Insécurité
Si « sentiment d’insécurité » il y a, il se nicherait maintenant plutôt du côté du pouvoir.
Cela fait des années que le quartier Bellevue souffre de la criminalité liée au trafic de drogue.
Au-delà, bien sûr, de la plate-forme BlaBlaCar, c’est évidemment la dangerosité de la société française qui apparaît ici
Les ventes de bombes lacrymogènes explosent, tout comme les inscriptions aux sports de combat et aux stands de tir.
La mairie prend la question des goélands très au sérieux.
Particularité insulaire et spécificité culturelle aidant, l’île de Beauté a longtemps été préservée de l’ensauvagement.
Le 1er janvier, Darmanin se félicitait que les fêtes de fin d’année se soient déroulées « dans le calme ». Vraiment ?
Devant le mécontentement qui gronde (un motif de plus…), plusieurs maires seraient prêts à revenir sur cette mesure.
L’invisibilisation des victimes de l’ensauvagement n’est pas nouvelle.
À Senlis, le parquet, la sous-préfecture, la police, la gendarmerie et la ville ont décidé d’unir leurs efforts.
Le port d’arme n’a donc qu’un but et une justification : la légitime défense.
Le constat est sans appel : les Français savent que l’insécurité n’est pas un « sentiment » mais bien une réalité.
Les chiffres de l’insécurité n’en finissent pas d’augmenter.
L’engagement de l’armée serait-il vraiment le remède miracle ? Il y a de fortes raisons d’en douter.
Petit tour d’horizon de la France ensauvagée.
La presse anglaise décrit « des scènes de chaos dans la file d’attente » à Marseille. Mais le pouvoir bombe le torse.
Trois suspects sont recherchés par la police. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale.
Le diagnostic est donc clair : la Corse se francise mais Molière n’a pas grand-chose à voir là-dedans.
Limoges, Bayonne, Nice, Nantes, Audincourt, Beauvais, etc. : c’est toute la France qui est rattrapée par l’insécurité.
C’est maintenant au tour des pharmaciens de subir la « décivilisation »…
Celle qu’on appelait la « Venise de l’Ouest » est aujourd’hui devenue un redoutable bastion de violences.
Un petit programme peu ambitieux qui pourrait ravir certaines écolières mais ne règlera en rien les problèmes des Strasbourgeoises.
Les faits divers d’agressions, de viols, de cambriolages, de fusillades ou encore de trafics de drogue se multiplient dans la presse locale.
Samedi 1er février, le petit-fils de Jean et Mireille retrouvait ses grands-parents assassinés dans leur propriété située à Salon-de-Provence.
Le président du parti et ancien candidat à l’élection présidentielle Éric Zemmour était présent, ce matin, gare du Nord.
Moins de deux semaines après le drame de la gare du Nord, le criminologue bien connu des lecteurs de BV, Xavier Raufer, dresse un bilan
Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.
Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.
Si « sentiment d’insécurité » il y a, il se nicherait maintenant plutôt du côté du pouvoir.
Cela fait des années que le quartier Bellevue souffre de la criminalité liée au trafic de drogue.
Au-delà, bien sûr, de la plate-forme BlaBlaCar, c’est évidemment la dangerosité de la société française qui apparaît ici
Les ventes de bombes lacrymogènes explosent, tout comme les inscriptions aux sports de combat et aux stands de tir.
La mairie prend la question des goélands très au sérieux.
Particularité insulaire et spécificité culturelle aidant, l’île de Beauté a longtemps été préservée de l’ensauvagement.
Le 1er janvier, Darmanin se félicitait que les fêtes de fin d’année se soient déroulées « dans le calme ». Vraiment ?
Devant le mécontentement qui gronde (un motif de plus…), plusieurs maires seraient prêts à revenir sur cette mesure.
L’invisibilisation des victimes de l’ensauvagement n’est pas nouvelle.
À Senlis, le parquet, la sous-préfecture, la police, la gendarmerie et la ville ont décidé d’unir leurs efforts.
Le port d’arme n’a donc qu’un but et une justification : la légitime défense.
Le constat est sans appel : les Français savent que l’insécurité n’est pas un « sentiment » mais bien une réalité.
Les chiffres de l’insécurité n’en finissent pas d’augmenter.
L’engagement de l’armée serait-il vraiment le remède miracle ? Il y a de fortes raisons d’en douter.
Petit tour d’horizon de la France ensauvagée.
La presse anglaise décrit « des scènes de chaos dans la file d’attente » à Marseille. Mais le pouvoir bombe le torse.
Trois suspects sont recherchés par la police. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale.
Le diagnostic est donc clair : la Corse se francise mais Molière n’a pas grand-chose à voir là-dedans.
Limoges, Bayonne, Nice, Nantes, Audincourt, Beauvais, etc. : c’est toute la France qui est rattrapée par l’insécurité.
C’est maintenant au tour des pharmaciens de subir la « décivilisation »…
Celle qu’on appelait la « Venise de l’Ouest » est aujourd’hui devenue un redoutable bastion de violences.
Un petit programme peu ambitieux qui pourrait ravir certaines écolières mais ne règlera en rien les problèmes des Strasbourgeoises.
Les faits divers d’agressions, de viols, de cambriolages, de fusillades ou encore de trafics de drogue se multiplient dans la presse locale.
Samedi 1er février, le petit-fils de Jean et Mireille retrouvait ses grands-parents assassinés dans leur propriété située à Salon-de-Provence.
Le président du parti et ancien candidat à l’élection présidentielle Éric Zemmour était présent, ce matin, gare du Nord.
Moins de deux semaines après le drame de la gare du Nord, le criminologue bien connu des lecteurs de BV, Xavier Raufer, dresse un bilan
Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.
Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées