immigration
…quarante associations (rien que ça !) de porter plainte aujourd’hui contre le procureur de la République qui a ordonné cette expulsion.
Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans
Avec cet opus, Laurent Obertone clôt une trilogie du grand épuisement français.
On imagine que le degré d’attache avec la France de Mamoudou Gassama a été vérifié.
Le député européen Rassemblement national Nicolas Bay réagit au vote de l’article 7 par le Parlement européen contre la Hongrie de Viktor Orbán et à
On ne transfuse pas des peuples entiers dans des corps sociaux différents. Cela crée des anticorps collectifs.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Par-delà le délit de violence conjugale, la question de la polygamie est de nouveau posée.
Du temps, surtout, où le gommeux BHL qui se prenait pour un chef de guerre avait votre oreille !
Rappel utile : 97 % des déboutés ne quittent pas le territoire.
Sans préjugé ? Il serait plus juste de dire : avec les solides préjugés pro-migrants de la gauche !
Ne plus croire aux fantômes, ne plus argumenter, c’est acquis. Mais pourquoi faut-il encore subvenir à leur existence ?
Devant un tel phénomène, qui peut encore dire que l’immigration n’a pas un coût financier, humain et culturel considérable ?
Il n’est pas dans l’intérêt de la France de laisser entrer des étrangers en faisant semblant de croire qu’il s’agit de réfugiés politiques…
Le monde ? Un vaste centre commercial.
Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction.
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Après la tiers-mondialisation des grandes métropoles, voici la quart-mondialisation des communes et des villages…
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Une politique nataliste n’est pas une politique « fasciste ».
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…
N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas…
Je me souviens d’une vieille mendiante rencontrée en Calabre, l’été dernier.
…quarante associations (rien que ça !) de porter plainte aujourd’hui contre le procureur de la République qui a ordonné cette expulsion.
Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans
Avec cet opus, Laurent Obertone clôt une trilogie du grand épuisement français.
On imagine que le degré d’attache avec la France de Mamoudou Gassama a été vérifié.
Le député européen Rassemblement national Nicolas Bay réagit au vote de l’article 7 par le Parlement européen contre la Hongrie de Viktor Orbán et à
On ne transfuse pas des peuples entiers dans des corps sociaux différents. Cela crée des anticorps collectifs.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Par-delà le délit de violence conjugale, la question de la polygamie est de nouveau posée.
Du temps, surtout, où le gommeux BHL qui se prenait pour un chef de guerre avait votre oreille !
Rappel utile : 97 % des déboutés ne quittent pas le territoire.
Sans préjugé ? Il serait plus juste de dire : avec les solides préjugés pro-migrants de la gauche !
Ne plus croire aux fantômes, ne plus argumenter, c’est acquis. Mais pourquoi faut-il encore subvenir à leur existence ?
Devant un tel phénomène, qui peut encore dire que l’immigration n’a pas un coût financier, humain et culturel considérable ?
Il n’est pas dans l’intérêt de la France de laisser entrer des étrangers en faisant semblant de croire qu’il s’agit de réfugiés politiques…
Le monde ? Un vaste centre commercial.
Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction.
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Après la tiers-mondialisation des grandes métropoles, voici la quart-mondialisation des communes et des villages…
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Une politique nataliste n’est pas une politique « fasciste ».
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…
N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.
Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas…
Je me souviens d’une vieille mendiante rencontrée en Calabre, l’été dernier.
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