Inflation
Des facteurs exogènes à la France expliquent la baisse récente des prix de l’énergie.
Cette mesure suscite un émoi certain chez les Français qui ont subi une forte inflation sur les produits alimentaires.
L’utilisation massive de la planche à billets par les banques centrales pour empêcher l’effondrement de la croissance et l’effondrement financier en Occident est inflationniste.
Dans le système néolibéral, la montagne de dette publique accumulée en Occident (supérieure à 100 % du PIB) et la difficulté à obtenir de la croissance risquent d’imposer quelque temps encore cet outil inflationniste.
La situation actuelle était prévisible, et seul le gouvernement est coupable de manque d’anticipation.
Entre inflation galopante, pénurie de matières premières et envolée des coûts de l’énergie, les fermetures vont assurément tomber en cascades.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
Ni l’économie européenne ni les États-providence ne pourront résister longtemps à une telle inflation.
Certes, on a remis de la moutarde dans les rayons, mais force est de constater qu’on n’est pas retourné à « lavidavan ».
Loin des revendications sociétales d’enfants gâtés ne sachant plus très bien s’ils sont hommes ou femmes tout en exigeant de devenir femmes ou hommes – voire un truc entre les deux –, on voit bien que l’incendie couve toujours.
Élisabeth Borne annoncera, mercredi, les nouveaux contours du bouclier tarifaire et les hausses de prix du gaz et de l’électricité auxquelles les Français devront faire face prochainement
Il est temps que la ménagère et le ménager lâchent leur smartphone et réapprennent à lire les étiquettes.
Une accélération du prix des services, de l’alimentation et des produits manufacturés se confirme.
Les mesures incohérentes du gouvernement vont leur coûter cher.
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Ce jeudi 7 juillet, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres le projet de loi pour le pouvoir d’achat. Le projet sera débattu à
Ainsi Michel-Édouard Leclerc de faire le buzz en lâchant au micro d’Apolline de Malherbe : « L’Ukraine a bon dos. » Une façon de prendre à témoin les consommateurs et dénoncer les méthodes des industriels.
Si l’inflation est un vrai problème, ce qui va surtout mettre en péril les finances de la majorité de nos compatriotes, c’est le coût du logement, insupportable.
Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.
Aujourd’hui, l’INSEE, impitoyable critique musical, vient de sortir ses chiffres. Et on peut dire qu’ils ne sont pas extraordinaires.
La mondialisation allait nous apporter la paix, le bonheur, la migration heureuse et le gavage à toute heure. La réalité nous explose à la figure…
La vague inflationniste qui se profile à l’horizon et dont plus personne ne peut sérieusement nier la réalité va taper dur sur les digues de l’économie occidentale.
Vous avez de plus en plus de mal à boucler votre budget et ne comprenez pas quand Emmanuel Macron ou Bruno Le Maire vous parlent, dans le poste, d’« inflation maîtrisée », ou de « gains substantiels de pouvoir d’achat » ?
+25 % pour les carburants à la pompe depuis le début de l’année. +57 % pour le gaz depuis janvier. +50 % pour le fioul domestique. +10 % annoncés pour l’électricité l’an prochain. Les fruits, les légumes la viande, les céréales, la farine…
En France, près de la moitié des entreprises du bâtiment, 41 % du secteur des services et un quart des firmes industrielles peinent à recruter des salariés, ce qui est une source d’augmentation des prix par les coûts.
La vague inflationniste partie d’outre-Atlantique s’échouera forcément sur nos rivages, d’ici quelques mois.
L’environnement est malsain car le moindre cygne noir peut faire basculer à tout moment les hypothèses les plus optimistes.
Si la planche à billets et le robinet des dépenses publiques ne sont pas contrôlés, l’inflation et l’augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie sont probables…
Des facteurs exogènes à la France expliquent la baisse récente des prix de l’énergie.
Cette mesure suscite un émoi certain chez les Français qui ont subi une forte inflation sur les produits alimentaires.
L’utilisation massive de la planche à billets par les banques centrales pour empêcher l’effondrement de la croissance et l’effondrement financier en Occident est inflationniste.
Dans le système néolibéral, la montagne de dette publique accumulée en Occident (supérieure à 100 % du PIB) et la difficulté à obtenir de la croissance risquent d’imposer quelque temps encore cet outil inflationniste.
La situation actuelle était prévisible, et seul le gouvernement est coupable de manque d’anticipation.
Entre inflation galopante, pénurie de matières premières et envolée des coûts de l’énergie, les fermetures vont assurément tomber en cascades.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
Ni l’économie européenne ni les États-providence ne pourront résister longtemps à une telle inflation.
Certes, on a remis de la moutarde dans les rayons, mais force est de constater qu’on n’est pas retourné à « lavidavan ».
Loin des revendications sociétales d’enfants gâtés ne sachant plus très bien s’ils sont hommes ou femmes tout en exigeant de devenir femmes ou hommes – voire un truc entre les deux –, on voit bien que l’incendie couve toujours.
Élisabeth Borne annoncera, mercredi, les nouveaux contours du bouclier tarifaire et les hausses de prix du gaz et de l’électricité auxquelles les Français devront faire face prochainement
Il est temps que la ménagère et le ménager lâchent leur smartphone et réapprennent à lire les étiquettes.
Une accélération du prix des services, de l’alimentation et des produits manufacturés se confirme.
Les mesures incohérentes du gouvernement vont leur coûter cher.
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Ce jeudi 7 juillet, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres le projet de loi pour le pouvoir d’achat. Le projet sera débattu à
Ainsi Michel-Édouard Leclerc de faire le buzz en lâchant au micro d’Apolline de Malherbe : « L’Ukraine a bon dos. » Une façon de prendre à témoin les consommateurs et dénoncer les méthodes des industriels.
Si l’inflation est un vrai problème, ce qui va surtout mettre en péril les finances de la majorité de nos compatriotes, c’est le coût du logement, insupportable.
Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.
Aujourd’hui, l’INSEE, impitoyable critique musical, vient de sortir ses chiffres. Et on peut dire qu’ils ne sont pas extraordinaires.
La mondialisation allait nous apporter la paix, le bonheur, la migration heureuse et le gavage à toute heure. La réalité nous explose à la figure…
La vague inflationniste qui se profile à l’horizon et dont plus personne ne peut sérieusement nier la réalité va taper dur sur les digues de l’économie occidentale.
Vous avez de plus en plus de mal à boucler votre budget et ne comprenez pas quand Emmanuel Macron ou Bruno Le Maire vous parlent, dans le poste, d’« inflation maîtrisée », ou de « gains substantiels de pouvoir d’achat » ?
+25 % pour les carburants à la pompe depuis le début de l’année. +57 % pour le gaz depuis janvier. +50 % pour le fioul domestique. +10 % annoncés pour l’électricité l’an prochain. Les fruits, les légumes la viande, les céréales, la farine…
En France, près de la moitié des entreprises du bâtiment, 41 % du secteur des services et un quart des firmes industrielles peinent à recruter des salariés, ce qui est une source d’augmentation des prix par les coûts.
La vague inflationniste partie d’outre-Atlantique s’échouera forcément sur nos rivages, d’ici quelques mois.
L’environnement est malsain car le moindre cygne noir peut faire basculer à tout moment les hypothèses les plus optimistes.
Si la planche à billets et le robinet des dépenses publiques ne sont pas contrôlés, l’inflation et l’augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie sont probables…
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