Grève
Ils dénoncent le projet de budget 2025 et la suppression de 4.000 postes.

Cela n’a qu’un but : échapper aux grèves pendant les ponts de mai et à l’approche des JO.

Le monument n’est pas visitable : le personnel est en grève depuis le 19 février.

Cet « appel à la responsabilité » lancé à des grévistes du rail sera t-il suffisant pour stopper le mouvement ?

Plusieurs épisodes historiques de grèves de la police se sont tous soldés par de véritables catastrophes.
Pour la deuxième fois depuis le début du mois de décembre, les médecins généralistes libéraux sont appelés à fermer leurs cabinets à partir du lundi 26 décembre et jusqu’au 2 janvier.

Jusqu’où la CGT ira-t-elle pour que leurs revendications soient acceptées ? Les Français se le demandent.

Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.

Bref, la CGT,qui ne représente plus qu’elle-même, bloque le pays pour des salariés déjà aisés.

Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.

Les héros d’hier sont jetés à la vindicte populaire, bientôt suspendus, sans contrat ni salaire. Promus l’année dernière, ils seront demain exclus. Leur courage chaque soir était salué, leur avis est désormais complètement réprouvé et bientôt leurs droits bafoués.

Après nous, le déluge. Tabula rasa, c’est, depuis des lustres, la devise de la gauche obtuse.

Une perte de 20.000 euros de chiffres d’affaires, des salariés contraints de dormir sur place et des dizaines de réservations annulées…

Quand on appelle ainsi à voter clairement pour un candidat, cela suppose qu’on sera en capacité d’assumer politiquement les actes de celui-ci s’il est élu.
Qui est à la manœuvre ?

Emmanuel Macron a traité les bloqueurs d’« agitateurs professionnels du désordre ». Fort bien ! Mais qu’attend-il pour y mettre de l’ordre ?
Leur mouvement permet donc, non pas d’empêcher la réforme, mais de la promouvoir, ce qui doit expliquer la protection dont le mouvement bénéficie.
Boulevard Voltaire a rencontré un membre du Comité Anti-blocage. Ce groupe, en butte à des violences exercées par une partie de l’extrême gauche, est constitué d’étudiants venus de diverses tendances politiques.
Le terrorisme peut bien attendre, n’est-ce pas ? L’ennemi à abattre c’est le dangereux et criminel cheminot.
Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.

Oui, les cheminots ont bien raison de faire grève !
Quand on lit le dossier de l’UNEF, on comprend que ces malheureux-là demandent à obtenir leurs examens d’office…
À l’inverse des très discrets notaires, ils ne savent pas négocier efficacement et défendre leurs intérêts.

L’immense majorité des étudiants, qui souhaitent travailler et réussir leurs examens sont pris en otages par une minorité.
Son tweet a de quoi faire grincer des dents celles et ceux qui contribuent chaque jour – et chaque nuit ! – à faire tourner le pays sans le menacer de paralysie.
Ils dénoncent le projet de budget 2025 et la suppression de 4.000 postes.

Cela n’a qu’un but : échapper aux grèves pendant les ponts de mai et à l’approche des JO.

Le monument n’est pas visitable : le personnel est en grève depuis le 19 février.

Cet « appel à la responsabilité » lancé à des grévistes du rail sera t-il suffisant pour stopper le mouvement ?

Plusieurs épisodes historiques de grèves de la police se sont tous soldés par de véritables catastrophes.
Pour la deuxième fois depuis le début du mois de décembre, les médecins généralistes libéraux sont appelés à fermer leurs cabinets à partir du lundi 26 décembre et jusqu’au 2 janvier.

Jusqu’où la CGT ira-t-elle pour que leurs revendications soient acceptées ? Les Français se le demandent.

Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.

Bref, la CGT,qui ne représente plus qu’elle-même, bloque le pays pour des salariés déjà aisés.

Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.

Les héros d’hier sont jetés à la vindicte populaire, bientôt suspendus, sans contrat ni salaire. Promus l’année dernière, ils seront demain exclus. Leur courage chaque soir était salué, leur avis est désormais complètement réprouvé et bientôt leurs droits bafoués.

Après nous, le déluge. Tabula rasa, c’est, depuis des lustres, la devise de la gauche obtuse.

Une perte de 20.000 euros de chiffres d’affaires, des salariés contraints de dormir sur place et des dizaines de réservations annulées…

Quand on appelle ainsi à voter clairement pour un candidat, cela suppose qu’on sera en capacité d’assumer politiquement les actes de celui-ci s’il est élu.
Qui est à la manœuvre ?

Emmanuel Macron a traité les bloqueurs d’« agitateurs professionnels du désordre ». Fort bien ! Mais qu’attend-il pour y mettre de l’ordre ?
Leur mouvement permet donc, non pas d’empêcher la réforme, mais de la promouvoir, ce qui doit expliquer la protection dont le mouvement bénéficie.
Boulevard Voltaire a rencontré un membre du Comité Anti-blocage. Ce groupe, en butte à des violences exercées par une partie de l’extrême gauche, est constitué d’étudiants venus de diverses tendances politiques.
Le terrorisme peut bien attendre, n’est-ce pas ? L’ennemi à abattre c’est le dangereux et criminel cheminot.
Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.

Oui, les cheminots ont bien raison de faire grève !
Quand on lit le dossier de l’UNEF, on comprend que ces malheureux-là demandent à obtenir leurs examens d’office…
À l’inverse des très discrets notaires, ils ne savent pas négocier efficacement et défendre leurs intérêts.

L’immense majorité des étudiants, qui souhaitent travailler et réussir leurs examens sont pris en otages par une minorité.
Son tweet a de quoi faire grincer des dents celles et ceux qui contribuent chaque jour – et chaque nuit ! – à faire tourner le pays sans le menacer de paralysie.
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