Insécurité
Il y a le feu mais rien, apparemment, ne presse.
Les attaques au couteau se multiplient de façon troublante : Paris, Montpellier, Villeneuve-Saint-Georges… Qui sont les agresseurs ? Islamistes ou déséquilibrés ? Le criminologue Alain
La perspective d’un Chemnitz à la française terrorise l’homme de gauche imbu de grandiloquence droits-de-l’hommiste.
Pour l’attentat d’hier soir, prudence. Surtout ne pas se risquer à faire un lien entre l’origine géographique du prévenu et son crime.
Vendredi, à Montpellier, un père de famille qui cherchait à défendre son fils attaqué devant son lycée par une bande d’Albanais a été poignardé. Une
https://soundcloud.com/bvoltaire/serge-federbusch-6
Et les violences sexuelles, elles baissent, elles aussi ?
Puis-je oser dire que je comprends ce papa ?
Le criminologue Xavier Raufer revient, pour Boulevard Voltaire, sur l’étude publiée par Le Figaro : « Près d’un millier d’agressions par jour. » Pour lui, les quartiers
Vous êtes, comme moi sans doute, des lecteurs assidus des chroniques de Lionel Baland qui rend compte régulièrement de la situation migratoire et politique en
Les policiers seront-ils des assistants familiaux ?
Quant aux réseaux sociaux, pourquoi ne pas évoquer un coup des Russes ?
Le premier magistrat de la ville a tenu le discours attendu : je vous entends, je fais déjà beaucoup, mais je ne peux pas plus.
Notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.
Autres données : la multiplication des attaques au couteau, en France et dans toute l’Europe.
Ces nouveaux cas s’ajoutent à la très longue liste des victimes de la politique d’Angela Merkel.
Par cet été glacial, il est incompréhensible que des gens laissent leurs fenêtres ouvertes.
L’éclairage promis n’est que lumière tamisée.
Patricia Perez n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure.
Mais que fait alors la mairie ?
Ce drame parle de lui-même. Il est une accusation, un procès et un réquisitoire.
Adrien Perez, 26 ans, a été tué à la sortie d’une boîte de nuit, vraisemblablement par deux frères, Younes et Yanis El Habib. Xavier Raufer
« C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. »
Avouez, l’esprit est bon enfant. C’est sans prétention et surtout sans message politico-socio-éducativo-humanitaire.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Et comme pour désigner symboliquement les responsables de ce laxisme sécuritaire qui sévit dans la cité phocéenne depuis des décennies, les faits se sont déroulés à deux pas de la mairie tenue, depuis 1995, par Jean-Claude Gaudin.
La France officielle, légale n’a pas vocation à passer sous la table démocratique au profit des multiples dissidences qui la fracturent et se comportent comme si elles étaient chez elles et persuadées de ne jamais en être délogées.
Deux villes qui, si rien n’est fait, ressembleront sous peu à Marseille, et où les règlements de comptes se feront par les armes.
Il y a le feu mais rien, apparemment, ne presse.
Les attaques au couteau se multiplient de façon troublante : Paris, Montpellier, Villeneuve-Saint-Georges… Qui sont les agresseurs ? Islamistes ou déséquilibrés ? Le criminologue Alain
La perspective d’un Chemnitz à la française terrorise l’homme de gauche imbu de grandiloquence droits-de-l’hommiste.
Pour l’attentat d’hier soir, prudence. Surtout ne pas se risquer à faire un lien entre l’origine géographique du prévenu et son crime.
Vendredi, à Montpellier, un père de famille qui cherchait à défendre son fils attaqué devant son lycée par une bande d’Albanais a été poignardé. Une
https://soundcloud.com/bvoltaire/serge-federbusch-6
Et les violences sexuelles, elles baissent, elles aussi ?
Puis-je oser dire que je comprends ce papa ?
Le criminologue Xavier Raufer revient, pour Boulevard Voltaire, sur l’étude publiée par Le Figaro : « Près d’un millier d’agressions par jour. » Pour lui, les quartiers
Vous êtes, comme moi sans doute, des lecteurs assidus des chroniques de Lionel Baland qui rend compte régulièrement de la situation migratoire et politique en
Les policiers seront-ils des assistants familiaux ?
Quant aux réseaux sociaux, pourquoi ne pas évoquer un coup des Russes ?
Le premier magistrat de la ville a tenu le discours attendu : je vous entends, je fais déjà beaucoup, mais je ne peux pas plus.
Notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.
Autres données : la multiplication des attaques au couteau, en France et dans toute l’Europe.
Ces nouveaux cas s’ajoutent à la très longue liste des victimes de la politique d’Angela Merkel.
Par cet été glacial, il est incompréhensible que des gens laissent leurs fenêtres ouvertes.
L’éclairage promis n’est que lumière tamisée.
Patricia Perez n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure.
Mais que fait alors la mairie ?
Ce drame parle de lui-même. Il est une accusation, un procès et un réquisitoire.
Adrien Perez, 26 ans, a été tué à la sortie d’une boîte de nuit, vraisemblablement par deux frères, Younes et Yanis El Habib. Xavier Raufer
« C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. »
Avouez, l’esprit est bon enfant. C’est sans prétention et surtout sans message politico-socio-éducativo-humanitaire.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Et comme pour désigner symboliquement les responsables de ce laxisme sécuritaire qui sévit dans la cité phocéenne depuis des décennies, les faits se sont déroulés à deux pas de la mairie tenue, depuis 1995, par Jean-Claude Gaudin.
La France officielle, légale n’a pas vocation à passer sous la table démocratique au profit des multiples dissidences qui la fracturent et se comportent comme si elles étaient chez elles et persuadées de ne jamais en être délogées.
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