immigration
Devant un tel phénomène, qui peut encore dire que l’immigration n’a pas un coût financier, humain et culturel considérable ?
Il n’est pas dans l’intérêt de la France de laisser entrer des étrangers en faisant semblant de croire qu’il s’agit de réfugiés politiques…
Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction.
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Après la tiers-mondialisation des grandes métropoles, voici la quart-mondialisation des communes et des villages…
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Une politique nataliste n’est pas une politique « fasciste ».
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…
N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas…
Je me souviens d’une vieille mendiante rencontrée en Calabre, l’été dernier.
Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…
Dans l’émission « Les Grandes Gueules » sur RMC, Gilles-William Goldnadel a souligné la complicité et le soutien financier de George Soros à l’opération « Aquarius ». Interrogé au
l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
Le principal suspect de ce crime est un homme, Ali Bashar, qui était arrivé en empruntant la route des Balkans, lors de la grande vague migratoire de cette époque, et qui n’était ni réfugié de guerre ni réfugié politique.
Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.
Eric Piolle utilise sa fonction de premier magistrat d’une grande ville pour servir l’idéologie immigrationniste.
Paris ne compte plus désormais que des gens « très riches » ; face à eux, des logements sociaux.
Ces écoliers doivent ensuite être versés, le plus rapidement possible, dans des classes normales.
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !
À quoi bon s’entêter à financer une Assemblée nationale qui ne sert à rien d’autre qu’à entériner les lois concoctées par le gouvernement ?
Ce week-end, une centaine de militants de Génération identitaire a contrôlé symboliquement la frontière franco-italienne, au col de l’Échelle, dans les Hautes-Alpes. Dans la vallée
Devant un tel phénomène, qui peut encore dire que l’immigration n’a pas un coût financier, humain et culturel considérable ?
Il n’est pas dans l’intérêt de la France de laisser entrer des étrangers en faisant semblant de croire qu’il s’agit de réfugiés politiques…
Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction.
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Après la tiers-mondialisation des grandes métropoles, voici la quart-mondialisation des communes et des villages…
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Une politique nataliste n’est pas une politique « fasciste ».
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…
N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas…
Je me souviens d’une vieille mendiante rencontrée en Calabre, l’été dernier.
Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…
Dans l’émission « Les Grandes Gueules » sur RMC, Gilles-William Goldnadel a souligné la complicité et le soutien financier de George Soros à l’opération « Aquarius ». Interrogé au
l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
Le principal suspect de ce crime est un homme, Ali Bashar, qui était arrivé en empruntant la route des Balkans, lors de la grande vague migratoire de cette époque, et qui n’était ni réfugié de guerre ni réfugié politique.
Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.
Eric Piolle utilise sa fonction de premier magistrat d’une grande ville pour servir l’idéologie immigrationniste.
Paris ne compte plus désormais que des gens « très riches » ; face à eux, des logements sociaux.
Ces écoliers doivent ensuite être versés, le plus rapidement possible, dans des classes normales.
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !
À quoi bon s’entêter à financer une Assemblée nationale qui ne sert à rien d’autre qu’à entériner les lois concoctées par le gouvernement ?
Ce week-end, une centaine de militants de Génération identitaire a contrôlé symboliquement la frontière franco-italienne, au col de l’Échelle, dans les Hautes-Alpes. Dans la vallée