Insécurité
C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
La France est ainsi devenue le deuxième pays d’Europe pour le nombre d’agressions par habitant, juste derrière la Belgique
La ville suit tranquillement la dégradation des conditions de vie des autres communes. Rien ne vient troubler ce ronron de violences diverses et de trafics en tous genres.
Concrètement, ces agressions allaient de l’intimidation et du harcèlement aux crachats, au vandalisme et même aux coups de feu.
Un tel avertissement concentre toutes les tares de notre beau pays de France.
Andy Kerbrat, un adepte de la dénonciation de l’instrumentalisation…
C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.
Le chercheur rapporte, au cours de son étude, que « ce sont les atteintes à la vie humaine et la fraude fiscale qui représentent les montants les plus élevés ».
Le narrateur referme le journal où il lisait son propre fait divers. L’émotion étreint les délinquants incarcérés pour vol à la tire.
Il n’y a pas que Nantes, Lyon ou Marseille où l’insécurité gagne les centres-villes, comme en témoigne une pétition largement signée par de nombreux commerçants de l’hyper-centre de Strasbourg.
L’actualité récente de la ville ne peut qu’encourager les manifestants dans leur initiative : fusillade se soldant par la blessure d’un jeune de 17 ans, viol collectif d’une femme de 40 ans…
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Les « fuyards » sont pourtant des gens bien installés dans l’existence, mais « ils ne reconnaissent plus la France. Celle de leur jeunesse ou celle que leur racontent leurs parents »
Cette situation devient insupportable pour de nombreux habitants du quartier. L’un d’eux dénonce le climat général d’insécurité qui y règne.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Oui mais voilà, une question de taille demeure, freinant l’enthousiasme des plus fervents soutiens de M. Bagnon : qu’est-ce qu’une piste cyclable non genrée ?
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
S’il y a un écho médiatique suffisant, par la suite, l’État et les gouvernements qui sont responsables devant le peuple devront assumer ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas.
Après les agressions de policiers, de pompiers et tant d’autres professions que les Français ont l’habitude de voir, c’est au tour des forestiers…
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
La France est ainsi devenue le deuxième pays d’Europe pour le nombre d’agressions par habitant, juste derrière la Belgique
La ville suit tranquillement la dégradation des conditions de vie des autres communes. Rien ne vient troubler ce ronron de violences diverses et de trafics en tous genres.
Concrètement, ces agressions allaient de l’intimidation et du harcèlement aux crachats, au vandalisme et même aux coups de feu.
Un tel avertissement concentre toutes les tares de notre beau pays de France.
Andy Kerbrat, un adepte de la dénonciation de l’instrumentalisation…
C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.
Le chercheur rapporte, au cours de son étude, que « ce sont les atteintes à la vie humaine et la fraude fiscale qui représentent les montants les plus élevés ».
Le narrateur referme le journal où il lisait son propre fait divers. L’émotion étreint les délinquants incarcérés pour vol à la tire.
Il n’y a pas que Nantes, Lyon ou Marseille où l’insécurité gagne les centres-villes, comme en témoigne une pétition largement signée par de nombreux commerçants de l’hyper-centre de Strasbourg.
L’actualité récente de la ville ne peut qu’encourager les manifestants dans leur initiative : fusillade se soldant par la blessure d’un jeune de 17 ans, viol collectif d’une femme de 40 ans…
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Les « fuyards » sont pourtant des gens bien installés dans l’existence, mais « ils ne reconnaissent plus la France. Celle de leur jeunesse ou celle que leur racontent leurs parents »
Cette situation devient insupportable pour de nombreux habitants du quartier. L’un d’eux dénonce le climat général d’insécurité qui y règne.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Oui mais voilà, une question de taille demeure, freinant l’enthousiasme des plus fervents soutiens de M. Bagnon : qu’est-ce qu’une piste cyclable non genrée ?
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
S’il y a un écho médiatique suffisant, par la suite, l’État et les gouvernements qui sont responsables devant le peuple devront assumer ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas.
Après les agressions de policiers, de pompiers et tant d’autres professions que les Français ont l’habitude de voir, c’est au tour des forestiers…
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
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