni…

Une droite décomplexée, une intelligence politique qui sait, au-delà des querelles d’ego, faire fonctionner les mécanismes de la coalition – du moins jusqu’à présent : un ticket gagnant pour 2023 ?
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