Guillaume Peltier
Guillaume Peltier répond sans tabou à toutes les questions qui fâchent…
Et c’est Marine Le Pen qui en parle le mieux.
Deux événements, deux lieux – l’un à Paris, l’autre en province -, deux ambiances, mais une même ambition !
Donc revoilà les LR repartis pour une énième élection à la présidence, toujours coincés dans leurs contradictions, jouant à front renversé, comme le soulignait avec humour Marc Eynaud dans un tweet.
L’union, Éric Zemmour en a rêvé et c’est la NUPES qui l’a faite.
Le parquet de Blois a confirmé, ce lundi, qu’il s’agissait « de faire vérifier les conditions exactes d’utilisation de ces fonds ».
Guillaume Peltier, lui, n’a guère changé d’idées : patriote, souverainiste, libéral-conservateur, son passage d’un parti à l’autre ne l’a jamais éloigné de sa ligne de pensée.
Il répond aux critiques sur son parcours à géométrie variable : « L’opportunisme, c’est un peu facile, je quitte une candidate qui est en deuxième position ».
Guillaume Peltier lance également un appel « à tous ceux qui aiment la droite, la vraie droite, à rejoindre Éric Zemmour ».
Le 7 décembre dernier, Christian Jacob l’avait démis de sa fonction de vice-président des LR après qu’il avait tweeté « Comment rester insensible » au discours d’Éric Zemmour.
Dans cette partie de poker menteur, il pourrait bien tout perdre, y compris le peu de crédit qui lui reste.
Quant aux collègues appartenant à la famille politique de Guillaume Peltier, il convient de leur rappeler la doctrine gaulliste en la matière : La cour suprême, c’est le peuple.
Quelle mouche a-t-elle bien pu le piquer ?
Sainte Rita (à ne pas confondre avec sainte Greta), patronne des « grandes causes » perdues, a décidément du boulot.
L’armée serait donc le couteau suisse de la République : prof, maton, animateur social, nounou, voire flic à ses heures perdues.
Le cachalot va chercher à s’échouer en douceur sur la plage.
Le député Pierre-Henri Dumont, qui préconise tout haut une solution que beaucoup doivent penser tout bas…
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.
Guillaume Peltier répond sans tabou à toutes les questions qui fâchent…
Et c’est Marine Le Pen qui en parle le mieux.
Deux événements, deux lieux – l’un à Paris, l’autre en province -, deux ambiances, mais une même ambition !
Donc revoilà les LR repartis pour une énième élection à la présidence, toujours coincés dans leurs contradictions, jouant à front renversé, comme le soulignait avec humour Marc Eynaud dans un tweet.
L’union, Éric Zemmour en a rêvé et c’est la NUPES qui l’a faite.
Le parquet de Blois a confirmé, ce lundi, qu’il s’agissait « de faire vérifier les conditions exactes d’utilisation de ces fonds ».
Guillaume Peltier, lui, n’a guère changé d’idées : patriote, souverainiste, libéral-conservateur, son passage d’un parti à l’autre ne l’a jamais éloigné de sa ligne de pensée.
Il répond aux critiques sur son parcours à géométrie variable : « L’opportunisme, c’est un peu facile, je quitte une candidate qui est en deuxième position ».
Guillaume Peltier lance également un appel « à tous ceux qui aiment la droite, la vraie droite, à rejoindre Éric Zemmour ».
Le 7 décembre dernier, Christian Jacob l’avait démis de sa fonction de vice-président des LR après qu’il avait tweeté « Comment rester insensible » au discours d’Éric Zemmour.
Dans cette partie de poker menteur, il pourrait bien tout perdre, y compris le peu de crédit qui lui reste.
Quant aux collègues appartenant à la famille politique de Guillaume Peltier, il convient de leur rappeler la doctrine gaulliste en la matière : La cour suprême, c’est le peuple.
Quelle mouche a-t-elle bien pu le piquer ?
Sainte Rita (à ne pas confondre avec sainte Greta), patronne des « grandes causes » perdues, a décidément du boulot.
L’armée serait donc le couteau suisse de la République : prof, maton, animateur social, nounou, voire flic à ses heures perdues.
Le cachalot va chercher à s’échouer en douceur sur la plage.
Le député Pierre-Henri Dumont, qui préconise tout haut une solution que beaucoup doivent penser tout bas…
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.
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