Grand débat national
Le temps de la Ve République est révolu, nous entrons dans une phase d’acharnement thérapeutique.
Lundi soir, à Marseille, c’est à la mosquée Islah qu’a eu lieu un grand débat en présence du député LREM Saïd Ahamada. Au micro de
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
Car, bien évidemment, il ne faut pas confondre participations et participants.
Tous les impôts, en France, sont trop compliqués. Il faudrait tout simplifier. Tout.
Ce temps limité mais précieux m’a alors permis d’évoquer le sujet que le Système veut à tout prix éviter : l’immigration.
Le CESE comme le CCNE ont démontré leur sujétion et se sont disqualifiés définitivement. Supprimons tous ces comités Théodule !
85 % des familles monoparentales sont dirigées par des femmes et 34,9 % de ces dernières sont en dessous du seuil de pauvreté…
Mais peut-on être en même temps immigrationniste et respectueux de l’identité de son propre pays ? La réponse est dans la question.
Trop forte, cette femme, trop forts, ces gilets jaunes qui assurent une com’ après-vente gratuite au président de la République…
Le coup d’éclat du grand débat semble bien parti pour se terminer dans l’indifférence générale. Des rencontres en catimini, façon réunion Tupperware®.
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Comme si gouverner contre le peuple ne suffisait plus, il convient encore de le faire sans et contre lui.
Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?
Vous risquez d’être surpris par certaines de ces doléances, vieilles de 230 ans, qui résonnent curieusement avec l’actualité…
Le temps de la Ve République est révolu, nous entrons dans une phase d’acharnement thérapeutique.
Lundi soir, à Marseille, c’est à la mosquée Islah qu’a eu lieu un grand débat en présence du député LREM Saïd Ahamada. Au micro de
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
Car, bien évidemment, il ne faut pas confondre participations et participants.
Tous les impôts, en France, sont trop compliqués. Il faudrait tout simplifier. Tout.
Ce temps limité mais précieux m’a alors permis d’évoquer le sujet que le Système veut à tout prix éviter : l’immigration.
Le CESE comme le CCNE ont démontré leur sujétion et se sont disqualifiés définitivement. Supprimons tous ces comités Théodule !
85 % des familles monoparentales sont dirigées par des femmes et 34,9 % de ces dernières sont en dessous du seuil de pauvreté…
Mais peut-on être en même temps immigrationniste et respectueux de l’identité de son propre pays ? La réponse est dans la question.
Trop forte, cette femme, trop forts, ces gilets jaunes qui assurent une com’ après-vente gratuite au président de la République…
Le coup d’éclat du grand débat semble bien parti pour se terminer dans l’indifférence générale. Des rencontres en catimini, façon réunion Tupperware®.
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Comme si gouverner contre le peuple ne suffisait plus, il convient encore de le faire sans et contre lui.
Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?
Vous risquez d’être surpris par certaines de ces doléances, vieilles de 230 ans, qui résonnent curieusement avec l’actualité…
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