Giuseppe Conte
Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.
Matteo Renzi veut être calife à la place du calife, et Giuseppe Conte président du Conseil à vie…
La confirmation que la stratégie politique conduite par Salvini, en démissionnant de son poste de ministre de l’Intérieur, est en passe de réussir.
En évoquant la plage, Matteo Renzi souligne donc surtout le fossé qui sépare les politiciens comme lui qui ne peuvent pas déambuler sans protection policière et ceux qui peuvent aller sereinement au contact de la population.
Mais pourquoi renverser la table, à quelques semaines de la rentrée politique ?
Matteo Salvini, vice-président du Conseil italien, ministre de l’Intérieur, homme fort du gouvernement de coalition, vient de réclamer, ce jeudi 8 août, des élections anticipées.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Le journaliste italien Matteo Gaduelo revient sur la crise qui déchire la France et l’Italie alors qu’Emmanuel Macron est sur le point de rencontrer Giuseppe
Giuseppe Conte ne sera pas le prochain Premier ministre italien. Le nom de Carlo Cottarelli est avancé. Qui est cet homme ? Que peut-il se
Les barbares ne sont-ils pas en réalité ceux qui prennent l’argent du travail d’autrui ? Détruisent les moyens de production ? Poussent les populations à la misère ? Broient les identités culturelles ?
Petit clin d’œil de l’histoire, l’Afrique tint un rôle important dans les crises de régime de la république romaine, c’est sur l’invasion africaine que les deux populistes finiront par s’opposer.
Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.
Matteo Renzi veut être calife à la place du calife, et Giuseppe Conte président du Conseil à vie…
La confirmation que la stratégie politique conduite par Salvini, en démissionnant de son poste de ministre de l’Intérieur, est en passe de réussir.
En évoquant la plage, Matteo Renzi souligne donc surtout le fossé qui sépare les politiciens comme lui qui ne peuvent pas déambuler sans protection policière et ceux qui peuvent aller sereinement au contact de la population.
Mais pourquoi renverser la table, à quelques semaines de la rentrée politique ?
Matteo Salvini, vice-président du Conseil italien, ministre de l’Intérieur, homme fort du gouvernement de coalition, vient de réclamer, ce jeudi 8 août, des élections anticipées.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
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