Grève SNCF
Exigeons le rétablissement de la grève de Noël !
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Grève à la SNCF à Noël : est-elle désormais une habitude, une manie, une tradition française, pour ironiser comme Marie Delarue ? Revient sur la
Structurellement déficitaire, le régime spécial n’est pas financé par les cheminots mais principalement par le contribuable, notamment à travers une subvention annuelle de 3,3 milliards d’euros en 2022.
Une fois de plus, une fois encore, Noël rime avec grève des transports.
Quand la SNCF aura été démantelée, avec la bénédiction de l’Union européenne, les usagers et les cheminots seront bien avancés.
Ce qui s’est passé à la SNCF est en tous points semblable à l’explosion du mouvement des gilets jaunes ou de la grève du bac.
Dans la presse nationale, l’actualité a déjà fait place à des sujets plus brûlants et problématiques. En bref, tout le monde s’en fout.
« SNCF, c’est possible ! », disait la pub en 1988. Je confirme : avec la SNCF, tout est possible. Y compris des grèves sauvages…
…on va avoir droit à une nouvelle surenchère des enfants de Staline.
La grève ordinaire, la normale, l’habituelle, toujours organisée au moment des vacances, est aujourd’hui admise par tout le monde comme faisant partie intégrante de la fonction cheminote.
Un chirurgien orthopédique a affiché sur sa porte un message clair : « En raison d’un mouvement social, le Dr X. ne recevra ce jour aucun salarié de la SNCF »
Ces petits arrangements historiques entre soi sont calamiteux. Pour « défendre le service public », les salariés en privent le public, c’est un comble !
Alors rappelons quelques vérités.
Exigeons le rétablissement de la grève de Noël !
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Grève à la SNCF à Noël : est-elle désormais une habitude, une manie, une tradition française, pour ironiser comme Marie Delarue ? Revient sur la
Structurellement déficitaire, le régime spécial n’est pas financé par les cheminots mais principalement par le contribuable, notamment à travers une subvention annuelle de 3,3 milliards d’euros en 2022.
Une fois de plus, une fois encore, Noël rime avec grève des transports.
Quand la SNCF aura été démantelée, avec la bénédiction de l’Union européenne, les usagers et les cheminots seront bien avancés.
Ce qui s’est passé à la SNCF est en tous points semblable à l’explosion du mouvement des gilets jaunes ou de la grève du bac.
Dans la presse nationale, l’actualité a déjà fait place à des sujets plus brûlants et problématiques. En bref, tout le monde s’en fout.
« SNCF, c’est possible ! », disait la pub en 1988. Je confirme : avec la SNCF, tout est possible. Y compris des grèves sauvages…
…on va avoir droit à une nouvelle surenchère des enfants de Staline.
La grève ordinaire, la normale, l’habituelle, toujours organisée au moment des vacances, est aujourd’hui admise par tout le monde comme faisant partie intégrante de la fonction cheminote.
Un chirurgien orthopédique a affiché sur sa porte un message clair : « En raison d’un mouvement social, le Dr X. ne recevra ce jour aucun salarié de la SNCF »
Ces petits arrangements historiques entre soi sont calamiteux. Pour « défendre le service public », les salariés en privent le public, c’est un comble !
Alors rappelons quelques vérités.
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