islamophobie
Rima Hassan l’a annoncé : elle prendra la parole au Parlement européen à l’occasion de la Journée européenne contre l’islamophobie qui se tient durant le
Cette inversion des rôles est désormais une figure médiatique imposée après chaque attentat islamiste.
Jamais elle ne se demande si les mots de Gabriel Attal (et donc du RN, etc.) correspondent à une réalité, à la réalité.
La lutte contre une prétendue islamophobie en Europe est devenue une spécialité des institutions européennes.
Aucune communauté religieuse autre que les musulmans n’a pris ombrage de ne pas être associée à ce rassemblement.
Un moyen, pour António Guterres, son secrétaire général, « d’en finir avec le poison de la haine envers les musulmans ».
C’est à chaque fois la même rhétorique : le bon musulman, propagateur de paix, face à l’État français qui ne voudrait que son mal.
Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…
Erik Tegnér était présent à la Marche contre l’islamophobie, dimanche. Il livre son témoignage à Boulevard Voltaire et revient sur les polémiques liées au port
In fine, au nom de la liberté et de l’égalité se prépare tranquillement, ici et ailleurs, l’avènement de l’ordre islamo-libertaire.
Que la plupart des musulmans soient étrangers à ces violences va de soi. Que l’islam en soit totalement dégagé est inepte.
Pour la première fois dans l’histoire de notre pays, une certaine gauche, composée d’élus et de syndicats, a manifesté en faveur de la religion.
Le président de la Conférence des évêques, Éric de Moulins-Beaufort, a regretté, dimanche 10 novembre, les « crispations » de ces dernières semaines « autour des foulards » des femmes musulmanes.
Dimanche, la manifestation contre l’islamophobie a rassemblé musulmans et gauchistes dans une improbable synthèse. Boulevard Voltaire était présent. Au cours de ce reportage, des manifestants
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
Si critiquer chaque religion relève de la liberté d’opinion, toute atteinte ou menace à des personnes ou à des biens, édifices, sépultures en raison de la religion est révoltante.
« Oui à la critique de la religion, non à la haine du croyant ! » Chiche !
Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.
Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…
La tribune publiée dans Libération ne fait pas dans la dentelle.
Nombreux sont ceux qui ont dû répondre devant la Justice de la teneur de leurs propos jugés « islamophobes » par le CCIF.
Nicolas Dhuicq, psychiatre et élu, analyse le cas de l’auteur de l’attentat de Bayonne et s’élève contre le traitement médiatique de l’événement. Il revient, aussi,
Gérard Collomb, à la fois pionnier du macronisme et premier déçu par ce dernier, met en garde contre « la tentation de faire de nouvelles lois »…
Rima Hassan l’a annoncé : elle prendra la parole au Parlement européen à l’occasion de la Journée européenne contre l’islamophobie qui se tient durant le
Cette inversion des rôles est désormais une figure médiatique imposée après chaque attentat islamiste.
Jamais elle ne se demande si les mots de Gabriel Attal (et donc du RN, etc.) correspondent à une réalité, à la réalité.
La lutte contre une prétendue islamophobie en Europe est devenue une spécialité des institutions européennes.
Aucune communauté religieuse autre que les musulmans n’a pris ombrage de ne pas être associée à ce rassemblement.
Un moyen, pour António Guterres, son secrétaire général, « d’en finir avec le poison de la haine envers les musulmans ».
C’est à chaque fois la même rhétorique : le bon musulman, propagateur de paix, face à l’État français qui ne voudrait que son mal.
Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…
Erik Tegnér était présent à la Marche contre l’islamophobie, dimanche. Il livre son témoignage à Boulevard Voltaire et revient sur les polémiques liées au port
In fine, au nom de la liberté et de l’égalité se prépare tranquillement, ici et ailleurs, l’avènement de l’ordre islamo-libertaire.
Que la plupart des musulmans soient étrangers à ces violences va de soi. Que l’islam en soit totalement dégagé est inepte.
Pour la première fois dans l’histoire de notre pays, une certaine gauche, composée d’élus et de syndicats, a manifesté en faveur de la religion.
Le président de la Conférence des évêques, Éric de Moulins-Beaufort, a regretté, dimanche 10 novembre, les « crispations » de ces dernières semaines « autour des foulards » des femmes musulmanes.
Dimanche, la manifestation contre l’islamophobie a rassemblé musulmans et gauchistes dans une improbable synthèse. Boulevard Voltaire était présent. Au cours de ce reportage, des manifestants
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
Si critiquer chaque religion relève de la liberté d’opinion, toute atteinte ou menace à des personnes ou à des biens, édifices, sépultures en raison de la religion est révoltante.
« Oui à la critique de la religion, non à la haine du croyant ! » Chiche !
Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.
Bien sûr, il a signé la tribune contre l’islamophobie, mais il était à Bruxelles en train de manger des frites et des gaufres avec ses enfants…
La tribune publiée dans Libération ne fait pas dans la dentelle.
Nombreux sont ceux qui ont dû répondre devant la Justice de la teneur de leurs propos jugés « islamophobes » par le CCIF.
Nicolas Dhuicq, psychiatre et élu, analyse le cas de l’auteur de l’attentat de Bayonne et s’élève contre le traitement médiatique de l’événement. Il revient, aussi,
Gérard Collomb, à la fois pionnier du macronisme et premier déçu par ce dernier, met en garde contre « la tentation de faire de nouvelles lois »…
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