Grégoire de Fournas
Allier l’utile à l’agréable, déguster un vin d’excellence tout en soutenant un élu au service de la France !
Les deux individus incriminés devraient donc passer devant les tribunaux le 16 janvier prochain.
Carlos Martens Bilongo est soupçonné d’avoir dissimulé aux autorités une somme avoisinant les 200.000 euros.
La décision administrative du bar La Citadelle est évidemment politique.
Jean-Luc Mélenchon n’en finit pas de mourir. Il pourrait avoir la décence élémentaire de le faire en coulisses.
« Beaucoup rêvaient de faire annuler mon élection, le Conseil constitutionnel en a jugé autrement. Je reste donc à l’Assemblée nationale ! »
Revenu ce jeudi dans l’Hémicycle, Grégoire de Fournas se confie au micro de Marc Eynaud et Jordan Florentin sur les conditions de ce retour et sur la polémique dans laquelle il s’est retrouvé embarqué.
Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.
Un passif qui ne semble pas déranger Carlos Bilongo.
En matière de lutte contre l’immigration légale comme clandestine, ni le député RN, ni Marine Le Pen, ni son père n’ont innové en la matière… La preuve par trois présidents de la République.
Le mot du député Fournas à l’Assemblée nationale le 3 novembre aura eu un mérite : prendre la main dans le sac nos médias publics en plein travestissement des faits. Une histoire révélatrice.
Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.
Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.
Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.
Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.
Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.
Grégoire de Fournas, député RN de Gironde, a écopé de la plus lourde sanction qu’un député puisse se voir infliger.
Pascal Légitimus nous l’a laissé entendre, hélas, sans clair-obscur : en 2022, la liberté d’expression n’est pas égalitaire.
Objectif : contraindre les Français à accepter les migrants qui souhaitent se rendre sur notre sol. Et stopper l’ascension du RN dans les intentions de vote. Il y avait le feu.
Grégoire de Fournas a interdiction de paraître au palais Bourbon pendant quinze jours de séances et se voit supprimer la moitié de son indemnité parlementaire pendant deux mois.
Il ne faudrait pas oublier qu’une certaine gauche, extrême le plus souvent, a plus le goût de la dramaturgie que celui du sens commun.
On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.
Une saillie qui a fait se lever les députés des autres groupes et contraint la présidente de l’Assemblée nationale à demander une suspension de séance.
Alain Rousset, qui passait pour un socialiste modéré, est en voie de « pannotisation ». Est-ce l’atmosphère de fin de règne qui le pousse à ces excès ?
Allier l’utile à l’agréable, déguster un vin d’excellence tout en soutenant un élu au service de la France !
Les deux individus incriminés devraient donc passer devant les tribunaux le 16 janvier prochain.
Carlos Martens Bilongo est soupçonné d’avoir dissimulé aux autorités une somme avoisinant les 200.000 euros.
La décision administrative du bar La Citadelle est évidemment politique.
Jean-Luc Mélenchon n’en finit pas de mourir. Il pourrait avoir la décence élémentaire de le faire en coulisses.
« Beaucoup rêvaient de faire annuler mon élection, le Conseil constitutionnel en a jugé autrement. Je reste donc à l’Assemblée nationale ! »
Revenu ce jeudi dans l’Hémicycle, Grégoire de Fournas se confie au micro de Marc Eynaud et Jordan Florentin sur les conditions de ce retour et sur la polémique dans laquelle il s’est retrouvé embarqué.
Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.
Un passif qui ne semble pas déranger Carlos Bilongo.
En matière de lutte contre l’immigration légale comme clandestine, ni le député RN, ni Marine Le Pen, ni son père n’ont innové en la matière… La preuve par trois présidents de la République.
Le mot du député Fournas à l’Assemblée nationale le 3 novembre aura eu un mérite : prendre la main dans le sac nos médias publics en plein travestissement des faits. Une histoire révélatrice.
Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.
Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.
Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.
Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.
Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.
Grégoire de Fournas, député RN de Gironde, a écopé de la plus lourde sanction qu’un député puisse se voir infliger.
Pascal Légitimus nous l’a laissé entendre, hélas, sans clair-obscur : en 2022, la liberté d’expression n’est pas égalitaire.
Objectif : contraindre les Français à accepter les migrants qui souhaitent se rendre sur notre sol. Et stopper l’ascension du RN dans les intentions de vote. Il y avait le feu.
Grégoire de Fournas a interdiction de paraître au palais Bourbon pendant quinze jours de séances et se voit supprimer la moitié de son indemnité parlementaire pendant deux mois.
Il ne faudrait pas oublier qu’une certaine gauche, extrême le plus souvent, a plus le goût de la dramaturgie que celui du sens commun.
On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.
Une saillie qui a fait se lever les députés des autres groupes et contraint la présidente de l’Assemblée nationale à demander une suspension de séance.
Alain Rousset, qui passait pour un socialiste modéré, est en voie de « pannotisation ». Est-ce l’atmosphère de fin de règne qui le pousse à ces excès ?