Haut-Karabakh
L’avocat du Chredo s’appuie sur l’article 7 du statut de Rome portant sur les crimes contre l’humanité.
Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.
Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.
« C’est le djihad qui continue, avec des drones, des bombes à fragmentation. »
Car l’urgence n’est plus uniquement dans le Haut-Karabagh. Si l’Europe doit s’intéresser à ce qui se passe à l’Est, ce n’est pas tant pour les Arméniens, mais pour elle-même.
Après 40 jours de guerre, l’Arménie et le Haut-Karabakh ont été contraints de signer un cessez-le-feu avec l’Azerbaïdjan. L’Arménie a-t-elle perdu la guerre ? Qui
Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.
Galvanisé par le très actif soutien turc, le président Aliev semble maintenant décidé à aller jusqu’au bout.
Pour Vladimir Poutine, le conflit serait entré maintenant « dans la pire de ses variantes ».
Ce conflit, larvé depuis plus de vingt ans, vient de se raviver, alors que la Russie de Poutine et la Turquie d’Erdoğan retrouvent leur lustre d’antan ; l’un se voyant tsar et l’autre sultan.
Les Turcs n’iront peut-être pas jusqu’à Vienne, comme le déclare le Premier ministre arménien (allusion aux précédents historiques des XVIe et XVIIe siècles), mais il serait temps de prendre conscience du danger.
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian évoque une possible « guerre d’envergure » avec l’Azerbaïdjan agresseur ; alors qu’Erdoğan, assure son homologue azéri Ilham Aliyev du soutien turc avec tous ses moyens.
C’est donc dans le Caucase que se poursuit le grand jeu diplomatique, avec les récents incidents entre armées d’Arménie et d’Azerbaïdjan ayant causé la mort d’une quinzaine de soldats.
L’avocat du Chredo s’appuie sur l’article 7 du statut de Rome portant sur les crimes contre l’humanité.
Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.
Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.
« C’est le djihad qui continue, avec des drones, des bombes à fragmentation. »
Car l’urgence n’est plus uniquement dans le Haut-Karabagh. Si l’Europe doit s’intéresser à ce qui se passe à l’Est, ce n’est pas tant pour les Arméniens, mais pour elle-même.
Après 40 jours de guerre, l’Arménie et le Haut-Karabakh ont été contraints de signer un cessez-le-feu avec l’Azerbaïdjan. L’Arménie a-t-elle perdu la guerre ? Qui
Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.
Galvanisé par le très actif soutien turc, le président Aliev semble maintenant décidé à aller jusqu’au bout.
Pour Vladimir Poutine, le conflit serait entré maintenant « dans la pire de ses variantes ».
Ce conflit, larvé depuis plus de vingt ans, vient de se raviver, alors que la Russie de Poutine et la Turquie d’Erdoğan retrouvent leur lustre d’antan ; l’un se voyant tsar et l’autre sultan.
Les Turcs n’iront peut-être pas jusqu’à Vienne, comme le déclare le Premier ministre arménien (allusion aux précédents historiques des XVIe et XVIIe siècles), mais il serait temps de prendre conscience du danger.
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian évoque une possible « guerre d’envergure » avec l’Azerbaïdjan agresseur ; alors qu’Erdoğan, assure son homologue azéri Ilham Aliyev du soutien turc avec tous ses moyens.
C’est donc dans le Caucase que se poursuit le grand jeu diplomatique, avec les récents incidents entre armées d’Arménie et d’Azerbaïdjan ayant causé la mort d’une quinzaine de soldats.