Halal
Sous prétexte de tolérance et d’ouverture, les Néerlandais sont invités à adopter un mode de vie islamique.
Combien de Français comme Agnès subissent des changements dans leurs habitudes alimentaires et culturelles ?
Censée être centrale, la question du bien-être animal a vite fait de céder le pas à divers impératifs politiques.
L’abattage halal devrait alerter tous les défenseurs de la cause animale.
Trouver un tournedos digne de ce nom, halal ou pas, fera bientôt figure de quête du saint Graal.
La pierre d’achoppement est là : la pénibilité, rédhibitoire pour les jeunes.
La France trinque encore une fois, sous le regard complaisant de ses dirigeants.
Il est utile de rappeler que le halal représente une manne financière importante qui permet de financer l’islam.
En cause, une population d’élèves en immense majorité musulmane aux revendications chaque fois plus véhémentes
’Ils ont de l’humour, nos Verts bordelais. De la nourriture confessionnelle chez le « petit père Combes » !
En France, l’abattage sans étourdissement est interdit, sauf lorsqu’il s’agit de respecter les rites propres aux religions musulmane (halal) et juive (casher).
Les édiles d’Orly ne pleurent-ils pas les effets dont ils chérissent les causes (comme dirait l’autre) ?
Parmi nos millions de musulmans, entre ceux de cœur français et les islamistes, beaucoup vivent en mal d’identité.
« Cette soumission à l’idéologie woke » largement dénoncée donc dans la presse par le syndicat étudiant de droite a contraint la direction de l’établissement à clarifier la situation et démentir les faits.
Alors, simple malbouffe, le burger halal ? Ou colonisation confessionnelle voilée ?
Un autre fils, cuisinier de son état, s’apprêtait à découper le bel animal, gros, gras, rôti à point, dont la peau dorée craquait déjà sous sa lame, quand son frère déclara à la cantonade : c’est de la viande halal !
Nicolas Dupont-Aignan avait déposé, en avril dernier, une proposition de loi réclamant que le mode d’abattage soit mentionné sur la viande. Proposition restée sans suite.
Les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.
Alain de Peretti a appris, par un article du Figaro du 14 février, que la commission d’enquête parlementaire sur les groupuscules d’extrême droite, présidée par
Alain de Peretti, président de Vigilance halal, revient sur la décision du tribunal administratif de Paris qui vient d’interdire l’abattage halal dans les abattoirs de
La conquête d’une clientèle musulmane pourrait conduire à proposer des produits aussi inattendus que le tournevis halal ou la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel garantie sans port.
En paraphrasant Ségolène Royal, « l’halalitude n’est-elle pas le prélude à la dhimmitude » ?
Une mesure essentielle serait d’étiqueter la viande en spécifiant le mode d’abattage. Sachant que 70 % de la population est opposée à l’abattage rituel.
il y a des rivalités innombrables, des rivalités géopolitiques entre l’Arabie saoudite et la Turquie pour imposer leur emprise sur la « norme » et asseoir leur domination sur le monde musulman.
Sous prétexte de tolérance et d’ouverture, les Néerlandais sont invités à adopter un mode de vie islamique.
Combien de Français comme Agnès subissent des changements dans leurs habitudes alimentaires et culturelles ?
Censée être centrale, la question du bien-être animal a vite fait de céder le pas à divers impératifs politiques.
L’abattage halal devrait alerter tous les défenseurs de la cause animale.
Trouver un tournedos digne de ce nom, halal ou pas, fera bientôt figure de quête du saint Graal.
La pierre d’achoppement est là : la pénibilité, rédhibitoire pour les jeunes.
La France trinque encore une fois, sous le regard complaisant de ses dirigeants.
Il est utile de rappeler que le halal représente une manne financière importante qui permet de financer l’islam.
En cause, une population d’élèves en immense majorité musulmane aux revendications chaque fois plus véhémentes
’Ils ont de l’humour, nos Verts bordelais. De la nourriture confessionnelle chez le « petit père Combes » !
En France, l’abattage sans étourdissement est interdit, sauf lorsqu’il s’agit de respecter les rites propres aux religions musulmane (halal) et juive (casher).
Les édiles d’Orly ne pleurent-ils pas les effets dont ils chérissent les causes (comme dirait l’autre) ?
Parmi nos millions de musulmans, entre ceux de cœur français et les islamistes, beaucoup vivent en mal d’identité.
« Cette soumission à l’idéologie woke » largement dénoncée donc dans la presse par le syndicat étudiant de droite a contraint la direction de l’établissement à clarifier la situation et démentir les faits.
Alors, simple malbouffe, le burger halal ? Ou colonisation confessionnelle voilée ?
Un autre fils, cuisinier de son état, s’apprêtait à découper le bel animal, gros, gras, rôti à point, dont la peau dorée craquait déjà sous sa lame, quand son frère déclara à la cantonade : c’est de la viande halal !
Nicolas Dupont-Aignan avait déposé, en avril dernier, une proposition de loi réclamant que le mode d’abattage soit mentionné sur la viande. Proposition restée sans suite.
Les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.
Alain de Peretti a appris, par un article du Figaro du 14 février, que la commission d’enquête parlementaire sur les groupuscules d’extrême droite, présidée par
Alain de Peretti, président de Vigilance halal, revient sur la décision du tribunal administratif de Paris qui vient d’interdire l’abattage halal dans les abattoirs de
La conquête d’une clientèle musulmane pourrait conduire à proposer des produits aussi inattendus que le tournevis halal ou la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel garantie sans port.
En paraphrasant Ségolène Royal, « l’halalitude n’est-elle pas le prélude à la dhimmitude » ?
Une mesure essentielle serait d’étiqueter la viande en spécifiant le mode d’abattage. Sachant que 70 % de la population est opposée à l’abattage rituel.
il y a des rivalités innombrables, des rivalités géopolitiques entre l’Arabie saoudite et la Turquie pour imposer leur emprise sur la « norme » et asseoir leur domination sur le monde musulman.