Iran
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.
Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…
Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.
Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.
Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…
La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.
Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?
La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?
Deux supertankers, l’un norvégien et l’autre japonais, ont été l’objet d’attaques…
Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.
Voilà maintenant plus de deux ans qu’il a disparu en Iran.
Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.
Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.
l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.
Ce qu’il y a de distrayant, avec les États-Unis, c’est que leur volonté de paix est toujours contrariée par des méchants…
C’est au bras d’un steward d’Air France que l’ayatollah Khomeiny descend de l’avion…
L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
En Iran, une femme a été condamnée à 24 mois de prison, dont 3 ferme, pour avoir laissé ses cheveux libres en public. Le procureur va faire appel, car il trouve la peine trop légère.
En Iran, la révolution du voile a commencé : et chez nous ?
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
Le spécialiste de l’Iran, Thomas Flichy de La Neuville, apporte pour Boulevard Voltaire son éclairage sur les manifestations.
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.
Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…
Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.
Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.
Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…
La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.
Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?
La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?
Deux supertankers, l’un norvégien et l’autre japonais, ont été l’objet d’attaques…
Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.
Voilà maintenant plus de deux ans qu’il a disparu en Iran.
Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.
Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.
l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.
Ce qu’il y a de distrayant, avec les États-Unis, c’est que leur volonté de paix est toujours contrariée par des méchants…
C’est au bras d’un steward d’Air France que l’ayatollah Khomeiny descend de l’avion…
L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
En Iran, une femme a été condamnée à 24 mois de prison, dont 3 ferme, pour avoir laissé ses cheveux libres en public. Le procureur va faire appel, car il trouve la peine trop légère.
En Iran, la révolution du voile a commencé : et chez nous ?
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
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